LĂ oĂč il y a de. Seigneur, faites de moi un instrument de votre Paix ! LĂ  oĂč il y a de la haine, que je mette l'amour. LĂ  oĂč il y a l'offense, que je mette le pardon. LĂ  oĂč il y a la discorde, que je mette l'union. LĂ  oĂč il y a l'erreur, que je mette la vĂ©ritĂ©. LĂ  oĂč il y a le doute, que je mette la foi. LĂ  oĂč il y a le

Condamnation des violateurs des mystĂšres de l’au-delĂ  Le 11 septembre 1943 Livre de Ben Sira le Sage 3, 2121 Ne cherche pas ce qui est trop difficile pour toi, ne scrute pas ce qui est au-dessus de tes JĂ©sus dit “Beaucoup d’ñmes s’égarent en voulant chercher ce qui est trop difficile’ pour elles et en voulant scruter ce qui est au-dessus de leurs forces’, comme dit l’EcclĂ©siastique 3, 21.C’est l’ancien poison. L’homme est, et a toujours Ă©tĂ©, coupable de curiositĂ©s malsaines et de profanations sacrilĂšges. Il veut pousser son investigation jusqu’à des rĂ©gions que la sagesse divine garde enveloppĂ©es dans le mystĂšre, non par jalousie du pouvoir, mais par prĂ©voyance de l’amour. Malheur Ă  l’ĂȘtre humain s’il connaissait tout de l’avenir et des secrets de l’univers ! Vous n’auriez plus de paix spirituelle ni de paix naturelle. Laissez l’avenir Ă  Dieu, crĂ©ateur et dispensateur du temps et laissez vierges ces zones de l’univers dont la possession vous donnerait des armes pour troubler toujours plus votre existence d’individus et d’ dĂ©jĂ  dit [1] que je ne m’oppose pas aux Ɠuvres de l’intelligence humaine. Si je le faisais, je serais inconsĂ©quent avec moi-mĂȘme, puisque j’ai donnĂ© l’intellect Ă  l’ĂȘtre humain pour qu’il s’en serve et non pour qu'il le laisse inerte. Cependant, je vous dis par la bouche de la Sagesse Ne souhaitez pas ĂȘtre de curieux scrutateurs des Ɠuvres de Dieu, ne cherchez pas Ă  aller outre les frontiĂšres que j’ai tracĂ©es pour sĂ©parer votre puissance des puissances plus fortes que la vĂŽtre, des lois du cosmos, des secrets des forces naturelles, et surtout des mystĂšres d’outre-tombe dont je suis le seul Ă  avoir le droit de vous dĂ©voiler la vĂ©ritĂ© et l’existence, car je suis le Seigneur de toute chose tandis que vous n’ĂȘtes que les hĂŽtes de cette pauvre Terre et vous ne savez pas ce qui vous est rĂ©servĂ© au-delĂ  de la vie dans l’autre vie. Il suffit d’y croire. Croyez qu’elle apporte une rĂ©compense ou un chĂątiment, fruit d’une sainte justice, lequel attend d’ĂȘtre appliquĂ© Ă  chaque individu. Je vous ai fait connaĂźtre cela pour votre bien. Vous n’avez pas besoin d’en savoir troublez pas de votre indiscrĂšte et bavarde curiositĂ© la paix surnaturelle de l’autre vie. MĂȘme si cela concerne ceux qui sont tourmentĂ©s, c’est-Ă -dire ceux qui n’ont pas de paix parce qu’ils sont sĂ©parĂ©s de moi, le fait de comprendre n’apporte toujours qu’une augmentation de l’inquiĂ©tude. Pourquoi troubler par des Ă©chos de la terre la sĂ©rĂ©nitĂ© des cieux ? Pourquoi augmenter le tourment de ceux qui sont punis par des voix qui leur rappellent le monde oĂč ils mĂ©ritĂšrent leur punition ? Ayez du respect pour les premiers et pitiĂ© des seul, Seigneur du Ciel et de la Terre, Arbitre suprĂȘme de toute chose, Puissance parfaite en toute chose, je peux prendre de telles initiatives et rĂ©tablir le contact entre l’ĂȘtre humain et le mystĂšre de l’autre vie. Moi seul. C’est alors que je vous envoie mes messagers, et toujours pour un bien, jamais pour me plier Ă  de sottes et profanatrices recherches humaines.Bienheureux ceux qui croient sans avoir vu’, ai-je dit Ă  Thomas, et je le redis Ă  tous les curieux et Ă  tous les incrĂ©dules de la terre. On n’a pas besoin de preuves pour croire Ă  la deuxiĂšme vie, qui n’est pas — sachez-le pour le moment — telle que vous l’imaginez dans toutes vos fantaisies, mais que j’ai dit, une seconde vie, unique, et non des vies et encore des vies. Vous ĂȘtes des ĂȘtres humains, et non des grains de blĂ© qui, ressemĂ©s, germent une, deux, dix, cent fois, autant de fois qu’on les n’a pas besoin de preuves. Ma Parole suffit. Si vous dites que vous croyez Ă  la deuxiĂšme vie et ensuite vous cherchez des preuves surnaturelles pour croire, vous mentez et vous me traitez de menteur. Vous mentez parce que vous dites que vous croyez avec la bouche, mais vous ne croyez pas avec l’esprit et vous cherchez des preuves. Vous me traitez de menteur parce que le fait que vous cherchez des preuves suppose la pensĂ©e, sous-entendue mais trĂšs vive, que j’aie pu dire des choses non punition des curiositĂ©s inutiles et dangereuses et des pensĂ©es irrĂ©vĂ©rencieuses et sacrilĂšges, je permets que, chez les malheureux investigateurs de ce qu’il n’est pas nĂ©cessaire Ă  l’humain de chercher Ă  connaĂźtre, il se crĂ©e une confusion mentale, un trouble de l’esprit et une grave blessure Ă  la Foi, chez les meilleurs d’entre eux, et la mort de la Foi et de l’esprit chez les sont les meilleurs parmi ces violeurs du mystĂšre ? Ce sont ceux qui s’en approchent, non pour me faire un procĂšs, puisqu’on ne peut me faire de procĂšs, mais plutĂŽt pour me chercher, car ils ne savent pas me trouver par d’autres voies plus sĂ»res, humbles et hautes comme celui qui les a marquĂ©es, le Christ qui est venu exprĂšs sur la Terre pour apporter la doctrine sĂ»re, laquelle vous guide Ă  la deuxiĂšme vie, et pour fonder l’Église, dĂ©positaire et maĂźtresse de ma doctrine. Ceux-ci ne savent pas embrasser les pieds de l’Église avec la simplicitĂ© des enfants et l’humilitĂ© des saints, en lui disant Je t’aime, je t’obĂ©is, guide-moi’. Mais ils cherchent avec une pensĂ©e droite. Je les traite donc avec beaucoup de sont les pires parmi ces violeurs du mystĂšre ? Ce sont ceux qui s’en approchent par pure curiositĂ© scientifique, pour un profit humain, quel qu’il soit, du vil argent donnĂ© en Ă©change de leur science de magie au bĂ©nĂ©fice direct qu’ils peuvent tirer du moins le croient-ils de guides ultra-terrestres. Mais ce n’est pas ainsi qu’on a des guides. Ils viennent spontanĂ©ment, par mon commandement et non appelĂ©s par les ceux-ci, je serai un Juge d’une inexorable sĂ©vĂ©ritĂ© et je les punirai pour avoir manquĂ© de foi et de respect envers le MaĂźtre de cette vie et de l’autre, la vraie, et pour avoir manquĂ© de respect envers les trĂ©passĂ©s, Ă  qui je suis le seul Ă  pouvoir donner des ordres capables de les dĂ©tourner de leurs demeures bienheureux, trois fois bienheureux ceux qui croient sans besoin de preuves; bienheureux, sept fois bienheureux ceux qui n’ont jamais doutĂ© un seul instant de ma parole et de ma doctrine, confiĂ©e Ă  mon Épouse et MaĂźtre, l’Église, et qui, sans jamais avoir osĂ©, et mĂȘme souhaitĂ© oser, profaner les royaumes ultra-terrestres, sont convaincus que la vie ne meurt pas sur cette terre, mais change de nature et devient Ă©ternelle, bĂ©atifique pour ceux qui ont su vivre de moi et en moi, effroyable pour ceux qui, rĂ©pudiant Dieu, ont forniquĂ© avec ces croyants purs, Ă  ces simples et humbles esprit, pour qui la Foi est lumiĂšre et ma Parole, vie, j’accorde ce que je nie aux autres investigateurs la connaissance et la possession de la VĂ©ritĂ© d’outre-terre.” Source chez le porte-parole du Christ d’humilitĂ© et de de la vision de lumiĂšre qu’est le corps glorifiĂ© de Marie Le 12 septembre 1943 JĂ©sus dit “Parmi ces croyants purs, ces simples et humbles esprits dont je t’ai parlĂ© hier et Ă  qui j’accorde la possession de la VĂ©ritĂ©, je suscite des Ăąmes spĂ©ciales; je les choisis avant leur incorporation Ă  la vie, car je sais tout des humains qui ont vĂ©cu, qui vivent et qui vivront, et je sais donc Ă  l’avance comment chaque esprit agira sur terre, mĂ©ritant ou ne dites pas que c’est injuste parce que je ne vous force pas Ă  mĂ©riter. Non c’est ĂȘtre fidĂšle Ă  mon Ɠuvre et Ă  ma promesse que de crĂ©er l’ĂȘtre humain capable de se guider et libre de se guider. Je donne les secours, tous les secours, Ă  mes enfants, mais je ne les force pas Ă  s’en prĂ©valoir. Je le dĂ©sire de tout mon amour, mais je respecte le dĂ©sir de chaque humain. Dieu a poussĂ© son amour jusqu’au sacrifice de son Verbe pour qu’il vous portĂąt la Parole et le Sang. Mais il ne peut, ne veut en faire plus. Quel mĂ©rite, auriez-vous Ă  ĂȘtre bons si je vous empĂȘchais d’ĂȘtre mauvais ?À ces Ăąmes que je choisis, parce que je sais Ă  l’avance qu’elles seront saintes par amour ou le deviendront aprĂšs l’erreur par un repentir sincĂšre et un double amour, je donne donc ce que je ne donne pas aux masses enseignements et lumiĂšres qui sont une source de bĂ©atitude pour ces mĂȘmes Ăąmes et une direction pour des Ăąmes sƓurs moins Ă©clairĂ©es qu’elles car moins fondues Ă  malheur Ă  ces Ăąmes favorites si elles sont orgueilleuses et avares de mon don. Je n’aime pas les avares et je dĂ©teste les premiers agissent contrairement Ă  la charitĂ© parce qu’ils gardent pour eux ce qui appartient Ă  tous, car je suis le PĂšre de tous et je donne mes trĂ©sors Ă  mes enfants chĂ©ris pour qu’ils soient mes aumĂŽniers auprĂšs des pauvres de l’esprit, et non pour qu’ils conservent ces trĂ©sors avidement et Ă  l’encontre de la charitĂ©, tuant ainsi la charitĂ© et dĂ©sobĂ©issant Ă  la volontĂ© de Dieu. Le seul fait de tuer la charitĂ© brise le canal par lequel coulent vers eux mes paroles et Ă©teint la lumiĂšre grĂące Ă  laquelle ils en voient la vĂ©ritĂ©. Ils dĂ©choient donc de leur mission de porteurs de ma Voix. Ceci explique pourquoi certaines Ăąmes, Ă  un temps des phares de l’Église, pĂ©rissent par la suite dans une grisaille de brouillards aux orgueilleux, ils sont privĂ©s immĂ©diatement et inexorablement de mon don. En eux, ma parole ne s’éteint pas lentement, comme une fleur qui meurt sans eau ou un oiseau emprisonnĂ© dans un cachot obscur, comme cela arrive dans le cas des avares. Elle meurt d’un seul coup comme une crĂ©ature Ă©tranglĂ©e. L’orgueil est la quintessence de l’anti-charitĂ©, la perfection de l’anti-charitĂ©, et son venin dĂ©moniaque tue instantanĂ©ment la LumiĂšre dans le que je regarde vos faiblesses avec douleur et compassion, je dĂ©tourne le regard lorsque je rencontre un orgueilleux. Et savez-vous ce que c’est que de ne plus avoir sur soi mon regard ? C’est ĂȘtre de pauvres aveugles, de pauvres fous, de pauvres ivrognes qui vont en chancelant de danger en danger et qui rencontrent la mort. VoilĂ  ce que c’est de ne plus avoir sur soi le regard de Dieu, lequel vous protĂšge comme rien d’autre ne peut vous fut accordĂ© Ă  ma MĂšre sainte et bĂ©nie d’ĂȘtre porteuse du Verbe, non pas tant Ă  cause de sa nature immaculĂ©e que de son humilitĂ© super-parfaite. Tous les actes d’humilitĂ© humaine ne s’élĂšvent pas au trĂ©sor d’humilitĂ© de la TrĂšs Humble qui est toujours restĂ©e telle, mĂȘme, vous comprenez, lorsqu’elle apprit qu’elle Ă©tait destinĂ©e Ă  ĂȘtre la plus haute de toutes les crĂ©atures. Marie a consolĂ© les Trois divines Personnes, blessĂ©es par l’orgueil de Lucifer et du premier Couple, de son humilitĂ©, surpassĂ©e seulement par celle du chĂšre MĂšre, notre intarissable joie ! Si tu pouvais la voir aujourd’hui au Ciel pendant que tout le Paradis l’entoure de son amour et chante hosanna Ă  elle et Ă  son Nom salutaire ! Tu verrais un abĂźme de gloire au fond d’un super abĂźme d’humilitĂ©, et la lumiĂšre inconcevable de Marie Ă©tincelle doublement de sa trĂšs chaste et virginale humilitĂ© qui se recueille en adoration devant Nous et abaisse tous les hosannas cĂ©lestes en disant Domine, non sum digna’. Pas digne, elle, sainte et premiĂšre PrĂȘtresse ! Elle pour qui nous crĂ©erions un second Paradis pour qu’elle eĂ»t des louanges redoublĂ©es !...Regarde, Maria. En ce jour consacrĂ© Ă  Marie, reçois la vision de la lumiĂšre dans laquelle est ta MĂšre et la mienne. Tu as vu la LumiĂšre rutilante, insoutenable de notre triple Feu. Regarde maintenant la trĂšs douce lumiĂšre de Marie. Abreuve-t’en, nourris-t’ tu ne sentiras chose plus suave descendre dans ton cƓur. Regarde, aussi longtemps que je te l’accorderai, cette fontaine, cet astre de lumiĂšre qu’est Marie, resplendissant au Ciel de l’éclat de son corps immaculĂ© qui ne pouvait se corrompre, car il fut l’enveloppe sainte du Dieu fait chair en plus d’avoir atteint Ă  la perfection humaine de toute saintetĂ©, et super-resplendissant de son esprit uni Ă  l’Esprit de Dieu en des noces vois l’azur du ciel entoure la blancheur, la teignant de reflets cĂ©lestes, et la lumiĂšre de Marie rend les cieux lumineux comme par une aube d’avril surhumaine dans laquelle l’astre du matin sourit Ă  un monde vierge et et souviens-toi de la vision que les anges contemplent avec un Ă©ternel rire de joie. Qu’elle soit ta sĂ©rĂ©nitĂ©, tout comme la nĂŽtre est ta toi te sont montrĂ©es des choses qui dĂ©passent l’intelligence humaine, et cela par la volontĂ© de Dieu. Mais pour continuer Ă  en avoir le don, apprends de Marie Ă  toucher les sommets de l’humilitĂ©, ce qui abaisse la glaise pour porter l’esprit vers les t’ai rĂ©servĂ© ce don pour la fĂȘte du Nom de Marie. Pour la NativitĂ©, le sourire de Marie, la sainte Femme pour le Nom, la gloire de Marie, MĂšre de Dieu.”J’ai vu, et je ne peux la dĂ©crire, notre MĂšre dans sa demeure au Ciel. Comme dans le cas de Dieu, et je dirais presque plus encore, la comparaison avec la lumiĂšre’ m’est utile pour parler d’ lumiĂšre rĂ©confortante, d’un blanc bleu, comme celle du plus clair rayon de lune multipliĂ© par une intensitĂ© surnaturelle. Je ne distingue pas trĂšs bien le visage et le corps de Marie. Trop de lumiĂšre’ pour que l’Ɠil humain puisse les m’explique ce n’est pas une lumiĂšre aveuglante qui empĂȘche de regarder, mais une lumiĂšre qui transforme les contours et les formes du corps glorifiĂ© de Marie en lumiĂšre’, ce qui fait que je ne peux pas en dire les pourrais dire que si des montagnes de perles se transformaient en lumiĂšre, on aurait une idĂ©e de ce qu’est la TrĂšs Blanche, bienheureuse au Ciel. Et je pourrais dire aussi que, si une vision avait le pouvoir de changer la couleur des yeux en imprĂ©gnant l’iris de la couleur Ă©manĂ©e de la vision, mes yeux, qui sont brun foncĂ©, devraient ĂȘtre maintenant de l’azur pĂąle d’un saphir liquide, comme celui qui se dĂ©gage de certaines Ă©toiles par les nuits suis submergĂ©e par l’émotion qui me fait pleurer des larmes de joie spirituelle... et je ne peux rien dire d’ te dire ?Plus jeune, j'appelais de tout mon coeur notre maman ImmaculĂ©e lorsque j'Ă©tais tentĂ© par rapport Ă  l'impuretĂ© charnelle , aujourd'hui je le fais Ă©galement lorsque je suis tentĂ© par l' l'un que l'autre rĂ©pugnent Ă  mon coeur et si j'ai laissĂ© infuser ces tentations quelques secondes, quel dĂ©goĂ»t dans mon Ăąme ! Vite mon petit coeur, soit bien contrit et supplie ton Seigneur ! Va dĂ©poser ton pĂ©chĂ©...PuretĂ©, humilitĂ©, vertus nĂ©cessaires Ă  l'ensemencement de l'amour qui pourra croĂźtre !C'est accessible Ă  chaque baptisĂ© ! OUI !L’abandon du PĂšre et les larmes de Marie Le 14 septembre 1943 CommencĂ©e au moment de la Communion JĂ©sus dit “L’archange Michel, que vous invoquez dans le confiteor, mais comme d’habitude, l’ñme absente, trop absente, Ă©tait prĂ©sent Ă  ma mort en croix. tes sept grands archanges, qui se tiennent en permanence devant le trĂŽne de Dieu, Ă©taient tous prĂ©sents Ă  mon ne dis pas que cela contredit mes paroles Le Ciel Ă©tait fermé’. Le PĂšre, je le rĂ©pĂšte, Ă©tait absent, distant, au moment oĂč la Grande Victime consommait son immolation pour le salut du le PĂšre avait Ă©tĂ© avec moi, le sacrifice n’aurait pas Ă©tĂ© total. Cela n’aurait Ă©tĂ© que le sacrifice de la chair condamnĂ©e Ă  mourir. Mais je devais accomplir l’holocauste total. Aucune des trois faces de l’homme, la charnelle, la morale, la spirituelle, ne devait ĂȘtre exclue du sacrifice, car je m’immolais pour toutes les fautes, et non seulement pour les fautes des sens. On peut donc comprendre que mes dimensions morale et spirituelle devaient ĂȘtre broyĂ©es, anĂ©anties par la meule de l’horrible sacrifice. Et on peut aussi comprendre que mon Esprit n’aurait pas souffert s’il avait Ă©tĂ© fondu Ă  celui du j’étais seul. ÉlevĂ©, non matĂ©riellement mais surnaturellement, Ă  une telle distance de la terre qu’aucun rĂ©confort ne pouvait plus en venir. CoupĂ© de tout rĂ©confort humain. ÉlevĂ© sur mon Ă©chafaud, j’y avais apportĂ© le poids incommensurable des fautes de toute l’humanitĂ© des millĂ©naires passĂ©s et des millĂ©naires Ă  venir, et ce poids m’écrasait plus que la croix, que mon corps dĂ©jĂ  Ă  l’agonie avait si pĂ©niblement traĂźnĂ©e sur les rues pierreuses, raides, Ă©touffantes de JĂ©rusalem, au milieu des blagues et des coups d’une foule sur la croix avec la souffrance totale de ma chair suppliciĂ©e et la souffrance suprĂȘme de mon esprit, accablĂ© par un tas de fautes qu’aucun secours divin ne rendait supportables. J’étais naufragĂ© au milieu d’un ocĂ©an dĂ©chaĂźnĂ© et je devais mourir ainsi. Mon cƓur s’est brisĂ© sous l’angoisse de ce poids et de cet ma MĂšre Ă©tait Ă  mes cĂŽtĂ©s. Elle y Ă©tait. Nous Ă©tions nous deux, les Martyrs, enveloppĂ©s dans le tourment et l’abandon. Et de nous voir l’un l’autre ajoutait une autre torture Ă  la torture. Car chacun de mes frĂ©missements lacĂ©rait les fibres de ma MĂšre, et chacun de ses gĂ©missements Ă©tait un autre flĂ©au sur mes chairs flagellĂ©es et un autre clou rivĂ©, non dans mes paumes, mais dans mon cƓur. Unis et divisĂ©s Ă  la fois pour souffrir davantage, et au-dessus de nous, les Cieux- fermĂ©s sur le courroux du PĂšre, et si loin...Mais les archanges Ă©taient prĂ©sents Ă  l’immolation du Fils de Dieu pour le salut de l’humanitĂ© et la torture de la Vierge MĂšre. Et s il est dit dans l’Apocalypse qu’aux derniers temps, un ange fera l’offrande du plus saint encens au trĂŽne de Dieu, avant de rĂ©pandre le feu premier de la colĂšre divine sur la terre, comment pouvez-vous penser que, parmi les priĂšres des saints, encens impĂ©rissable et digne du TrĂšs-Haut, il n’y ait pas, au premier rang, plus suppliantes que n’importe quelle parole, les larmes de ma Sainte bĂ©nie, de ma trĂšs douce Martyre, de ma MĂšre, recueillies par l’ange qui lui fit l’annonce et reçut son consentement, le tĂ©moin angĂ©lique des noces surnaturelles par lesquelles la Nature divine contracta un lien avec la nature humaine, attira Ă  sa hauteur une chair et abaissa son Esprit Ă  devenir chair pour la paix entre l’ĂȘtre humain et Dieu ?Gabriel et ses cĂ©lestes compagnons, penchĂ©s sur la douleur de JĂ©sus et de Marie, dans l’impossibilitĂ© de la soulager, car c’était l’heure de la Justice mais non absents de cette douleur, ont recueilli dans leur intellect de lumiĂšre tous les dĂ©tails de cette heure, tous, pour les Ă©taler, quand le temps ne sera plus, Ă  la vue des ressuscitĂ©s, source de joie pour les bienheureux et condamnation des rĂ©prouvĂ©s, avant-goĂ»t pour les uns et les autres de ce que je donnerai, moi, Juge suprĂȘme et roi trĂšs haut.”Luc 21, 20-24JĂ©sus a commencĂ© Ă  parler pendant que je disais le confiteor, et mon esprit a vu Gabriel, lumiĂšre dorĂ©e, inclinĂ© en adoration de la Croix, je pense. Mais je ne voyais pas la aujourd’hui, en feuilletant attentivement les pages dactylographiĂ©es pour corriger les petites fautes de transcription, afin qu’aucune bĂ©vue ne vienne altĂ©rer la pensĂ©e, je trouve un commentaire de moi, datĂ© du 31 mai, au sujet de la destruction de JĂ©rusalem... Je me Souviens de l’impression que j’ai eue en lisant Saint Luc 21, 20-24. Je disais ce jour-lĂ  “J’ai compris qu’il y a lĂ  une allusion Ă  nous tous. Je n’ai pas vu clairement. Mais je suis restĂ©e sous cette douloureuse impression”. Aujourd’hui, je relis Saint Luc et, malheureusement, il me semble que ce passage convient parfaitement Ă  nos situations malheureuses...JĂ©sus me parle aujourd’hui de sept archanges qui se tiennent toujours devant le trĂŽne de Dieu. Y sont- ils vraiment ou est- ce un nombre allĂ©gorique ? J’ai cherchĂ© dans la Bible, mais je n’ai rien trouvĂ© Ă  ce sujet. Ça doit ĂȘtre une de ces lacunes’ dont parle JĂ©sus le 11 Ă©dition par Anayel le Mar 21 Juin - 910, Ă©ditĂ© 3 foisMarie, Co-rĂ©demptrice, maĂźtresse de douleur, exceptĂ© dans l’enfantement et dans la mort Le 15 septembre 1943 JĂ©sus dit “C’est une opinion trĂšs rĂ©pandue parmi les chrĂ©tiens, et chrĂ©tiens catholiques, que ma MĂšre n’a jamais souffert comme les mortels souffrent en gĂ©nĂ©ral. Ils croient que la douleur lui vint, mais que, Ă©tant donnĂ© sa nature immaculĂ©e, elle put la supporter aisĂ©ment parce que la GrĂące l’attĂ©nuait. Bref, ils croient qu’elle eut le choc de la douleur, mais qu’elle ne put pĂ©nĂ©trer en elle, car sa nature immaculĂ©e et la GrĂące, comme une cuirasse impĂ©nĂ©trable, la c’est une grave erreur. Marie Ă©tait l’ImmaculĂ©e’, exempte de l’hĂ©rĂ©ditĂ© de la faute d’Adam et des fruits de cette faute, et dans ce sens, elle aurait effectivement dĂ» ĂȘtre prĂ©servĂ©e de la souffrance, car le CrĂ©ateur avait créé la race humaine exempte de la douleur et de la mort, qui est la suprĂȘme douleur de l’ĂȘtre humain. Mais Marie Ă©tait la Co-rĂ©demptrice. Et la mission de rĂ©dempteur est toujours une mission d’infinie douleur. Autrement, comment un rĂ©dempteur pourrait-il racheter les pĂ©chĂ©s des autres ? Comment une victime pourrait-elle payer pour ses frĂšres et sƓurs ? Marie Ă©tait rĂ©demptrice comme j’étais rĂ©dempteur. Il est donc juste que la douleur ait Ă©tĂ© sa peut-ĂȘtre Ă©tĂ© Ă©pargnĂ© de la douleur ? Non. Et pourtant, si Marie, par un miracle de Dieu Ă©tait exempte de la faute d’Adam, elle qui Ă©tait nĂ©e de deux chairs devenues une seule chair dans une union humaine, moi, Dieu, et donc pur de quelque faute que ce soit, de toute faute, de toute ombre de faute, moi qui suis devenu homme par les noces de l’Innocence et de la GrĂące et qui suis donc infiniment supĂ©rieur Ă  elle, j’ai quand mĂȘme Ă©tĂ© sacrifiĂ© Ă  la Douleur, Ă  une douleur qui n’a jamais Ă©tĂ© et ne sera jamais Ă©galĂ©e, puisque ce fut douleur de chair et de sang, d’intellect, de cƓur, d’ñme et d’ Justice divine, qui ne ment pas et ne se contredit jamais, fut fidĂšle Ă  ses antiques promesses et n’appliqua pas Ă  la Sans Faute, comme Ă©taient sans faute les premiers parents, les deux principales condamnations de la chair, d’Ève en particulier la douleur de la mort et celle de l’ naissance fut une trĂšs douce extase. Dans le silence de la nuit qui isolait du monde la trĂšs humble demeure solitaire, Marie s’était plongĂ©e dans ses ferventes contemplations de Dieu. La priĂšre de Marie Ă©tait toujours un ravissement en Dieu. En sortant de son ravissement, elle connut le Fils. MĂȘme que ce furent les premiers pleurs de l’Enfant-Dieu qui arrachĂšrent la MĂšre Ă  sa contemplation spirituelle de Dieu et portĂšrent son regard Ă  contempler le plus grand miracle, de l’Univers un Dieu incarnĂ© pour la rĂ©demption de l’ mort de Marie fut un autre ravissement. L’oraison l’enveloppa dans des bandeaux d’amour, excluant chez elle toute sensibilitĂ© humaine, et l’Amour vint Ă  sa rencontre pour la deuxiĂšme fois pour Ă©treindre l’Épouse dĂ©sirĂ©e avant mĂȘme que le temps ne si dans la premiĂšre rencontre, l’Amour se pencha sur la Vierge pour couvrir de son ombre divine la TrĂšs Chaste et la rendre fĂ©conde d’une chair divine, la deuxiĂšme rencontre fut l’étreinte totale de l’InviolĂ©e avec l’Amour qui l’attira Ă  lui jusqu’au plus haut des Cieux. La derniĂšre contemplation de Marie sur terre se termina au Ciel oĂč l’Amoureuse de Dieu, celle qui attendait impatiemment le Fils, put fixer pour toujours son adoration sur le PĂšre, sur le Fils, sur l’Esprit Saint, ses Ă©ternels dĂ©sirs et Ă©ternels avant cette heure, pauvre Maman, elle a dĂ» s’imprĂ©gner de douleur. Et je t’ai dĂ©jĂ  parlĂ© de ce qu’ont Ă©tĂ© ses douleurs de toute une vie, lesquelles ont atteint leur sommet les jours de ma mort. Et je t’ai dit plus d’une fois que, Ă©tant destinĂ©e Ă  ĂȘtre Co-RĂ©demptrice, elle en sentit toute l’ñpretĂ©, et pourquoi elle la toujours qu’elle est MaĂźtresse de Douleur comme je suis MaĂźtre de Vie, et pense que la douleur est vraie, absolue, seulement quand Dieu n’est plus aux cĂŽtĂ©s d’un esprit pour le soutenir dans l’épreuve. Pense que Marie fut seule Ă  l’heure terrible afin de connaĂźtre l’horreur de la solitude et d’expier vos dĂ©sespoirs de est l’EspĂ©rance, outre que la Foi et la CharitĂ©. Les trois vertus thĂ©ologales sont personnifiĂ©es en elle, car personne au monde n’aima comme elle, personne ne crut et surtout personne n’espĂ©ra comme fut un abĂźme d’espĂ©rance. Et c’est pour cela que j’ai fait d’elle votre Étoile pour vous indiquer la voie du ciel. Si vous croyez toujours en elle, vous ne connaĂźtrez jamais l’horreur du dĂ©sespoir et vous ne vous tuerez pas de dĂ©sespoir. Que Marie, EspĂ©rance de Dieu qui l’attendait pour accomplir la RĂ©demption des humains, soit l’espĂ©rance des perdez pas de vue, ĂŽ mortels, l’Étoile du matin dont les rayons sont les sept Ă©pĂ©es enfoncĂ©es dans son cƓur trĂšs doux et trĂšs pur, enfoncĂ©es pour votre amour. Vivez en elle. Et mourez en la Sainte, qui est MĂšre de Dieu et qui prie pour vous, sans se lasser, devant notre qui s’endormit sur le cƓur de Dieu, vit maintenant au Ciel avec sa chair glorifiĂ©e. L’ñme qui s’endort sur le cƓur de Marie obtiendra la glorification de sa chair au Ciel quand le temps sera achevĂ©, car elle est votre salut.”Source de JoĂ«l sur les temps derniers Le 16 septembre 1943 JoĂ«l, 2, 18-27 ; 3, 1-5JĂ©sus dit “Ce n’est pas au sens oĂč tu l’entends. L’heure de la paix et du pardon viendra pour vous Italiens aussi; l’heure viendra oĂč vous rĂ©tablirez votre alliance avec le Seigneur aprĂšs avoir Ă©tĂ© entre les mains de Satan qui vous a maltraitĂ©s comme si vous Ă©tiez un Ă©cheveau de fil entre les mains d’un fou furieux. Mais les paroles de JoĂ«l 2, 18-32 ne sont pas dites en particulier pour tel ou tel autre sont pour mon peuple, pour le peuple du seul, vrai, grand Roi, du Seigneur votre Dieu, Unique en Trois Personnes, CrĂ©ateur et RĂ©dempteur du genre humain. Cette pĂ©riode de bien-ĂȘtre dont parle JoĂ«l est l’annonce anticipĂ©e de ce dont parle Jean dans son Apocalypse beaucoup plus les terribles guerres que Satan aura apportĂ©es Ă  la Terre Ă  travers son messager des tĂ©nĂšbres, l’AntĂ©christ, viendra le temps de la trĂȘve pendant laquelle, aprĂšs vous avoir fait la preuve sanglante des dons que peut vous faire Satan, je chercherai Ă  vous attirer Ă  moi, vous comblant de mes ! Mes dons ! Ils seront votre douceur ! Vous ne connaĂźtrez pas la faim, les massacres, les calamitĂ©s. Vos corps, et encore plus vos Ăąmes, seront rassasiĂ©s de ma main; la Terre semblera naĂźtre, par une seconde crĂ©ation, toute neuve dans ses sentiments, qui seront de paix et de concorde entre les peuples et de paix entre Ciel et Terre, car je rĂ©pandrai sur vous mon Esprit, lequel vous pĂ©nĂ©trera et vous donnera la vue surnaturelle des dĂ©crets de sera le rĂšgne de l’Esprit. Le rĂšgne de Dieu, celui que vous demandez et vous ne savez pas ce que vous demandez parce que vous ne rĂ©flĂ©chissez jamais dans le Notre PĂšre’. OĂč voulez-vous que le rĂšgne de Dieu arrive sinon dans vos cƓurs ? C’est lĂ  que doit commencer mon rĂšgne sur la Terre, grand rĂšgne, mais qui reste viendra le Royaume sans frontiĂšres ni de temps, ni d’ Royaume Ă©ternel qui fera de vous des habitants Ă©ternels du ciel, puisque, et c’est naturel, je parle Ă  ceux qui sont mes sujets et non aux rĂ©prouvĂ©s qui ont dĂ©jĂ  leur effroyable roi, Dieu opĂ©rera tous les prodiges pour attirer le plus grand nombre de vivants, car je suis Dieu de misĂ©ricorde, de pardon et d’un amour si infini que, quoi que vous fassiez pour en Ă©tudier et en comprendre l’étendue, vous ne le pourrez pas. Ce que vous croyez ĂȘtre l’infinitĂ© de mon amour pour vous est comme un petit caillou de la grĂšve d’un ruisseau par rapport Ă  toute une chaĂźne de montagnes dont la base divise les continents et les cimes se perdent dans les crois-tu que tant de prodiges d’Amour et tant de lumiĂšres de l’Esprit convertiront les hommes Ă  leur Dieu Éternel ? DĂ©trompe-toi. Si j’avais pour les pauvres animaux dĂ©nuĂ©s de raison les mĂȘmes sollicitudes que j’ai pour vous dans vos besoins corporels seulement celle~ lĂ  — ces mĂȘmes animaux me loueraient, dans leurs langages informes, du lever au coucher du soleil; et s’ils savaient oĂč me trouver, ils partiraient de tous les coins du globe pour venir remercier leur Tuteur bienfaisant. Mais pas les ĂȘtres quasi-totalitĂ© d’entre eux resteront totalement sourds aux voix et aux dons spirituels, et presque entiĂšrement sourds aux dons corporels; au lieu de reconnaĂźtre ma bontĂ© et de m’aimer par reconnaissance, ils profiteront du bien-ĂȘtre que je leur donnerai pour descendre toujours plus dans l’abĂźme qui leur plaĂźt oĂč, telles d’immondes bĂȘtes, ils se vautrent dans un bourbier, en attendant ce qui sĂ©duit les neufÂŹ dixiĂšmes de l’humanitĂ© la convoitise, la luxure, la fraude, la violence, le vol, l’hĂ©rĂ©sie, la superstition et autres corruptions des sens et de l’esprit, si horribles qu’il semble impossible aux justes qu’elles puissent ĂȘtre vraies; mais elles le sont, et elles font rougir les Cieux et soulĂšvent notre DivinitĂ© d’un mouvement d’ les largesses paternelles, ni les signes terrifiants du ciel ne pourront faire des vivants de cette Ă©poque des enfants de Dieu. Et alors viendra mon grand et terrible un jour de vingt-quatre heures. Mon temps se mesure d’une autre façon. Je l’appelle jour’ parce qu’on travaille le jour, et en ce temps-lĂ , je ferai mon Ɠuvre. J’effectuerai la sĂ©lection ultime des vivants sur la Terre. Et elle se fera durant le dernier dĂ©chaĂźnement de verra alors ceux qui ont en eux le Royaume de Dieu et ceux qui ont le royaume de Satan. Car ces derniers commettront, par la bouche, par les actes et surtout par un cƓur impie, les derniers affronts Ă  ma Loi et les sacrilĂšges extrĂȘmes envers Dieu; et, pendant que l’ultime bataille secouera la Terre d’une indicible horreur, les premiers s’accrocheront Ă  ma Croix, invoqueront mon Nom qui sauve; et ma venue en tant que Juge ne les frappera pas de terreur, mais, au contraire, les fera jubiler, car les fidĂšles sont ceux qui sont sauvĂ©s, ceux que JoĂ«l appelle les restes’, c’est-Ă -dire ceux qui restent au Seigneur aprĂšs les rapines de bĂ©nis, trois fois bĂ©nis pour l’éternitĂ© sont mes enfants. L’éternel Paradis est Ă  eux. Unis aux fidĂšles du Seigneur de tous les temps, ils possĂ©deront Dieu dont la possession est la bĂ©atitude Ă©ternelle.Ӄtant donnĂ© qu’il semblait ce matin que JĂ©sus me laissĂąt me reposer, aprĂšs avoir dit comme d’habitude le Veni, Sancte Spiritus’, j’ai ouvert la Bible au hasard. Je suis tombĂ©e sur le chapitre 2 du livre de JoĂ«l, et prĂ©cisĂ©ment sur les versets donnais Ă  ces paroles l’interprĂ©tation dont rĂȘve de toutes ses forces mon cƓur d’italienne. Mais JĂ©sus m’en explique une signification beaucoup plus Ă©levĂ©e
 et Maria, le petit Ăąne, l’écrit, se disant que seul le Seigneur est loi immuable de Dieu. La destinĂ©e connaissance de Dieu et libertĂ© humaine Le 17 septembre 1943 JĂ©sus dit Livre de la Sagesse, chapitre 6, 1-10 Je t’ai dĂ©jĂ  expliquĂ© Ă  plusieurs reprises, depuis que je suis ton MaĂźtre de façon plus vaste que je ne le suis pour nombre de tes frĂšres et sƓurs, ce qu’a dit la Sagesse au chapitre 6, versets nous arrĂȘtons donc pas Ă  considĂ©rer ces paroles. La vraie Sagesse te les a expliquĂ©es bien avant que le Livre ne s’ouvrĂźt pour toi Ă  cette ne t’étonne pas si souvent tu trouves dans le Livre des sentiments et des paroles pareils Ă  ceux que tu as entendus directement de moi. Je suis la Parole du PĂšre. Et il n’y a qu’une Parole. Elle est la mĂȘme maintenant qu’au temps des patriarches et des prophĂštes. Il est donc naturel qu’en lisant les paroles anciennes, tu les trouves pareilles aux toutes nouvelles paroles que tu entends de moi. C’est moi qui te parle, comme c’est moi qui parlais Ă  ces hommes lointains. Et si votre Ă©poque et vos pensĂ©es ont tant changĂ©, et si toi, mon petit Jean, tu es si diffĂ©rente des patriarches solennels et des prophĂštes vĂ©hĂ©ments, moi, je reste le mĂȘme, pareil, immuable dans la parole, dans la ne change pas. Il s’adapte Ă  vos changements, Ă  votre Ă©volution, appelons-la comme ça, dans les contours de son travail, mais le noyau, le contenu vĂ©ritable de son enseignement, en ce qui n’appartient pas Ă  la vie qui passe, mais Ă  l’ñme qui ne meurt pas, ce noyau, lui, demeure et demeurera toujours le mĂȘme, mĂȘme si la terre restait terre pour mille et dix mille ans encore, et si l’ĂȘtre humain parvenait Ă  un niveau d’évolution matĂ©rielle note bien qui lui permĂźt d’abolir les lois de l’espace, de la gravitĂ©, de la vitesse, et devenait presque omniprĂ©sent, au moyen d’instruments qui abolissent les sĂ©parations, vers lesquels il est dĂ©jĂ  lancĂ©, et auxquels vous donnez les noms scientifiques de tĂ©lĂ©vision, tĂ©lĂ©photo et autres ; ou s’il abolissait, moyennant d’autres instruments, l’impossibilitĂ© d’agir Ă  distance, crĂ©ant les radio commandes qui dĂ©chaĂźneront sur la terre la vengeance dĂ©moniaque des dĂ©flagrations Ă  distance, des rayons mortels et autres semblables crĂ©ations de marque ne pourrai jamais vous dire, mĂȘme si vous rĂ©ussissez Ă  devenir assaillants d’autres planĂštes et crĂ©ateurs de rayons puissants comme ceux de mon soleil, et que vous captiez des ondes qui abolissent les distances les plus dĂ©mesurĂ©es pour l’ouĂŻe et la vue, je ne pourrai jamais vous dire qu’il vous est lĂ©gitime d’abolir la Loi de la charitĂ©, de la continence, de la sincĂ©ritĂ©, de l’honnĂȘtetĂ©, de l’ je ne pourrai jamais vous le dire. Au lieu de cela, je vous dis maintenant et vous dirai toujours Soyez bĂ©nis si vous vous servez de votre intellect pour faire des dĂ©couvertes dans le but de faire le bien. Soyez maudits si vous prostituez votre intelligence par un commerce illicite avec le Mal pour donner naissance Ă  des Ɠuvres de mĂ©chancetĂ© et de destruction ».Assez Ă  ce propos. Au lieu de cela, je te parlerai de ce qui peut te servir de rĂ©confort et de 33, 11-15Il est dit dans l’EcclĂ©siaste, chapitre 33, versets 11-15, que l’ĂȘtre humain a diffĂ©rentes trace votre destin ? C’est un point important Ă  Ă©tablir pour ne pas tomber dans l’erreur. Erreur qui peut ĂȘtre cause de pensĂ©es blasphĂ©matoires et mĂȘme de mort de l’ñme. L’ĂȘtre humain se dit parfois Étant donnĂ© que c’est Dieu qui fait le destin, Dieu fut injuste et mĂ©chant avec un tel puisqu’il l’a frappĂ© de malheurs ».Non, ma fille. Dieu n’est pas mĂ©chant et il n’est jamais injuste. Vous ĂȘtes myopes et vous ne voyez que trĂšs mal et seulement les choses qui sont proches de votre pupille. Comment pouvez-vous alors savoir le pourquoi Ă©crit dans le Livre du Seigneur de votre destin ? Comment pouvez-vous, de la Terre, grain de poussiĂšre roulant dans l’espace, comprendre la vĂ©ritĂ© vraie des choses, laquelle est Ă©crite au Ciel ? Comment nommer correctement ce qui vous arrive ?L’enfant Ă  qui la mĂšre donne un mĂ©dicament pleure, appelant sa mĂšre laide et mĂ©chante ; il essaie de repousser le remĂšde qui lui paraĂźt inutile et rĂ©pugnant. Mais la mĂšre sait qu’elle agit, non par mĂ©chancetĂ©, mais par bontĂ© ; elle sait que dans l’autoritĂ© dont elle fait preuve en cet instant pour se faire obĂ©ir, elle n’est pas laide, mais au contraire, elle revĂȘt une majestĂ© qui l’embellit ; elle sait que ce remĂšde est utile Ă  son enfant et elle l’oblige Ă  le prendre avec des caresses ou une voix sĂ©vĂšre. Si la mĂšre pouvait le prendre elle-mĂȘme pour guĂ©rir son petit malade, combien elle en prendrait !Vous aussi, vous ĂȘtes des enfants par rapport au bon PĂšre que vous avez aux Cieux. Il voit vos maladies et il ne veut pas que vous restiez malades. Il vous veut en santĂ© et forts, votre PĂšre d’amour. Et il vous administre des remĂšdes pour rendre robustes vos Ăąmes, pour les redresser, les guĂ©rir, pour les rendre, non seulement saines, mais aussi pouvait se passer de vous faire pleurer, ne croyez-vous pas qu’il le ferait, lui dont le cƓur tout amour est sillonnĂ© des larmes de ses enfants ? Mais Ă  chacun son heure. Il a tout fait pour vous afin de vous amener au salut Ă©ternel. Il s’est mĂȘme exilĂ© du Ciel, il a mĂȘme pressĂ© son Sang jusqu’à la derniĂšre goutte pour vous le donner, remĂšde trĂšs saint qui panse toutes les plaies, vainc toute maladie, renforce chaque c’est votre heure. Car, malgrĂ© la Parole, descendue des Cieux pour vous guider vers la vie, et malgrĂ© le Sang versĂ© pour vous racheter, vous n’avez pas su vous dĂ©tacher du pĂ©chĂ© et vous y retombez toujours ; l’Éternel, qui vous aime, vous impose un chĂątiment de douleur, plus ou moins grand selon la hauteur Ă  laquelle il veut vous Ă©lever ou le point jusqu’oĂč il veut vous faire expier ici-bas votre dette d’enfants y a, il est vrai, des crĂ©atures qui ont la douleur nĂ©cessaire pour devenir resplendissantes d’une double lumiĂšre dans l’autre vie. Mais il y en a d’autres qui doivent avoir la douleur pour laver leur Ă©tole tachĂ©e et atteindre la lumiĂšre. C’est la grande majoritĂ©. Cependant, et il y a lĂ  un contresens, mais c’est la vĂ©ritĂ© ce sont prĂ©cisĂ©ment celles-ci qui se rĂ©voltent le plus contre la douleur et qui appellent Dieu injuste et mĂ©chant parce qu’il les abreuve de douleur. Elles sont les plus malades et elles se croient les plus en on est dans la LumiĂšre et plus on accepte, aime, dĂ©sire la accepte quand on est une fois dans la aime quand on est deux fois dans la dĂ©sire et demande la douleur quand on est trois fois dans la LumiĂšre, plongĂ© en elle et vivant d’ contraire, plus on est dans les tĂ©nĂšbres et plus on fuit, hait la douleur, se rĂ©volte contre fuit les Ăąmes faibles qui n’ont pas la force de faire le grand mal ou le grand bien, mais vivotent une pauvre vie spirituelle, enveloppĂ©e des brouillards de la tiĂ©deur et des fautes vĂ©nielles, ont une peur incoercible de toute souffrance, de quelque nature qu’elle soit. Ce sont des esprit sans Ă©pine dorsale, sans hait les vicieux, pour qui la douleur est un obstacle Ă  la poursuite des vices de tout genre, haĂŻssent ce grand maĂźtre de vie se rĂ©volte le grand pĂ©cheur, totalement vendu Ă  Satan, accuÂŹ~mule les crimes spirituels, parvenant aux sommets de la rĂ©bellion, lesquels sont le blasphĂšme et le suicide ou l’homicide, pour se venger du moins le croit-il de la souffrance. Sur celui-ci, l’Ɠuvre paternelle de Dieu se transforme en fermentation du mal, parce que ce grand pĂ©cheur est pĂ©tri de mal comme la farine est pĂ©trie de levain. Et le Mal, comme le levain sous l’action du pĂ©trissage, se gonfle en eux et en fait le pain pour l’ laquelle de ces trois catĂ©gories as-tu appartenu ? À laquelle appartiens-tu maintenant ? Dans laquelle veux -tu rester ? Tu n’as pas Ă  rĂ©pondre, je connais ta rĂ©ponse. C’est pour ça que je te parle et que je suis avec fois, l’ĂȘtre humain se dit Si chacun a un destin bien tracĂ©, il est inutile de trimer et de lutter. Laissons-nous aller, de toute façon tout est arrĂȘtĂ© ».Autre erreur pernicieuse. Oui, Dieu connaĂźt le destin. Mais vous, le connaissez-vous ? Non. Vous ne le connaissez pas d’heure en te donne un exemple. Pierre me renia. Il Ă©tait Ă©crit dans son destin qu’il commettrait cette erreur. Mais il se repentit de m’avoir reniĂ© et Dieu lui pardonna et fit de lui son Pontife. S’il avait persistĂ© dans son erreur, aurait -il pu devenir mon Vicaire ?Ne dis pas c’était le destin. N’oublie jamais que Dieu connaĂźt vos destins, mais c’est vous qui faites votre destin. Il ne violente pas votre libertĂ© d’agir. Il vous donne les moyens et les conseils, il vous donne les avertissements pour vous remettre sur le droit chemin, mais si vous ne voulez pas rester sur ce chemin, il ne vous y forcera ĂȘtes libres. Il vous a créés majeurs. C’est une joie pour Dieu si vous restez dans la maison du PĂšre, mais si vous dites Je veux m’en aller », il ne vous retient pas. Il pleure sur vous et s’afflige de votre destin. Il ne veut pas en faire plus, car en en faisant plus, il vous enlĂšverait la libertĂ© qu’il vous a donnĂ©e. C’est une joie pour Dieu quand, sous la morsure de la disette, comprenant que la joie n est que dans la maison du PĂšre, vous revenez Ă  lui. La joie et la reconnaissance de Dieu vont Ă  ceux qui, par leur sacrifice et leurs priĂšres, surtout ces deux choses, et puis par leurs paroles, rĂ©ussissent Ă  me rendre un enfant. Mais rien de revanche, sache que ceux qui sont dans ma main comme de l’argile molle dans la main du potier sont les Ă©lus de mon cƓur. Ma main est sur eux comme une caresse. Mes caresses les modĂšlent, leur donnant mon empreinte et les façonnant Ă  la ressemblance de ma douceur de ma charitĂ©, de ma puretĂ© et de la plus belle de toutes les ressemblances celle de ma ce sont les Ăąmes qui continuent ma mission de RĂ©dempteur et auxquelles je dis sans cesse merci » qui constituent la bĂ©nĂ©diction qui protĂšge le plus. Et si le voile de VĂ©ronique est sacrĂ© parce qu’il porte mon effigie, que seront ces Ăąmes qui sont ma vĂ©ritable effigie ?Courage, Maria ! Ma paix est avec toi. Je suis avec toi. N’aie pas peur !Source artisan de son destin ; savoir obĂ©ir en suivant l’exemple de JĂ©sus et de Marie Le 18 septembre 1943 JĂ©sus dit J’ai dit hier “Vous faites votre destin”. Aujourd’hui, j’ajoute vous faites votre destin, mais lorsqu’on fait la volontĂ© que le PĂšre propose, on est sĂ»r de se faire un destin de lumiĂšre, tandis que si l’on se ferme les oreilles et les yeux pour ne pas entendre et ne pas voir la volontĂ© du PĂšre, et qu’on se ferme l’ñme Ă  l’amour qui porte Ă  l’obĂ©issance, en suivant, non pas la voix de l’esprit, mais celle de la chair et du sang attisĂ©s par Satan, on se crĂ©e un destin de tĂ©nĂšbres qui aboutit Ă  la mort de l’ si tu rĂ©flĂ©chis au fait que, dans la vie, celui qui aime que ce soit un enfant, un frĂšre, une sƓur, un Ă©poux, une Ă©pouse, un Ă©lĂšve, un subordonnĂ©, qui que ce soit cherche toujours Ă  contenter l’ĂȘtre aimĂ©, tu peux facilement comprendre que ceux qui aiment beaucoup Dieu se conforment Ă  ses dĂ©sirs, quels qu’ils soient ; que ceux qui l’aiment peu s y conforment moins et seulement Ă  ces dĂ©sirs qui ne leur coĂ»tent pas trop de peine ; et enfin, que ceux qui ne l’aiment pas du tout ne se conforment aucunement aux dĂ©sirs de sa sainte volontĂ©, mais, au contraire, se rĂ©voltent, se lançant sur le sentier qui mĂšne aux antipodes de la destination que Dieu conseille, et s’éloignent du PĂšre en blasphĂ©mant contre pourrait donc en conclure, sans crainte de se tromper, que la mesure dans laquelle une crĂ©ature sait obĂ©ir aux dĂ©sirs de son Seigneur et PĂšre donne la mesure dans laquelle elle aime son CrĂ©ateur. Celui qui dit aimer Dieu et ne sait pas suivre sa voix qui lui parle avec amour pour le conduire Ă  sa demeure, celui-lĂ  qui veut- il tromper par son mensonge ? Dieu ? On ne trompe pas Dieu. Vos paroles ont le vrai sens qu’elles ont, et non le sens que vous leur donnez, et Dieu comprend leur vrai sens. Or, si vous dites aimer le Seigneur et qu’ensuite vous lui refusiez l’obĂ©issance, qui est une des preuves fondamentales de l’amour, il ne peut que vous appeler hypocrites et menteurs et vous traiter comme voulez peut-ĂȘtre tromper Satan et, profitant des arrangements commodes avec votre conscience qu’il vous suggĂšre, lui signifier en mĂȘme temps que vous voulez ĂȘtre heureux en cette vie, mais aussi dans l’autre, mĂ©nageant Dieu et Satan, le Ciel et l’Enfer ? Ô sots que vous ĂȘtes ! On ne trompe pas le RusĂ© et, moins patient que Dieu, il exige une compensation immĂ©diate et il faut le payer tout de suite, car il n’accorde aucun dĂ©lai. Et en vĂ©ritĂ©, je vous dis que son joug n’est pas une aile, mais une lourde pierre qui Ă©crase et enfonce dans la boue et dans les voulez peut-ĂȘtre vous tromper vous-mĂȘmes, vous disant que ce n’est qu’une nĂ©cessitĂ© de la terre qui vous pousse Ă  faire votre volontĂ©, mais qu’au fond, vous voudriez faire celle de Dieu parce que vous la prĂ©fĂ©rez ? Hypocrites, hypocrites, hypocrites !Il y a en vous un juge qui ne connaĂźt point le sommeil, et c’est votre esprit. MĂȘme si vous le blessez Ă  mort et que vous le condamniez Ă  pĂ©rir, il crie en vous, aussi longtemps que vous ĂȘtes de cette terre, il crie son dĂ©sir du Ciel. Vous l’accablez et le bĂąillonnez pour l’immobiliser et le faire taire, mais il se dĂ©mĂšne jusqu’à se dĂ©barrasser de votre bĂąillon et il jette son cri dans le silence dĂ©solĂ© de votre cƓur. Et, cette voix, comme le cri de mon PrĂ©curseur, est un tel tourment pour vous que vous cherchez Ă  l’étouffer pour toujours. Vous n’y rĂ©ussirez jamais. Aussi longtemps que vous vivrez, vous l’entendrez, et dans l’au-delĂ , elle criera encore plus fort, vous reprochant d’avoir commis le crime d’homicide de votre clĂ© de certaines aberrations humaines, qui vont en augmentant et mĂšnent l’individu Ă  de monstrueuses dĂ©linquances, se trouve dans cette voix de la conscience que vous cherchez Ă  affaiblir par de nouveaux sursauts de fĂ©rocitĂ©, tout comme l’intoxiquĂ© cherche Ă  oublier son malheur voulu en s’intoxiquant toujours davantage, jusqu’à l’ des fils et des filles, mes crĂ©atures. Aimez, aimez notre bon PĂšre qui est aux Cieux. Aimez-le autant que vous le pouvez. Il vous sera alors facile de suivre sa volontĂ© bĂ©nie et de vous faire un destin de gloire qui l’ai aimĂ© Ă  la perfection, je l’ai contentĂ© jusqu’au sacrifice de ma divinitĂ© qui, pendant trente-trois ans, s’est exilĂ©e des Cieux, et de ma vie qui fut dĂ©truite dans le martyre le plus atroce de la chair, de l’intellect, du cƓur et de l’ MĂšre, qui vient aprĂšs moi dans sa capacitĂ© d’aimer, aima avec toute la perfection possible Ă  une crĂ©ature, car, qu’on se le dise incidemment et en rĂ©ponse Ă  une objection qu’on t’a faite, elle possĂ©dait la plĂ©nitude de chaque vertu et de chaque attribut, toujours et naturellement en tant que crĂ©ature parfaite, mais nĂ©anmoins crĂ©ature humaine. Puisqu’elle avait en elle la plĂ©nitude de la GrĂące, c’est-Ă -dire qu’elle possĂ©dait Dieu comme seule Marie l’a possĂ©dĂ©, il est Ă©vident que sa perfection devait atteindre des hauteurs qui ne sont surpassĂ©es que par Dieu. Eh bien, Marie qui venait donc aprĂšs moi dans sa capacitĂ© d’aimer, a adhĂ©rĂ© Ă  la volontĂ© de Dieu jusqu’au sacrifice de sa vocation, qui Ă©tait de se consacrer uniquement Ă  la contemplation de Dieu, et de son cƓur que Dieu lui demanda pour le divine maternitĂ© de Marie est la preuve vivante de son adhĂ©sion Ă  la volontĂ© de Dieu. Moi, le Fils qui n’a pas enlevĂ© Ă  la MĂšre sa blancheur immaculĂ©e de lys inviolĂ©, je suis le tĂ©moignage de l’acquiescement de Marie aux volontĂ©s de a dĂ©fiĂ© l’opinion du monde, le jugement de son Ă©poux, en plus que d’avoir embrassĂ© son Ă©chafaud de MĂšre du RĂ©dempteur, sans l’assurance que Dieu ne repoussait pas le don de sa puretĂ©, elle prononça le plus haut “fiat” jamais dit par des lĂšvres humaines et elle n’eut aucune crainte Dieu Ă©tait sa force et elle lui confiait son honneur, son avenir, tout, sans vos modĂšles moi et Marie. Suivez-nous, et vous vous ferez le destin que Dieu dĂ©sirait pour chacune de ses crĂ©atures. Suivez-nous, et vous possĂ©derez la paix, car vous possĂ©derez Dieu qui est paix, et vous sentirez le bien-ĂȘtre de votre bĂ©atitudes que j’ai proclamĂ©es, vous les aurez dĂšs cette terre si vous faites la volontĂ© de votre PĂšre. Ensuite, au Ciel, elles seront soixante-dix fois plus grandes, parce qu’alors rien n’entravera votre fusion en Dieu. »Source dĂ©taillĂ©e de la vision de Marie Le 19 septembre 1943 Hier soir, 18 septembre, je souffrais terriblement. J’avais souffert comme ça toute la journĂ©e et j’étais vraiment Ă©puisĂ©e. Chaque respiration, le moindre mouvement m’étaient trĂšs pĂ©nibles et m’obligeaient Ă  me lamenter, moi qui ne me lamente jamais. Et puis, tousser, n’en parlons pas... J’aurais prĂ©fĂ©rĂ© un coup de fusil Ă  une quinte de l’heure du dĂźner, c’est-Ă -dire entre 20h et 21h, alors que j’étais restĂ©e seule, ma vue mentale fut comblĂ©e par la vision de la TrĂšs Sainte Vierge Marie. Je vais essayer de vous la dĂ©crire. Mais comment faire pour vous montrer sa beautĂ© et ses couleurs ?Elle est vĂȘtue de blanc une robe fermĂ©e au ras du col, comme si elle Ă©tait plissĂ©e je vois que, sur sa poitrine, l’étoffe forme des plis souples qui modĂšlent chastement les formes de Marie. Les manches sont plutĂŽt Ă©troites et vont jusqu’au poignet. La robe est ramassĂ©e Ă  la taille par une ceinture. Mais elle n’est ni d’or ni d’argent. On dirait un cordon de soie, de la mĂȘme couleur et aussi brillant que la robe. Il n’est pas nouĂ© et les bouts ne pendent pas sur la robe. Il ceint la taille, et c’est la tĂȘte, une mante de la mĂȘme Ă©toffe que la robe, lĂ©gĂšre mais non transparente. Elle descend le long des joues de Marie, se resserre au cou, comme si une boucle la retenait. Mais une boucle large, car je peux voir la gorge trĂšs blanche de Marie. Bref, la mante repose sur ses Ă©paules et descend le long des bras et des hanches jusqu’au comment faire pour dĂ©crire la splendeur de cette robe trĂšs simple d’une blancheur Ă©clatante ? En comparaison, la neige est grise et opaque, le lys moins beau. On dirait de l’argent devenu Ă©toffe tant le blanc resplendit. Oh ! Impuissance de la parole Ă  dĂ©crire la lumiĂšre ! Seulement au Ciel, et pour revĂȘtir Marie, peut-il y avoir une Ă©toffe d’un tel blanc phosphorescent, tel du diamant, perlĂ©, opalescent, une pierre prĂ©cieuse sans en ĂȘtre une et sans ĂȘtre le rĂ©sultat d’une alliance de pierres prĂ©cieuses pour resplendir ainsi !Je vois l’ovale plutĂŽt rond du visage de Marie. D’une teinte d’ivoire comme certains pĂ©tales de magnolia ; le teint est pareil Ă  celui de son Fils, mais la forme est diffĂ©rente, le visage de JĂ©sus Ă©tant plus maigre et allongĂ©. Sur le visage de fleur, seules les lĂšvres et les cils minces, Ă  peine foncĂ©s, mettent un peu de yeux, non grands ouverts, mais Ă  demi voilĂ©s par les paupiĂšres, ont le mĂȘme regard que le Fils et sont de la mĂȘme couleur bleue, mais plus pĂąle. En faisant une comparaison humaine comme d’habitude, on pourrait dire que JĂ©sus a les yeux saphir et Marie turquoise. On remarque chez Marie le mĂȘme regard sĂ©rieux et triste que chez JĂ©sus, mais il est d’une tristesse qui s’unit au sourire le bon sourire de quelqu’un qui est affligĂ©, mais qui veut consoler et encourager en mĂȘme cheveux ont la couleur des blĂ©s mĂ»rs ou de l’or pur, si vous prĂ©fĂ©rez, tirant sur le blond roux, mais plus blonds que roux, tandis que les cheveux de JĂ©sus tirent davantage sur le blond mains longues et fines, aux doigts trĂšs longs et fuselĂ©s, sortent des manches Ă©troites, avec leurs poignets dĂ©licats et trĂšs blancs. Ce sont deux pĂ©tales de magnolia joints en priĂšre. Il me semble qu’elles doivent sentir les fleurs, tant elles ressemblent Ă  des boutons de bijou, absolument aucun. C’est toute la personne de Marie qui est une pierre prĂ©cieuse d’une luminositĂ© d’albĂątre, ou mieux encore, d’opale illuminĂ© de l’intĂ©rieur par une flamme. Son corps glorifiĂ© dĂ©gage de la lumiĂšre, une trĂšs douce lumiĂšre qui me fait vraiment penser Ă  une lampe ardente devant le tabernacle une lampe d’albĂątre blanc ou, je rĂ©pĂšte, d’ ne vois pas les pieds parce que la robe est tellement longue qu’elle les voilĂ  que je vous ai dĂ©crit notre m’a tenu et me tient compagnie, et il me semble que tout autour de moi devient lumineux et virginal ; lumiĂšre et puretĂ© descendent dans mon cƓur et avec elles, une joie qui me fait pleurer de crois que si Marie disait un seul mot, mon Ăąme s’évanouirait dans l’extase, parce qu’il n’y a qu’un fil qui m’empĂȘche d’y sombrer, et cela juste parce que j’ai vu la BĂ©nie et que je me suis senti embrasser par son sourire et son maintenant le soir, et je dis Ă  JĂ©sus Tu ne dis rien aujourd’hui, Seigneur ? »Il rĂ©pond que c’est Marie qui me donne ma leçon d’aujourd’hui, et que la contempler n’exige aucune parole. En effet, la vision de Marie enseigne Ă  elle seule la beautĂ© de la puretĂ©, de la priĂšre et du silence. Trois grandes choses trĂšs peu et mal milieu de mes souffrances physiques et morales, je me trouve dans la joie, parce que la lumiĂšre de la plus belle Étoile, de Marie, brille sur moi et qu’il m’est donnĂ© de la tard...
 et Marie me dit sans parler qu’elle m’enseigne une autre chose Ă  voir ses enfants mĂȘme dans les ennemis. Elle a donnĂ© son Fils pour eux aussi et elle les a acceptĂ©s comme ses enfants, ainsi qu’elle nous a acceptĂ©s. Elle me fait comprendre que, lorsque nous les regardons avec hargne, nous l’affligeons et nous devenons diffĂ©rents d’elle qui regarda avec une aimante compassion ceux qui crucifiĂšrent son Fils et transpercĂšrent son cƓur et humilitĂ© chez ses porte-parole reproche du Seigneur aux prĂȘtres matĂ©rialistes et orgueilleux Le 20 septembre 1943JĂ©sus dit Sais-tu pourquoi je t’ai choisie ? Parce que tu es un rien, et tu es convaincue de l’ĂȘtre, et parce que l’amour t’ vais cherchant humilitĂ© et amour pour dĂ©poser mes paroles et mes grĂąces et pour faire resplendir mes misĂ©ricordes, puisque le monde a toujours besoin de preuves de ma misĂ©ricorde pour conserver un minimum d’amour et de foi en autrefois, la formation de mon Église et la diffusion du Christianisme dans le monde avaient portĂ© les fruits que la premiĂšre floraison laissait espĂ©rer, il n’y aurait eu besoin de rien d’ donnĂ© Ă  ceux qui croyaient en moi tout ce qui leur Ă©tait nĂ©cessaire pour grandir toujours davantage dans la Foi et dans ma Doctrine. Et je l’avais donnĂ© dans une forme parfaite comme moi seul, le trĂšs Parfait, pouvais le faire. Or il est arrivĂ© qu’avec le temps, ce que je vous ai donnĂ© n’a pas perdu son efficacitĂ©, mais votre facultĂ© de comprendre s’est affaiblie en vous. Elle s’est affaiblie parce que la fumĂ©e de vos orgueils humains a assombri votre vue spirituelle ; votre ouĂŻe spirituelle a Ă©tĂ© Ă©moussĂ©e par le bruit de trop de paroles humaines ; votre goĂ»t spirituel, par la saveur de tant de corruption ; votre toucher spirituel, par l’abus de trop de contacts charnels ; votre odorat spirituel, par la perversion qui vous pousse Ă  prĂ©fĂ©rer ce qui est corrompu Ă  ce qui est pur. Elle s’est affaiblie parce que vous avez Ă©crasĂ© votre esprit sous les pierres des sens, de la chair, de l’orgueil, du mal aux mille un ruisseau destinĂ© Ă  arroser les fleurs de vos Ăąmes, j’avais fait jaillir ma Doctrine des Cieux, mieux encore, de mon cƓur qui vous aime. Mais vous y avez lancĂ© des pierres et des gravats, le subdivisant en mille filets d’eau qui ont fini par se perdre sans vous avoir Ă©tĂ© d’aucune utilitĂ©, Ă  vous, chrĂ©tiens, qui avez plus ou moins reniĂ© le hĂ©rĂ©sies manifestes ont mĂȘme oblitĂ©rĂ© beaucoup de veines qui, partant de mon cƓur, descendaient pour nourrir l’organisme de l’Église, une, catholique, romaine, universelle, et une grande partie de l’organisme n’est plus qu’un membre paralysĂ©, mort Ă  la vie, destinĂ© Ă  produire des cellules les petites hĂ©rĂ©sies individuelles — si nombreuses ! — se sont aussi propagĂ©es dans le noyau des catholiques. Et ce sont les plus pernicieuses, les plus condamnĂ©es. Car rĂ©flĂ©chis bien si, Ă  des annĂ©es et des siĂšcles de distance, on peut condamner jusqu’à un certain point les protestants, de quelque confession qu’ils soient, les orthodoxes et les orientaux qui suivent fidĂšlement ce que leurs ancĂȘtres leur ont lĂ©guĂ© comme la vraie Foi, on ne peut pardonner Ă  celui qui vit sous le signe de l’Église de Rome et qui se crĂ©e sa propre hĂ©rĂ©sie particuliĂšre, celle de sa sensualitĂ©, de son esprit, de son de compromis avec le Mal ! Combien de compromis que je vois et que je condamne !Quatre-vingt-dix pour cent des catholiques se prĂ©occupent de tout exceptĂ© de la vie et de ma Foi. Alors j’interviens. J’interviens par mon enseignement direct qui se substitue, avec ses lumiĂšres et ses flammes, Ă  tant de chaires trop glacĂ©es et trop sombres. J’interviens pour ĂȘtre le MaĂźtre Ă  la place des maĂźtres qui prĂ©fĂšrent cultiver leurs intĂ©rĂȘts matĂ©riels plutĂŽt que vos intĂ©rĂȘts spirituels et surtout les miens. Puisque je leur ai confiĂ© les talents vivants que vous ĂȘtes, Ăąmes achetĂ©es avec mon Sang, vignes et greniers du Christ RĂ©dempteur, non pour qu’ils les laissent improductifs et incultes, mais pour qu’ils consacrent toutes leurs Ă©nergies Ă  les faire produire et bien, Maria, sais-tu qui sont les plus rĂ©trogrades lorsqu’il s’agit d’accepter cette aide que j’apporte pour rĂ©parer les dommages causĂ©s par cette inanition spirituelle qui fait que vous, les catholiques, vous vous mourez ? Ce sont prĂ©cisĂ©ment mes prĂȘtres. Les pauvres Ăąmes dispersĂ©es dans le laĂŻcat catholique accueillent avec dĂ©votion ce pain que je romps pour les foules Ă©garĂ©es dans le dĂ©sert ; j’ai pitiĂ© d’elles car elles dĂ©pĂ©rissent. Mais pas les docteurs de ma logique, d’ailleurs. Comme il y a vingt siĂšcles, ma Parole qui vous caresse, pauvres Ăąmes, est un reproche pour ceux qui vous ont laissĂ©es vous appauvrir. Et le reproche pĂšse toujours, mĂȘme s il est juste. Mais aujourd’hui comme il y a vingt siĂšcles, je ne peux que leur rĂ©pĂ©ter “Malheur Ă  vous, docteurs de la Loi, qui avez usurpĂ© la clĂ© du savoir et n’y ĂȘtes pas entrĂ©s, et avez entravĂ© ceux qui y entraient”.Ceux qui ne sont pas entrĂ©s, parce que vous leur aviez barrĂ© le chemin avec vos mesquineries et scandalisĂ© leurs cƓurs, qui vous regardaient comme leurs maĂźtres, parce qu’ils vous ont vus plus indiffĂ©rents qu’eux-mĂȘmes aux vĂ©ritĂ©s Ă©ternelles, ceux-lĂ  seront jugĂ©s avec vous, vous qui avez prĂ©fĂ©rĂ© l’argent, les honneurs, le confort, le profit de vos proches Ă  ta mission d’ĂȘtre les “maĂźtres” au nom du Christ et pour continuer son enseignement ; mais vous qui ĂȘtes si sĂ©vĂšres Ă  l’égard de vos frĂšres et sƓurs, prĂ©tendant qu’ils donnent ce que vous ne donnez pas, et qu’ils fassent fructifier ce que vous n’avez pas semĂ© en eux, alors que vous ĂȘtes si indulgents envers vous-mĂȘmes ; mais vous qui ne croyez pas Ă  mes manifestations, ces manifestations qu’au fond vous avez vous-mĂȘmes provoquĂ©es, puisque c’est pour rĂ©parer les ruines causĂ©es par vous que je viens instruire les cƓurs dispersĂ©s par te monde et observez que plus je viens et plus les temps se chargent d’hĂ©rĂ©sies ; mais vous qui raillez et persĂ©cutez mes porte-parole et les insultez, les traitant de “fous” et d’obsĂ©dĂ©s », comme vos lointains ancĂȘtres firent avec moi ; vous serez traitĂ©s avec les sens de l’ñme avec le feu de l’amour et de la pĂ©nitence, et vous entendrez, vous verrez, vous goĂ»terez, vous sentirez ma prĂ©sence dans les paroles que je dis aux humbles et que je tais Ă  vous, orgueilleux, car seulement celui qui a une Ăąme d’enfant entrera dans mon Royaume, et je ne rĂ©vĂšle les secrets du roi qu’aux petits, car le plus grand parmi vous, catholiques, n’est pas celui qui revĂȘt un habit d’autoritĂ©, mais celui qui vient Ă  moi avec un cƓur pur, confiant comme un enfant, plein d’amour comme un nouveau-nĂ© pour la maman qui le les petits. Je les ferai grands au Ciel ! »Source des trois Gentils justes Le 22 septembre 1943 Il ressort de mon Évangile un enseignement pour vous, ĂȘtres humains divisĂ©s par la je t’ai laissĂ©e tranquille pour te donner le temps de changer tes pensĂ©es et ton regard oui, mĂȘme le regard, car il y a des regards coupables Ă  cause de la haine qui les remplit comme et plus que des paroles en filtrant les mouvements de ton cƓur Ă  travers l’enseignement trĂšs doux de tempĂȘtes qui bouleversent un lac ne se calment pas d’un seul coup et surtout, lorsqu’elles se calment, l’apparence des eaux ne se rĂ©tablit pas immĂ©diatement. La couleur et la limpiditĂ© de l’eau restent troublĂ©es pendant quelque temps, et seulement quand les vagues sont complĂštement calmĂ©es, mĂȘme dans les profondeurs, l’eau s Ă©claircit-elle et revient-elle bleue et sereine comme le ciel. Il en va de mĂȘme lorsque la haine s’engouffre avec son vent d’enfer dans un cƓur. Il faut du temps pour que l’ñme se purifie de ses toxines bien, Maria, que je comprends que, sous l’effet de certains agents douloureux, il est humain que la haine surgisse. Mais vous n’ĂȘtes pas seulement humains. MĂȘme que votre humanitĂ© est une phase transitoire de votre vie, tandis que le surhumain ne connaĂźt pas l’éphĂ©mĂšre, puisque du moment oĂč vous ĂȘtes créés par le PĂšre, vous ĂȘtes et serez toujours, dans la lumiĂšre ou dans les tĂ©nĂšbres selon vos actions sur terre, non pas jusqu’à la fin du monde, mais dans l’éternitĂ© qui n’a pas de terre ! La longue vie, vie millĂ©naire des dizaines et des dizaines de fois de la terre chrĂ©tienne et la vie sept fois millĂ©naire de la Terre, planĂšte créée par le PĂšre, que sont-elles dans mon temps Ă  moi ? Un instant d’ tu Ă©tais en train de te purifier et je t’ai laissĂ©e plongĂ©e dans ce travail nĂ©cessaire Ă  tous et en particulier Ă  mes bien-aimĂ©s parce que je ne peux m’arrĂȘter lĂ  oĂč rĂšgne la haine. Souviens-t’en toujours, fĂ»t-ce la plus comprĂ©hensible et humainement juste des haines. Et je parle pour toi et pour tout le dont je te parle et que vous donne mon Évangile, et sur lequel vous mĂ©ditez peu ou pas du tout, est un enseignement de haute charitĂ©. Il y a trois Ă©pisodes qui vous le donnent. Ils vous sont expliquĂ©s d’autres façons, mais moi, en cette heure de haine entre les races du monde, je vais vous l’expliquer Ă  ma façon une façon sur laquelle vous auriez grand besoin de mĂ©diter afin de sortir de ce guĂȘpier d’enfer en lequel vous avez transformĂ© la centurion qui implore pour son serviteur paralysĂ©, la femme cananĂ©enne dont la rĂ©ponse est un cri de confiance sans limites, la femme de Ponce Pilate. Trois Gentils, trois personnes en dehors de la Loi du PĂšre. Mais qui, parmi les descendants d’Abraham, parmi ceux qui vivaient dans la Loi donnĂ©e par le Seigneur Ă  son prophĂšte au milieu des foudres du SinaĂŻ, qui avait un cƓur pareil Ă  ces trois cƓurs ? Ils ont cru en moi plus que mes compatriotes, ils ont reconnu qui j’étais Ă  la lumiĂšre de leur foi, et leur foi a Ă©tĂ© je veux que cela vous persuade que, dans toutes les races, dans toutes les nations, il y a des bons, des enfants de Dieu inconnus, puisque celui qui croit en moi et me cherche avec un cƓur pur est mon enfant. Je n’avais pas trouvĂ©, mĂȘme en IsraĂ«l, autant de foi que je trouvai en ces trois cƓurs qui vinrent Ă  moi sans que je les appelle matĂ©riellement. Et comme ces frĂšres et sƓurs lointains, il y en a tellement parmi les vivants !Ne jugez pas, mes enfants, et ne mĂ©prisez pas. Aimez seulement, aimez tout le monde ; vous avez tous le mĂȘme PĂšre CrĂ©ateur, souvenez-vous-en ; vous ĂȘtes donc frĂšres et sƓurs. Une seule poussiĂšre vous a formĂ©s et un seul souffle vous a alors tant de haine les uns envers les autres ? Ne soyez pas durs envers les autres. Regardez JĂ©sus, le MaĂźtre qui ne se trompe pas et qui n’a pas repoussĂ© le centurion paĂŻen et la cananĂ©enne qu’on avait jugĂ©e, en IsraĂ«l, lĂ©preuse dans l’ garde que ce ne soit Dieu qui vous juge tels, vous qui ĂȘtes infectĂ©s de cruautĂ©, de fraude, de luxure et d’orgueil. Purifiez-vous au feu de l’amour. C’est l’eau lustrale qui rend votre Ăąme blanche de nouveau et le toucher qui ouvre vos yeux aveuglĂ©s, vos oreilles bouchĂ©es, qui donne la vie Ă  votre esprit paralysĂ© et vous rend capables de comprendre ce que le divin Esprit dit Ă  votre esprit, qui a besoin de tant de lumiĂšre et de nĂ©cessitĂ©s l’amour et la pĂ©nitence Le 23 septembre 1943 JĂ©sus dit “Je reviens Ă  une des notes dominantes de mes paroles. Il y en a deux, Maria. La premiĂšre est la nĂ©cessitĂ© de l’amour ; la deuxiĂšme, la nĂ©cessitĂ© de la Dieu Unique en Trois Personnes vous avait créés en vous donnant un royaume oĂč tous Ă©taient vos sujets et dont la souffrance Ă©tait bannie, un royaume oĂč la mort ne venait pas tronquer la vie de vos ĂȘtres les plus chers, dans l’effroi des mourants et les gĂ©missements des survivants, mais seulement une dormition, comme celle de Marie, qui permettait de franchir, dans les paisibles brumes d’un sommeil innocent, les portes qui s’ouvraient si facilement sur le paradis terrestre pour laisser entrer Ă  flots la lumiĂšre du plus haut Paradis et la voix paternelle du Seigneur qui trouvait sa joie Ă  ĂȘtre avec ses enfants. En vĂ©ritĂ©, ce Dieu avait Ă©tabli une seule nĂ©cessitĂ© celle de l’amour. L’amour des enfants pour leur PĂšre, l’amour des sujets pour leur Roi, l’amour des crĂ©atures pour leur Dieu si l’acide de votre faute n’avait pas rongĂ© les racines de l’amour, il aurait poussĂ© et serait devenu fort en vous, sans exiger d’effort de votre part. Non pas source de peine, mais de joie pour vous, un besoin dont l’exercice soulage, comme la respiration. Et effectivement, l’amour Ă©tait destinĂ© Ă  ĂȘtre la respiration de votre esprit, le sang de votre vint la faute. Oh ! La ruine de la faute !Vous que les ruines de vos palais, de vos temples, de vos ponts, de vos villes remplissent d’horreur, vous qui maudissez les explosifs qui brisent, lĂ©zardent, rĂ©duisent tout en poussiĂšre, ne mesurez-vous pas quelle ruine a provoquĂ©e la faute dans l’ĂȘtre humain ? L’ĂȘtre humain, l’Ɠuvre la plus parfaite de la crĂ©ation, façonnĂ©, non par main humaine, mais par l’Intelligence Ă©ternelle, laquelle vous a coulĂ©s, tel un mĂ©tal sans scories, dans son propre moule pour ainsi dire, et vous en a tirĂ©s formĂ©s Ă  son image et Ă  sa ressemblance, si beaux et si purs que l’Ɠil de Dieu se rĂ©jouit devant son Ɠuvre et les Cieux tressaillirent d’admiration, et la Terre chanta d’une voix trĂšs haute, dans l’harmonie des sphĂšres, la gloire d’ĂȘtre la planĂšte qui, aux origines de l’Univers, devenait l’immense palais de l’humain-roi, enfant de faute, plus nĂ©faste que n’importe quelle dynamite, a tout bouleversĂ© aux racines mĂȘmes de l’ĂȘtre humain. Et sais-tu oĂč elles se trouvaient ? Dans la pensĂ©e de Dieu, qui avait fait l’ĂȘtre faute a bouleversĂ© aux racines de l’ĂȘtre humain, cet ensemble parfait de chair et d’esprit ; d’une chair qui n’était guĂšre dissemblable, dans les mouvements du sentiment, de l’esprit dont elle n’était pas le contraire, encore moins l’ennemie, mais Ă  peine plus pesante que lui ; d’un esprit qui n’était pas prisonnier, tourmentĂ© dans la prison de la chair, mais jubilant dans la chair docile qu’il guidait vers Dieu, car Ă©tant une molĂ©cule de l’esprit de Dieu, il Ă©tait attirĂ© par Dieu comme par un aimant divin, en vertu des rapports d’amour entre le CrĂ©ateur, le Tout, et l’esprit, la faute a bouleversĂ© le milieu harmonieux que Dieu avait créé autour de son enfant pour qu’il fĂ»t roi, et roi fois tombĂ© l’amour de l’ĂȘtre humain envers Dieu, l’amour de la Terre envers l’ĂȘtre humain tomba aussi. La barbarie se dĂ©chaĂźna sur la Terre entre les crĂ©atures infĂ©rieures, entre elles et l’ĂȘtre humain, et horreur suprĂȘme, entre les ĂȘtres humains. Ce sang, qui ne devait ĂȘtre chaud que de l’amour de Dieu, s’échauffa de haine, bouillonna et coula goutte Ă  goutte, contaminant l’autel de la Terre oĂč Dieu avait mis ses premiers enfants pour qu’ils l’aimassent en s’aimant et qu’ils enseignassent l’amour aux futurs humains le seul rite que Dieu voulait d’ voilĂ  que, de la graine de la faute, naquit une plante, une plante aux fruits amers et aux branches piquantes la fut d’abord la douleur telle que l’humain pouvait la subir dans sa spiritualitĂ© embryonnaire contaminĂ©e une douleur animale faite des premiĂšres douleurs de la femme et des premiĂšres blessures infligĂ©es Ă  la chair fraternelle, une douleur fĂ©roce de hurlements et de malĂ©dictions, semence de vengeances toujours renouvelĂ©es. Puis, se raffinant en cruautĂ© mais non en mĂ©rite, la douleur aussi Ă©volua, devenant plus vaste et plus suis venu sanctifier la douleur, subissant la Douleur pour vous et fondant vos douleurs relatives Ă  ma douleur infinie, donnant ainsi mĂ©rite Ă  la suis venu confirmer par ma vie et ma mort l’avertissement donnĂ© Ă  plusieurs reprises par mes prophĂštes ce que Dieu exige pour pardonner Ă  ses enfants de plus en plus coupables et pour les bĂ©nir, ce n’est pas la circoncision matĂ©rielle, mais la circoncision des cƓurs, de vos sentiments, de vos impulsions que le germe du premier pĂ©chĂ© transforme toujours en impulsions de chair et de sang ou de la plus haute luxure celle de l’ c’est lĂ , mes enfants, que vous devez travailler avec le fer et le feu pour marquer dans votre Ăąme le signe qui sauve, le signe de Dieu. C’est lĂ , mais non avec le fer et le feu de vos lois fĂ©roces et de vos guerres maudites. C’est lĂ  Ă  l’endroit oĂč se forment les lois et les guerres des humains, car il est inutile de dire le contraire. Si vous viviez dans le signe du Seigneur, spirituellement circoncis pour enlever ce qui apporte des impuretĂ©s de tout genre, vous ne seriez pas ce que vous ĂȘtes des insensĂ©s, pour ne pas dire des fauves. Et note bien qu’il y a peu de diffĂ©rence entre les insensĂ©s et les fauves, car tous deux sont dĂ©nuĂ©s de raison, c’est-Ă -dire de ce que Dieu a mis dans l’humain pour le faire rĂ©gner sur tous les ĂȘtres de la humain est soumis Ă  deux nĂ©cessitĂ©s l’amour et la douleur. L’amour qui vous empĂȘche de faire le mal, la douleur qui rĂ©pare le la science qu’il faut apprendre savoir aimer et savoir souffrir. Mais vous ne savez pas aimer et vous ne savez pas souffrir vous savez faire souffrir, mais ce n’est pas de l’amour, c’est de la ĂȘtes-vous si savants dans le mal et si ignorants dans le bien ? Pourquoi ? N’ĂȘtes-vous jamais assouvis de haine et de cruautĂ© ? Et vous voulez que Dieu vous pardonne ?Revenez Ă  l’amour, mes enfants, et sachez supporter la douleur. Et si vous n’ĂȘtes pas mes enfants au point de souhaiter la douleur afin d’expier les pĂ©chĂ©s d’autrui, comme je sus le faire, soyez mes enfants au moins assez pour ne pas me maudire pour la souffrance que vous avez engendrĂ©e et dont vous m’ votre sot orgueil ! Apprenez du publicain Ă  reconnaĂźtre combien vous ĂȘtes indignes, Ă  quel point vous vous ĂȘtes rendus indignes de vivre sous le regard qui est votre protection. Jetez loin de vous les vaines soifs de la terre et approchez-vous de la Source de Vie qui depuis vingt siĂšcles coule pour vous. Injectez la Vie dans vos cƓurs qui se meurent dans la gangrĂšne du pĂ©chĂ© ou s’étiolent dans l’ Ă  vos sĂ©pulcres. Je suis le Christ, celui qui vient vous ne demande qu’à ĂȘtre appelĂ© pour accourir et dire Sors’. De la mort. Du mal. De l’égoĂŻsme, de la luxure, de la haine maudite qui consume sans vous donner la joie. Sors’ de tout ce qui est horreur pour entrer en moi, pour entrer avec moi dans la LumiĂšre, pour renaĂźtre dans l’Amour, pour connaĂźtre la vraie science, pour obtenir la paix et la vie, lesquelles, Ă©tant de moi, ont de moi l’éternitĂ©.” JĂ©rĂ©mie, chapitre 4, 4-22Source L’imitation du Christ dans la souffrance, la douceur et l’humilitĂ© pour combattre l’orgueil, la colĂšre et la luxure, oeuvres de Satan Le 24 septembre 1943 JĂ©sus dit Courage, Maria. Pense que tu subis les douleurs de mon agonie. Moi aussi, j’avais trĂšs mal aux poumons et au diaphragme, et chaque respiration, chaque mouvement, chaque battement Ă©tait une nouvelle douleur qui s’ajoutait Ă  la douleur. Et je n’étais pas comme toi sur un lit, mais grevĂ© d’un poids dans des rues qui grimpaient. Et puis, suspendu, sous le soleil, avec une fiĂšvre si forte qu’elle battait dans mes veines comme d’innombrables ce n’étaient pas lĂ  les pires souffrances. Plus torturante encore Ă©tait l’agonie du cƓur et de l’esprit. Et le plus grand tourment de tous Ă©tait la certitude que, pour des millions et des millions d’humains, ma souffrance Ă©tait inutile. Et pourtant cette certitude n’a pas diminuĂ© d’un atome ma volontĂ© de souffrir pour ! Douce souffrance, Maria, parce qu’offerte au PĂšre en rĂ©paration et pour votre salut ! De savoir que mon Sang lavait le signe qui Ă©tait restĂ© sur vous, offense de la race humaine envers Dieu, laquelle resterait Ă©ternelle, et que ma mort vous redonnait la Vie. De savoir, une fois passĂ©e l’heure de la Justice, que l’Amour vous regarderait Ă  travers moi, l’ImmolĂ©, avec amour. Tout cela introduisait une source de baume dans un ocĂ©an d’une telle amertume que la plus grande des amertumes subies sur terre, depuis que l’ĂȘtre humain existe, est Ă  peine plus qu’un rien, car sur moi pesaient les fautes de toute l’humanitĂ© et la colĂšre dit “Soyez semblables Ă  moi qui suis doux et humble de cƓur”. Je l’ai dit Ă  tous car je savais que dans mon imitation se trouvait la clĂ© de votre bonheur sur cette Terre et au subissez toutes les ruines qui vous accablent parce que vous n’ĂȘtes pas humbles et vous n’ĂȘtes pas doux. Ni dans les familles, ni dans vos occupations et professions, ni dans le cadre plus vaste des Nations. L’orgueil et la colĂšre vous dominent et sont la cause de tant de vos troisiĂšme agent de crimes est votre luxure ; cela peut vous sembler chose individuelle, mais la luxure et les deux premiers agents impliquent un trĂšs, trĂšs grand nombre d’individus, des continents entiers ; parfois ils bouleversent la Terre uniquement par le fait qu’ils ont atteint la perfection du mal dans l’ñme de quelques enfants de Satan, lesquels lui obĂ©issent pour pouvoir remplir de moissons maudites les greniers de leur en vĂ©ritĂ©, je vous dis qu’en ce moment, par ordre du pĂšre du mensonge, ses enfants moissonnent parmi les Ăąmes qui avaient Ă©tĂ© créées pour moi et que j’ai inutilement fertilisĂ©es de mon Sang. Moisson plus abondante qu’aucune espĂ©rance diabolique ne puisse concevoir ; les Cieux frĂ©missent devant les pleurs du RĂ©dempteur qui voit la ruine des deux tiers du monde chrĂ©tien. Et deux tiers, c’est peu dit Ă  tous “Soyez doux et humbles de cƓur pour ĂȘtre semblables Ă  moi”. Mais Ă  mes enfants bien-aimĂ©s, mes enfants bĂ©nis, chĂ©ris de mon cƓur Ă  mes petits rĂ©dempteurs, dont la stillation du sacrifice fait que la source rĂ©demptrice, jaillie de mon corps vidĂ© de son sang, continue de couler, Ă  ceux-lĂ  je dis, et je le dis en les serrant sur mon cƓur et posant un baiser sur leur front “Soyez semblables Ă  moi qui fus gĂ©nĂ©reux dans la souffrance par le grand amour qui m’inspirait tout entier”.Plus on aime et plus on est gĂ©nĂ©reux, Maria. Monte. Touche au sommet. Je t’attends lĂ -haut pour t’amener avec moi au Royaume de l’Amour. »Source Condamnation de l’adultĂšre. Encouragement Ă  la chastetĂ© Le 25 septembre 1943 JĂ©sus dit Tu pourras t’étonner que je te parle Ă  ce sujet, toi qui es cĂ©libataire. Mais tu n’es que mon porte-parole et tu dois donc te plier Ă  transmettre n’importe quoi. Ce que je vais te dire maintenant servira aux autres. Ça servira Ă  corriger plusieurs erreurs de plus en plus enracinĂ©es dans le monde se divise en deux catĂ©gories. La premiĂšre, qui est trĂšs vaste, est celle des gens sans scrupules d’aucune sorte, ni humains, ni spirituels. La seconde est celle des timorĂ©s, laquelle se subdivise cependant en deux classes ceux qui sont timorĂ©s avec raison et ceux qui le sont par petitesse d’esprit. Je parle ici Ă  la premiĂšre catĂ©gorie et Ă  la deuxiĂšme classe de la seconde mariage n’est pas rĂ©prouvĂ© de Dieu, si bien que j’en ai fait un sacrement. Et ici je ne parle mĂȘme pas du mariage comme sacrement, mais du mariage comme union, telle que Dieu l’a faite en crĂ©ant le mĂąle et la femelle pour qu’ils s’unissent, formant une seule chair, dont aucune force humaine ne peut, ni ne doit diviser l’ votre duretĂ© de cƓur, toujours plus grande, j’ai changĂ© le prĂ©cepte de MoĂŻse, lui substituant le sacrement. Le but de cet acte Ă©tait d’apporter une aide Ă  votre Ăąme d’époux contre votre sensualitĂ© animale et de freiner la facilitĂ© illicite avec laquelle vous rĂ©pudiez ceux que vous avez d’abord choisis pour passer Ă  de nouvelles unions illicites, au dĂ©triment de vos Ăąmes et des Ăąmes de vos qui se scandalisent d’une loi créée par Dieu pour perpĂ©tuer le miracle de la crĂ©ation se trompent sĂ©rieusement et gĂ©nĂ©ralement ce ne sont pas les plus chastes, mais les plus hypocrites, parce que les chastes ne voient dans l’union conjugale que la saintetĂ© de son but, tandis que les autres ne pensent qu’à la matĂ©rialitĂ© de l’acte — tout comme ceux qui, avec une coupable lĂ©gĂšretĂ©, croient pouvoir outrepasser impunĂ©ment mon interdiction de passer Ă  de nouvelles amours, Ă  moins que le premier lien ne soit dĂ©nouĂ© par la et maudit est celui qui brise une union, d’abord souhaitĂ©e, par un caprice de la chair ou intolĂ©rance morale. Si elle ou lui disent que leur union est dĂ©sormais pour eux un poids ou une source de rĂ©pugnance, je leur dis que Dieu a donnĂ© aux ĂȘtres humains l’intelligence et la facultĂ© de rĂ©flĂ©chir pour qu’ils s’en servent, et surtout dans des situations d’une aussi grave importance que la formation d’une nouvelle famille ; je dis encore que si, dans un premier temps, on a pu commettre une erreur par lĂ©gĂšretĂ© ou calcul, il faut ensuite supporter les consĂ©quences, afin de ne pas provoquer des malheurs plus grands qui retombent surtout sur le meilleur des deux Ă©poux et sur les enfants innocents, lesquels seront amenĂ©s Ă  des souffrances plus grandes que la vie ne comporte et Ă  juger ceux que j’ai placĂ©s au-dessus du jugement par prĂ©cepte le pĂšre et la mĂšre. Je dis enfin que la vertu du sacrement, si vous Ă©tiez de vrais chrĂ©tiens et non ces bĂątards que vous ĂȘtes, devrait agir en vous, les Ă©poux, pour faire de vous une seule Ăąme qui aime en une seule chair, et non deux bĂȘtes fĂ©roces qui se haĂŻssent attachĂ©es Ă  une seule et maudit est celui qui, dans une comĂ©die obscĂšne, vit deux ou plusieurs vies conjugales, et rentre auprĂšs de son Ă©poux et de ses enfants innocents, la fiĂšvre du pĂ©chĂ© dans le sang et l’odeur du vice sur ses lĂšvres ne rend licite l’adultĂšre. Rien. Ni l’abandon, ni la maladie du conjoint, et encore moins son caractĂšre plus ou moins odieux. La plupart du temps, c’est votre ĂȘtre luxurieux qui vous fait voir votre compagnon ou votre compagne comme Ă©tant odieux. Vous voulez les voir comme tels pour justifier Ă  vous-mĂȘmes votre comportement honteux que vous reproche votre dit, et je ne change pas mes paroles, qu’est adultĂšre non seulement celui ou celle qui consomme son adultĂšre, mais aussi celui ou celle qui, dans son cƓur, dĂ©sire le consommer et regarde avec l’appĂ©tit des sens la femme ou l’homme qui n’est pas son dit, et je ne change pas mes paroles, qu’est adultĂšre celui qui, par sa façon d’agir, met son conjoint dans les conditions d’ĂȘtre adultĂšre Ă  son tour. Deux fois adultĂšre, il rĂ©pondra de son Ăąme perdue et de celle qu’il aura menĂ©e Ă  sa perte par son indiffĂ©rence, sa nĂ©gligence, sa grossiĂšretĂ© et son malĂ©diction de Dieu plane sur tous ces adultĂšres, et ne pensez pas que ce ne soit qu’une façon de monde tombe en ruines, car les premiĂšres Ă  ĂȘtre dĂ©truites furent les familles. Les levĂ©es du fleuve de sang qui vous submerge ont Ă©tĂ© effritĂ©es par vos vices particuliers, lesquels ont poussĂ© les gouvernants Ă  tous les niveaux — des chefs d’état aux chefs de village Ă  devenir des voleurs et des tyrans pour obtenir l’argent et les honneurs Ă  leurs l’histoire du monde elle est pleine d’exemples. La luxure fait partie de la triple combinaison qui provoque votre ruine. Des Ă©tats entiers ont Ă©tĂ© dĂ©truits, des nations arrachĂ©es au sein de l’Église, des scissions sĂ©culaires créées au scandale et pour le tourment des races Ă  cause de l’appĂ©tit charnel des il est logique qu’il en soit ainsi. La luxure Ă©teint la LumiĂšre de l’esprit et tue la GrĂące. Sans la GrĂące et la LumiĂšre, vous n’ĂȘtes pas diffĂ©rents des brutes et vous agissez donc comme des si c’est ça qui vous plaĂźt. Mais souvenez-vous, ĂȘtres vicieux qui profanez les maisons et les cƓurs des enfants par votre pĂ©chĂ©, que je vois et je me souviens, et que je vous attends. Dans le regard de votre Dieu qui aimait les tout-petits et qui a créé la famille pour eux, vous verrez une lumiĂšre que vous ne voudriez pas voir et qui vous foudroiera. »L’auteur ajoute au crayon Saint Marc, chapitre 10, v. de saint Marc, chapitre 10, versets 5 Ă  16Source Merci Anayel pour ces belles pages Ă  mĂ©diter sur cette magnifique vertu de la chastetĂ© !En ce jour de Sainte Marie Reine ancienne fĂȘte du cƓur ImmaculĂ© de Marie mĂ©ditons bien sur ce trĂ©sor devertu, dĂ©sirons la sans faille, puis cultivons la par nos priĂšres et nos bonnes attitudes !Merci Sous l'aile pour ton post et pour avoir mis une vidĂ©o thĂ©matique sur la chastetĂ© C'est en effet une trĂšs belle vertu qu'on doit cultiver, dans notre coeur, dans notre esprit, et dans notre corps !Tu verras qu'on continue sur ce sujet avec la leçon qui Ă©dition par Anayel le Lun 22 AoĂ» - 2158, Ă©ditĂ© 1 foisLa chastetĂ© des Ă©poux, crĂ©ateurs avec le PĂšre. Encouragement Ă  la chastetĂ©Le 26 septembre 1943 Luc 15, 11-32 - Parabole du fils prodigueJĂ©sus dit Vous avez lu dans mon Évangile la dĂ©gradation de l’enfant prodigue qui a dilapidĂ© dans le vice les richesses reçues de son pĂšre et se rĂ©duit Ă  garder les porcs. Mais pensez-vous que ce soit le maximum de l’abjection ?En vĂ©ritĂ©, je vous dis que s’il vous Ă©tait accordĂ© de comparaĂźtre devant moi avec votre corps et vos vĂȘtements, et que l’un de vous montait Ă  moi, portĂ© par la mort, dans le vĂȘtement le plus crasseux d’un porcher qui serait tombĂ© mort dans l’étable au milieu des ordures, il rĂ©pugnerait moins aux cĂ©lestes habitants de mon Royaume et susciterait moins mon mĂ©pris que l’apparition de l’ñme contaminĂ©e par les vices de la crasse du premier est une crasse qui pĂ©rit et qui n’est jamais jugĂ©e sĂ©vĂšrement le fruit de son pĂ©nible travail attire, au contraire, la bĂ©nĂ©diction divine sur l’honnĂȘte gardien de troupeaux. La crasse du deuxiĂšme est une crasse qui ne pĂ©rit pas une lĂšpre a recouvert l’ñme de gangrĂšnes fĂ©tides qui l’ont rongĂ©e sans limites dans le temps. L’ñme du vicieux impĂ©nitent est digne de Satan dans les siĂšcles des lorsque je dis “vicieux”, je ne me rĂ©fĂšre pas seulement Ă  certaines formes de vice que vous-mĂȘmes jugez comme telles. Vous les jugez comme telles et vous les pratiquez quand mĂȘme parce que vous ĂȘtes des sots et vous ne savez pas rĂ©agir aux tentations du mal. Vous n’avez pas en vous ma Foi. Si vous l’aviez, vous vaincriez la chair. Mais vous ne l’avez pas, et les sens prĂ©dominent sur l’ñme. Lorsque je dis “vicieux”, je me rĂ©fĂšre aussi aux vices cachĂ©s de votre sensualitĂ©, par lesquels vous transformez le mariage en une prostitution et dĂ©truisez la raison pour laquelle il a Ă©tĂ© ne fit pas le mĂąle et la femelle pour qu’ils atteignent la fatigue et la nausĂ©e dans leurs vices. Il les a faits pour une raison trĂšs haute. Quand il a dit “Faisons l’homme Ă  notre image et Ă  notre ressemblance et donnons-lui un soutien pour qu’il ne soit pas seul”, il sous-entendait dans sa divine pensĂ©e qu’outre la partie spirituelle et intellectuelle, qui vous rend semblables Ă  Dieu, vous lui ressembliez dans la crĂ©ation d’autres vies. Mais vous rendez-vous compte de la ressemblance sublime que Dieu vous a donnĂ©e ? Celle de crĂ©er d’autres crĂ©atures vous, hommes et femmes qui vous mariez, ĂȘtes aussi des crĂ©ateurs, des crĂ©ateurs d’ĂȘtres humains comme le Dieu bien, qu’avez-vous fait d’une telle mission ? Vous, les femmes, invectivez contre la faute d’Ève lorsque vous souffrez; vous, les hommes, vous maudissez la faute d’Adam quand vous peinez. Mais le Serpent n’est-il pas encore parmi vous, Ă  l’intĂ©rieur de vos maisons, et ne vous enseigne-t-il pas, de son Ă©treinte rampante et de son chuchotement baveux, l’immoralitĂ© qui vous fait rĂ©pudier votre mission crĂ©atrice ? Et n’est-ce pas du vice que de se donner Ă  la sensualitĂ© jusqu’à la nausĂ©e tout en se refusant Ă  la paternitĂ© et Ă  la maternitĂ© ?Soyez chastes si vous craignez de ne pas avoir vĂȘtements et nourriture pour de futurs enfants. La chastetĂ© n’est pas le monopole des vierges. La virginitĂ© est la quintessence de la chastetĂ©, et elle est placĂ©e dans le cƓur de ceux qui ont Ă©tĂ© Ă©lus pour suivre l’Agneau et pour parler un langage accordĂ© Ă  eux seuls. Mais si la blancheur Ă©clatante des vierges se teint de la splendeur qui Ă©mane du Verbe de Dieu et de la trĂšs pure MĂšre du Verbe, l’étole des saints Ă©poux qui surent ĂȘtre chastes se dore de la lumiĂšre qui Ă©mane du meilleur et du plus chaste et du plus saint des Ă©poux mon pĂšre putatif qui est le modĂšle de toutes les vertus chastes dans vos maisons comme Ă  l’extĂ©rieur. Pensez qu’on ne cache rien Ă  Dieu. Laissez aux enfants de Satan certains crimes occultes. Ne soyez pas infĂ©rieurs aux bĂȘtes qui comprennent la beautĂ© de la procrĂ©ation et qui savent se mettre un frein quand la mauvaise saison priverait leurs petits de et aimez-moi en pensant, non pas au jour si court d’ici-bas, mais au jour Ă©ternel, et faites qu’il soit plein de bĂ©nis dĂšs maintenant, Ă©poux qui savez ĂȘtre saints et vivre dans ma Loi. Les anges viennent s’asseoir prĂšs de vos foyers et ne refusent pas de veiller sur votre repos, puisque rien en vous n’offense ces esprits lumineux qui voient mon visage et, bienheureux de sa LumiĂšre, ne peuvent regarder ce qui est Ă  l’opposĂ© absolu de la vous, Ă©poux qui n’ĂȘtes pas comme cela, retournez sur le droit chemin. Ce n’est pas en refusant Ă  la vie de naĂźtre que vous allez augmenter vos richesses. Celles-ci, comme Ă  travers un crible dĂ©foncĂ©, fuiront en mille filets, car d’autres vices et pĂ©chĂ©s donneront l’assaut Ă  vos avoirs et vous serez pauvres en ce monde et au Ciel par votre de mes commandements et de mes paroles. Dieu s’occupe de ceux qui vivent en lui. »Source de la foi acceptation de la parole de Dieu dans son intĂ©gralitĂ© Le 27 septembre 1943 JĂ©sus dit J’ai dit Si vous restez fidĂšles Ă  ma Parole, vous serez vraiment mes disciples, vous connaĂźtrez la vĂ©ritĂ© et la vĂ©ritĂ© vous rendra libres ».Rester fidĂšles Ă  ma Parole signifie ĂȘtre fidĂšles au Christ, car la Parole du PĂšre, c’est JĂ©sus Christ, votre RĂ©dempteur. En restant fidĂšles Ă  ma Parole, vous restez donc fidĂšles Ă  notre Ă©ternelle TrinitĂ©, car si vous aimez le Verbe, vous aimez aussi son Origine, et en l’aimant, vous aimez aussi le Saint Esprit qui, avec le PĂšre, s’est occupĂ© d’envoyer le Christ sur terre pour vous donner la doctrine de vie et de pourquoi n’est pas vraiment fidĂšle celui qui m’aime et n’aime pas mon Origine et n’aime pas mon Auteur, l’Amour ; car c’est l’Amour qui a engendrĂ© le Fils-Verbe, c’est l’Amour qui a engendrĂ© le RĂ©dempteur aux humains en unissant les deux natures, humaine et divine, en un seul lien de feu dont est venue au monde la vraie qui n’aime qu’une seule Personne de la sainte Triade et n’aime pas les Deux autres n’est pas un vrai fidĂšle et manque Ă  la charitĂ© et Ă  la foi. En manquant Ă  la foi, il manque aussi Ă  la vĂ©ritĂ©, parce qu’il met en doute la vĂ©ritĂ© que je suis venu vous apporter et il refuse de la connaĂźtre en mettant une entrave Ă  son quelle façon ? En refusant Dieu. Car Dieu est CharitĂ©, et celui qui connaĂźt si peu la charitĂ© qu’il est incapable d’aimer ce que Dieu a fait et ce que Dieu a donnĂ©, comment peut-il dire d’ĂȘtre en Dieu ? Et s’il n’est pas en Dieu comme l’enfant dans le sein de son pĂšre, comment peut-il avoir en soi la capacitĂ© de comprendre le langage surnaturel du PĂšre ?Voyez-vous que l’essence de la foi est comme un cercle merveilleux que rien n’interrompt et qui vous entoure d’une unique Ă©treinte vitale ? Mais si vous le rompez violemment par orgueil mental, par duretĂ© de cƓur, par lourdeur charnelle, voilĂ  qu’il prĂ©sentera une lacune qu’aucune raison humaine ne saura il vous arrivera ce qui arrive toujours. Vous tombez prĂ©cipitamment du gouffre ouvert par votre volontĂ© qui n’accepte pas avec la simplicitĂ© des enfants ce que la BontĂ© vous dit de croire, et dans votre chute, vous ne vous arrĂȘtez pas Ă  la boue de la terre. Ce serait dĂ©jĂ  une faute, car vous avez Ă©tĂ© créés pour le Ciel et non pour souiller votre Ăąme dans la boue de la terre. Non, vous tombez plus loin que la terre, jusqu’aux royaumes de Satan, car celui qui vit dĂ©tachĂ© de Dieu, en marge de sa Parole et de son Amour, tue la Vie en lui et son ĂȘtre vient alimenter l’horrible feu oĂč rĂŽde celui qui hait bien, mes enfants, qu’il suffit de rejeter une partie de la vĂ©ritĂ© pour faire le chaos en vous, qu’il suffit d’accueillir une vĂ©ritĂ© en moins pour que s’écroule tout l’édifice de la foi et que vous vous trouviez comme au milieu des dĂ©combres d’un palais dĂ©moli, plein de fosses et de pas justement ce que fait le monde moderne ? Ne choisit-il pas ce qui lui convient dans mes paroles et ne refuse-t-il pas le reste ? Ne croit-il pas Ă  des points particuliers en niant les autres ? Mais rĂ©flĂ©chissez, enfants de mon amour. Se peut-il que je sois venu vous dire des paroles inutiles ? Des paroles mensongĂšres ? Des paroles impossibles Ă  croire ou Ă  mettre en pratique ?Non, enfants de ma douleur. Je n’ai pas dit une seule parole qui soit inutile et je n’en dis pas. Je n’ai pas dit une seule parole qui ne soit pas vraie et je n’en dis pas. Je n’ai pas dit une seule parole qui soit impossible Ă  l’esprit – j’entends l’esprit qui est engendrĂ© par Dieu et qui est une partie de Dieu lui-mĂȘme enfermĂ©e en vous – que l’esprit ne puisse croire. Je n’ai pas dit une seule parole que vous ne puissiez pratiquer, si seulement vous voulez le faire, parce que je suis Intelligent, Juste, Bon, et je ne donne pas d’ordres sots ou de poids supĂ©rieurs Ă  vos forces, et je n’ai pas d’exigences dont la sĂ©vĂ©ritĂ© contraste avec la fidĂšles, chers enfants. Acceptez ma parole sans vouloir la critique et lĂ  oĂč votre faiblesse n’arrive pas Ă  comprendre, adressez-vous Ă  moi, LumiĂšre du la millioniĂšme fois, moi, votre Dieu, je vous assure que je ne veux pas votre ruine mais votre salut, et comme une couveuse anxieuse pour ses petits, je vous tiens embrassĂ©s, car votre vie Ă©ternelle me tient Ă  cƓur. Ne quittez pas mes bras. Moi, fidĂšle Ă  mes enfants, et vous, fidĂšles Ă  sera beau le jour oĂč, aprĂšs s’ĂȘtre aimĂ©s Ă  travers de si grandes Ă©tendues d’éther, vous viendrez Ă  moi pour toujours et nous pourrons nous aimer pour l’éternitĂ© lumiĂšres revenues Ă  la LumiĂšre, vies revenues Ă  la Vie, esprits revenus Ă  l’Esprit, enfants revenus au PĂšre, exilĂ©s revenus Ă  leur Patrie, hĂ©ritiers d’un Roi Ă©levĂ©s au Royaume de votre Dieu, Roi des rois et Seigneur de l’Univers. »Source un exemple de foi limitĂ©e Le 28 septembre 1943JĂ©sus dit Nous avons en Pierre un exemple de foi limitĂ©e et des consĂ©quences que cela peut n’avait pas encore acceptĂ© totalement ma Parole, Ă  cause de la lourdeur de son ĂȘtre que l’Esprit Saint n’avait pas encore enflammĂ© et que mon Immolation n’avait pas fortifiĂ©, mon Immolation qui allait descendre sur lui comme sur tous les autres — car je l’aimais beaucoup mon Pierre, gĂ©nĂ©reux, impulsif et si humain aussi, qui possĂ©dait tant de qualitĂ©s et tant d’humanitĂ©, vrai champion de l’homme humainement bon et qui, pour devenir saint, doit insĂ©rer sa bontĂ© dans la BontĂ© de Dieu. Son propre grand amour pour moi qui l’ai absous de toute faute le portait Ă  refuser ces vĂ©ritĂ©s de sang que j’annonçais comme m’étant rĂ©servĂ©es.“Seigneur, que cela ne soit jamais”, avait-il dit une fois. Et mĂȘme si, aprĂšs mon reproche, il ne l’avait plus rĂ©pĂ©tĂ©, au fond de son cƓur il se rĂ©voltait Ă  l’idĂ©e que son Seigneur Ă©tait destinĂ© Ă  un sort si affreux et que le royaume de son roi aurait la cime d’une montagne pour palais et une croix pour au contraire, acceptait tout ; le cƓur broyĂ©, mais un cƓur d’enfant pour qui la parole de celui qui l’aime est l’absolue vĂ©ritĂ©, il inclinait la tĂȘte et le cƓur devant les prĂ©dictions de son JĂ©sus et se prĂ©parait, avec une fidĂ©litĂ© absolue Ă  la vie, Ă  ĂȘtre fidĂšle au MaĂźtre, mĂȘme Ă  l’heure de la le pur et aimant croyant, resta fidĂšle. Pierre me renia, lui qui ne voulait accepter de la VĂ©ritĂ© que ces vĂ©ritĂ©s qui sĂ©duisaient son esprit, encore trop amalgamĂ© Ă  la chair. Et sa faute en cette heure fut un manque de courage, mais aussi et surtout un manque de avait cru en moi trĂšs fidĂšlement, il aurait compris que son MaĂźtre n’était jamais autant Roi, MaĂźtre et Seigneur qu’en cette heure oĂč il semblait ĂȘtre un dĂ©linquant alors atteint le sommet de l’enseignement parce que j’ai fait de mon enseignement, non plus une thĂ©orie, mais un fait alors assumĂ© mon rĂšgne sur tous ceux qui furent, qui Ă©taient et qui seraient, et j’ai mis la pourpre et la couronne qui n’avaient pas d’égal en splendeur, puisque la premiĂšre venait du sang d’un Dieu et la deuxiĂšme Ă©tait le tĂ©moignage de la force Ă  laquelle parvient l’amour de Dieu pour vous, de Dieu qui meurt du martyre pour sauver les humains des martyres alors repris pleinement et complĂštement mon rĂŽle de Seigneur du Ciel et de la Terre, car seul le Seigneur du Ciel pouvait donner satisfaction au Seigneur Dieu, et seul le Seigneur de la Terre pouvait effacer la faute de la Terre mon rĂŽle de Seigneur de la Vie et de la Mort, car j’ai commandĂ© Ă  la vie de rentrer en vous et Ă  la mort de ne plus tuer. Je parle de la vie et de la mort de l’esprit, car Ă  mes yeux n’a de la valeur que ce qui est bienheureux, bienheureux ceux qui savent vraiment croire en moi. Toujours. Quoi qu’il arrive et sous quelque lumiĂšre que ça se prĂ©sente. Si une ombre se lĂšve, tel un mur noir et rugueux pour effrayer votre Ăąme, n’oubliez jamais que, derriĂšre l’obstacle qui ne dure qu’un moment, Dieu, sa LumiĂšre, sa VĂ©ritĂ© demeurent, toujours pareils et opĂ©rant pareillement Ă  votre de tout votre cƓur et votre esprit, et vous saurez agir en vrais disciples. En agissant de cette façon, vous possĂ©derez la VĂ©ritĂ©. Et la VĂ©ritĂ©, qui rĂ©sidera comme la vie au centre de votre ĂȘtre, vous conduira Ă  la Vie. »Source renieurs de Dieu Le 29 septembre 1943 JĂ©sus dit Il y a toujours eu des “Pierres” et il y en a beaucoup. Ils voudraient de moi des dons de bien-ĂȘtre terrestre que je n’ai jamais promis, car je vous oriente vers le ciel et non vers les choses d’ici-bas, et tout ce que je vous accorde de bonheur terrestre est un surplus que vous ne mĂ©ritez pas et ne pouvez exiger, et que je vous donne uniquement parce que les quatre-vingt-dix pour cent des humains sont tellement de chair et de sang que, sans dons de cette terre, ils se rĂ©volteraient tous contre vous rĂ©voltez aussi, ĂŽ enfants ingrats, en me blĂąmant pour le mal que vous crĂ©ez vous-mĂȘmes. Si au moins vous saviez supporter avec rĂ©signation le mal qui est l’Ɠuvre de vos mauvaises actions, de vos luxures, de vos actes de violence et de vos dĂ©rĂšglements, de vos usures et de vos fraudes ! Si vous saviez supporter en disant “Nous l’avons bien mĂ©ritĂ©â€, ce mal se transformerait en bien, car Dieu aurait pitiĂ© de votre conduite si je vous voyais humblement reconnaĂźtre vos torts, en subir les consĂ©quences avec rĂ©signation, tourner vers moi, avec piĂ©tĂ© filiale, un regard plein de larmes et des paroles suppliantes, j’interviendrais pour vous sauver de nouveau, moi qui suis venu chercher et sauver ce qui Ă©tait perdu, et qui n’ai pas perdu ni ne perdrai au cours des siĂšcles atomes de mon Ă©ternitĂ© ma soif de vous apporter le salut et le bien. J’interviendrais pour vous sauver de nouveau, faisant dĂ©border mon amour et ma misĂ©ricorde sur ma justice qui me blesse, moi avant vous, croyez-le, mes pauvres enfants, car d’avoir Ă  vous punir, ou Ă  vous laisser vous punir vous-mĂȘmes par des souffrances provoquĂ©es par la duretĂ© de votre cƓur et la sottise de votre esprit, constitue une douleur pour votre JĂ©sus, dont le nom est “Sauveur” et non Justicier ; une douleur pour JĂ©sus qui, afin de vous sauver, a opĂ©rĂ©, avec le PĂšre et l’Esprit, ce miracle d’indescriptible, d’incommensurable amour, qui a figĂ© les Cieux dans une stupeur rĂ©vĂ©rencielle et a fait trembler les abĂźmes infernaux et arrĂȘter pendant une heure la course des astres et les lois de l’univers le miracle par lequel la DeuxiĂšme Personne se dĂ©tacha de la Divine TrinitĂ© pour descendre des cieux, LumiĂšre Ă©ternelle, cƓur de Dieu, pour devenir cƓur d’homme dans le sein d’une Vierge et lumiĂšre aux humains qui avaient Ă©teint la lumiĂšre en voient que je ne leur donne pas ce que leur humanitĂ© dĂ©sire, ces nouveaux et nombreux Pierres — et le monde n’en a jamais Ă©tĂ© aussi plein que maintenant — en arrivent Ă  croire que je ne suis point celui que je dis ĂȘtre, c’est-Ă -dire le Puissant. Et devant ce qu’ils croient ĂȘtre mon impuissance, ils jugent que cela ne vaut pas la peine de me suivre et ils me renient, exactement comme Pierre en cette heure oĂč les apparences Ă©taient contre pourtant, mes pauvres enfants, ces heures oĂč, humainement, je semble ĂȘtre absent, sont prĂ©cisĂ©ment celles oĂč je me penche sur mes enfants et je travaille pour eux. Si vous n’aviez pas en vous un esprit contraire Ă  Dieu, et souvent dĂ©jĂ  possĂ©dĂ© par Satan, vous sentiriez ma prĂ©sence invisible et mon dĂ©sir de vous aider. Mais vous me fuyez. Vous prĂ©fĂ©rez vous donner Ă  un ami d’une heure qui sĂ©duit votre chair avec des satisfactions d’une douceur superficielle, mais qui sont toxiques en profondeur et vous nuisent comme un poison mortel. Vous prĂ©fĂ©rez vous livrer, pieds et mains liĂ©s, Ă  l’Ennemi Ă  l’ reniez non seulement votre Dieu, mais votre dignitĂ© d’ĂȘtres humains, votre intelligence qui vous rend semblables Ă  Dieu au-dessus de tous les animaux créés par le PĂšre, les seuls capables de penser et d’agir, non avec l’instinct rudimentaire des bĂȘtes, mais avec un splendide intellect qui vous Ă©lĂšve Ă  des sphĂšres trĂšs proches des nĂŽtres. Oh ! Oui, voilĂ  ce qui vous rend semblables Ă  nous, et non la connaissance du mal ! Mais vous Ă©coutez toujours le sifflement du serpent et vous voulez connaĂźtre le mal aussi pour ĂȘtre semblables Ă  Dieu. Ô sots que vous ĂȘtes, trois fois sots !Dans sa parfaite essence, Dieu peut connaĂźtre le Mal, car le mal n’a pas de pouvoir sur Dieu. Mais pas vous. Vous n’ĂȘtes pas parfaits et le mal ne vous’ laisse pas indiffĂ©rents, quand vous voulez l’investiguer, le connaĂźtre et y goĂ»ter. D’avoir mĂąchĂ© de cette expĂ©rience condamna l’humain au travail, la femme Ă  la maternitĂ© dans la douleur, la race Ă  la souffrance et Ă  la mort. Mais non encore persuadĂ©s, vous voulez toujours de cette nourriture d’enfer, et elle ne cesse d’évoluer en vous et d’engendrer des Ɠuvres maudites qui augmentent la souffrance et la mort, les fatigues, la faim et toutes sortes de punitions sur cette terre et au-delĂ , car, je le rĂ©pĂšte, vous m’accusez d’ĂȘtre l’auteur du mal que vous faites et vous me maudissez pour ce dont je suis sortez de Dieu avec colĂšre, enfants aveuglĂ©s par votre hargne, et vous tombez dans l’étang de Satan. Vous ĂȘtes dans son Ă©tang jusqu’au cou et vous ne voulez pas vous agripper Ă  la Foi, amarre spirituelle que la BontĂ© divine vous a jetĂ©e, Ă  vous vous aviez cette vraie Foi, celle que je vous dis que vous devriez avoir, aucune preuve du contraire ne pourrait vous la faire perdre, et vous vaincriez l’adversitĂ© parce que vous forceriez les portes de la MisĂ©ricorde divine, si peu fermĂ©es et qui ne demandent qu’à ĂȘtre ouvertes, et vous barricaderiez celles de la Justice, ouvertes pour punir vos crimes et que nous dĂ©sirons fermer par l’amour infini que nous avons pour devez-vous faire pour ceux qui me renient ? Ce que je fis pour Pierre pleurer et prier pour me les n’est pas Ă  vous de vous choisir une place au Ciel ; je l’ai dit Ă  Jacques et Ă  Jean et je vous le dis Ă  vous aussi. Mais faites en sorte que par vos Ɠuvres vous en mĂ©ritiez une. Et vous savez quelles Ɠuvres il faut accomplir pour mĂ©riter une place dans mon Ciel. Vous n’avez qu’à regarder votre JĂ©sus pour savoir comment agir. CharitĂ©, charitĂ©, surtout de la charitĂ©. Me voir en tous, moi, votre Dieu, servir ses frĂšres et sƓurs comme je vous ai servis jusqu’à l’holocauste de ma vie pour arracher des Ăąmes Ă  dit “des Ăąmes”. Je n’entends pas par lĂ  que vous ne devez pas avoir de la charitĂ© aussi pour les corps de vos frĂšres et sƓurs. Les Ɠuvres de misĂ©ricorde corporelle servent Ă  ouvrir la voie Ă  la plus haute Ɠuvre de misĂ©ricorde qui est celle d’étancher la soif et de satisfaire la faim des Ăąmes assoiffĂ©es et affamĂ©es, d’habiller les Ăąmes nues, de prendre soin des pauvres Ăąmes de vos pauvres frĂšres et sƓurs qui se sont Ă©loignĂ©s de ma Bergerie ou qui ont grandi en dehors, et qui meurent au Ă  vous, chrĂ©tiens, et surtout Ă  vous, mes victimes aimantes, bĂ©nies et bien-aimĂ©es, fleurs vivantes qui exhalez pour moi tout votre esprit de fleur et qui vivrez au Ciel, roses Ă©ternelles, c’est Ă  vous, mes vrais amis, de me ramener ceux qui errent, sans juger s’ils mĂ©ritent d’ĂȘtre dignes du n’est pas Ă  vous de juger de la rĂ©compense ou du chĂątiment. Moi seul suis Juge. Il vous revient uniquement de ramener, avec mes propres armes, la priĂšre et le sacrifice et, en dernier lieu, la parole, les enfants prodigues Ă  la maison du PĂšre, pour faire jubiler le cƓur de Dieu et remplir les Cieux de joie pour un autre pĂ©cheur qui se convertit, laisse les tĂ©nĂšbres et revient Ă  la LumiĂšre, Ă  la VĂ©ritĂ©, Ă  l’Amour. »Source signe du vrai disciple Le 30 septembre JĂ©sus dit C’est le signe qui distingue les vrais disciples des vrai disciple n’a pas l’ambition d’ĂȘtre reconnu supĂ©rieur aux autres. Humble comme son MaĂźtre et comme ma trĂšs douce Maman, il voile ses pouvoirs surnaturels sous une apparence de vie ordinaire. Il souffre de voir qu’on a dĂ©couvert sa vraie nature et, si c’était possible, il voudrait que personne ne s’en aperçût et surtout n’en faux disciple, au contraire, s’élĂšve lui-mĂȘme, se cĂ©lĂšbre lui-mĂȘme et attire l’attention de tous sur sa propre personne et sur ses actions, toutes pareillement hypocrites. Avec une fausse humilitĂ©, il s’arrange pour obliger tout le monde Ă  le voir dans la lumiĂšre qui lui plaĂźt, c’est-Ă -dire dans une lumiĂšre de saintetĂ©, laquelle est en fait un double pĂ©chĂ© de mensonge et d’orgueil. Mais, ma fille, il est aussi diffĂ©rent d’un vrai disciple qu’une fleur en papier est diffĂ©rente d’une vraie fleur. Il peut tromper ceux qui regardent superficiellement mais il ne trompe pas ceux qui s’approchent plus, sache que, sur celui qui est un autre petit moi, tant il vit en moi et opĂšre par moi, il y a un signe que les Ăąmes perçoivent. J’ai dit les Ăąmes. Il est inutile de se dĂ©soler que les autres s’en aperçoivent. L’ñme que Dieu possĂšde exhale un parfum et une lumiĂšre qui sont de Dieu, du Dieu vivant en elle. Et tu sais que le parfum et la lumiĂšre Ă©chappent Ă  toute serrure lorsqu’ils sont intenses. Y a-t-il une lumiĂšre et un parfum plus intenses que ceux de Dieu ? Or, si la vue et l’odorat humains, si limitĂ©s soient-ils, rĂ©ussissent Ă  percevoir les lumiĂšres et les parfums mĂȘme s’ils sont bien enfermĂ©s, tu voudrais que l’ñme, dont la sensibilitĂ© n’est pas humaine mais spirituelle, ne perçoive pas l’odeur de Dieu et la lumiĂšre de Dieu vivant dans un cƓur ?Je t’ai dĂ©jĂ  dit d’autres fois que vous, mes bien-aimĂ©s, vous ĂȘtes lumiĂšre et parfum en ce monde, et vous embaumez de mon parfum vos frĂšres et sƓurs, et vous leur transmettez ma LumiĂšre qui est en vous. Mors, pourquoi t’en Ă©tonnes-tu ? Laisse parler les gens, que les bonnes gens, et les moins bons, disent “Tu es une fille de Dieu”. Cela aussi peut servir Ă  les conduire Ă  moi. Sois comme Marie en cela aussi et dis ton Magnificat. Marie ne s’exaltait pas dans la vanitĂ© des louanges d’autrui, mais elle ne niait pas non plus les grandes choses que Dieu accomplissait en Maria ne s’exalte jamais. Comme une fleur sous le soleil, qu’elle laisse les autres voir comment le Soleil l’embrasse et qu’elle dise humblement “Je suis belle par ta grĂące”, et qu’elle donne charitablement Ă  tous la joie que Dieu met en elle par sa caresse de lumiĂšre et son parfum de vĂ©ritĂ©. Et qu’elle fasse tout cela en imitant mon silence et celui de Marie. Sainte vertu que de savoir se taire ! Le silence, Maria, parle plus que tous les mots quand il est silence d’amour. »Source

ï»żOntpris part aux ateliers de rĂ©daction et apportĂ© leurs soutiens : Justin Zaguika, Clotaire Ben-Seba Dimanche Valentin Gossala, ValĂ©rie Tanga, les Volontaires de la Paix et les Leaders de la Non-Violence Active. PRIERE. Seigneur fais de moi un instrument de ta paix LĂ  oĂč est la haine, que je mette l’amour LĂ  oĂč est l’offense, que je More from Chantons en Église 22 chants de misĂ©ricorde et de rĂ©conciliation LoadingYou Might Like LoadingCurrently Trending Songs LoadingTop Songs By Same Artists LoadingTop Songs By Same Actors LoadingArtistsAbout Seigneur, fais de moi un instrument de ta paixListen to Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix online. Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix is a French language song and is sung by Étienne Uberall and Ensemble vocal Resurrexit. Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix, from the album Chantons en Église 22 chants de misĂ©ricorde et de rĂ©conciliation, was released in the year 2015. The duration of the song is 435. Download French songs online from for Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix
Sauvenous, Seigneur (Cantique de SimĂ©on NT 3) Abbaye de Mondaye. MP3 0,99 € PDF 1,99 € 42: Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix. Wackenheim Michel/ChƓur d'adultes ADF. MP3 0,99 € PDF 1,99 € 43: Si la mer se dĂ©chaĂźne (Live) Grzybowski Laurent. MP3 0,99 € 44: Si tu connaissais le don de Dieu ! Malet Thierry/Sperissen Christophe/The City of Prague
Dans l'Église catholique, une vierge consacrĂ©e est une femme qui, par amour de Dieu, s'est engagĂ©e Ă  vivre dans le cĂ©libat et la chastetĂ©, et a Ă©tĂ© consacrĂ©e au nom du Seigneur par l’évĂȘque de son diocĂšse de et cĂ©libat dans la BibleLa vocation de vierge consacrĂ©e a des origines bibliques, mais cette maniĂšre particuliĂšre de se donner Ă  Dieu n'est pas mentionnĂ©e dans les Ă©vangiles. En effet, la sociĂ©tĂ© juive du ier siĂšcle apr. n'envisage pas l'existence d'un cĂ©libat fĂ©minin choisi. Si la virginitĂ© existe, elle est le fait de jeunes femmes en attente de fiançailles et donc de mariage comme c'est le cas pour Marie, la mĂšre de JĂ©sus, ou dans la parabole des vierges folles et des vierges sages et, dans l'Ancien Testament, c'est le cas d'une jeune femme anonyme de GuibĂ©a, des 400 jeunes vierges de Yabesh-de-Galaad, de Tamar, d'Esther. Le cĂ©libat fĂ©minin Ă©tait gĂ©nĂ©ralement plus le fait de veuves qui ne se remarient pas comme la prophĂ©tesse Paul peint par Rembrant au xviie le Nouveau Testament, JĂ©sus parle concrĂštement d'un cĂ©libat choisi pour le Royaume de Dieu "Ses disciples lui disent Si telle est la situation de l’homme par rapport Ă  sa femme, mieux vaut ne pas se marier. » Il leur rĂ©pondit Tous ne comprennent pas cette parole, mais seulement ceux Ă  qui cela est donnĂ©. Il y a des gens qui ne se marient pas car, de naissance, ils en sont incapables ; il y en a qui ne peuvent pas se marier car ils ont Ă©tĂ© mutilĂ©s par les hommes ; il y en a qui ont choisi de ne pas se marier Ă  cause du royaume des Cieux. Celui qui peut comprendre, qu’il comprenne ! »Une autre mention est celle faite dans les Actes des ApĂŽtres au sujet des 4 filles du diacre Philippe de CĂ©sarĂ©e qui prophĂ©tisent, mais le premier Ă  parler de cĂ©libat choisi pour Dieu est l'apĂŽtre Paul qui dans la premiĂšre Ă©pĂźtre aux corinthiens dit FrĂšres, chacun doit rester devant Dieu dans la situation oĂč il a Ă©tĂ© appelĂ©. Au sujet du cĂ©libat, je n’ai pas un ordre du Seigneur, mais je donne mon avis, moi qui suis devenu digne de confiance grĂące Ă  la misĂ©ricorde du Seigneur. Je pense que le cĂ©libat est une chose bonne, Ă©tant donnĂ© les nĂ©cessitĂ©s prĂ©sentes ; oui, c’est une chose bonne de vivre ainsi. Tu es mariĂ© ? ne cherche pas Ă  te sĂ©parer de ta femme. Tu n’as pas de femme ? ne cherche pas Ă  te marier. Si cependant tu te maries, ce n’est pas un pĂ©chĂ© ; et si une jeune fille se marie, ce n’est pas un pĂ©chĂ©. Mais ceux qui font ce choix y trouveront les Ă©preuves correspondantes, et c’est cela que moi, je voudrais vous Ă©viter. FrĂšres, je dois vous le dire le temps est lors, que ceux qui ont une femme soient comme s’ils n’avaient pas de femme, ceux qui pleurent, comme s’ils ne pleuraient pas, ceux qui ont de la joie, comme s’ils n’en avaient pas, ceux qui font des achats, comme s’ils ne possĂ©daient rien, ceux qui profitent de ce monde, comme s’ils n’en profitaient pas vraiment. Car il passe, ce monde tel que nous le voyons. J’aimerais vous voir libres de tout souci. Celui qui n’est pas mariĂ© a le souci des affaires du Seigneur, il cherche comment plaire au Seigneur. Celui qui est mariĂ© a le souci des affaires de ce monde, il cherche comment plaire Ă  sa femme, et il se trouve divisĂ©. La femme sans mari, ou celle qui reste vierge, a le souci des affaires du Seigneur, afin d’ĂȘtre sanctifiĂ©e dans son corps et son esprit. Celle qui est mariĂ©e a le souci des affaires de ce monde, elle cherche comment plaire Ă  son dans votre intĂ©rĂȘt que je dis cela ; ce n’est pas pour vous tendre un piĂšge, mais pour vous proposer ce qui est bien, afin que vous soyez attachĂ©s au Seigneur sans partage. Si un jeune homme pense qu’il risque de ne pas respecter une jeune fille, s’il est plein d’ardeur et que l’issue devienne inĂ©vitable, qu’il fasse comme il veut ils peuvent se marier, ce n’est pas un pĂ©chĂ©. Mais s’il tient ferme intĂ©rieurement, s’il ne subit aucune contrainte, s’il est maĂźtre de sa propre volontĂ© et a pris dans son cƓur la dĂ©cision de ne pas s’unir Ă  cette jeune fille, il fera bien. Ainsi, celui qui se marie fait bien, et celui qui ne se marie pas fera mieux encore. La femme reste liĂ©e aussi longtemps que son mari est en vie. Mais si son mari meurt, elle est libre d’épouser celui qu’elle veut, mais seulement s’il est croyant. Pourtant elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; c’est lĂ  mon opinion, et je pense avoir, moi aussi, l’Esprit de Dieu. »Cette idĂ©e de cĂ©libat et de virginitĂ© se retrouve aussi dans le livre de l'Apocalypse de Jean avec ce verset Ceux-lĂ  ne se sont pas souillĂ©s avec des femmes ; ils sont vierges, en effet. Ceux-lĂ  suivent l’Agneau partout oĂč il va ; ils ont Ă©tĂ© pris d’entre les hommes, achetĂ©s comme prĂ©mices pour Dieu et pour l’Agneau. »VirginitĂ© consacrĂ©e fĂ©minine dans l'histoire de l'Église catholiqueChristianisme primitifStatue de sainte Catherine d'Alexandrie, Ă©glise Notre-Dame-de-la-Basse-ƒuvre Beauvais, France.DĂšs les dĂ©buts de l'Église et Ă  l'imitation de JĂ©sus qui a vĂ©cu cĂ©libataire, de sa naissance Ă  ses annĂ©es de prĂ©dications qui se sont soldĂ©es par sa mort sur la croix puis - pour les chrĂ©tiens - par sa rĂ©surrection et son ascension au Ciel, des hommes et des femmes sont restĂ©s cĂ©libataires pour le Christ, pour prĂ©parer voire hĂąter la venue du Royaume de Dieu. À cela, ils rejoignaient les enseignements des premiers apĂŽtres et du magistĂšre des Ă©glises chrĂ©tiennes primitives. Ces personnes sont alors placĂ©es sous la protection des autoritĂ©s ecclĂ©siales et elles ont droit Ă  une place privilĂ©giĂ©e dans la communautĂ© chrĂ©tienne naissante. Peu Ă  peu, de seules qu'elles Ă©taient, des veuves et des vierges vont se rĂ©unir en communautĂ© afin de se soutenir mutuellement. Ces deux communautĂ©s distinctes seront appelĂ©es l'ordre des veuves et l'ordre des d'un point de vue thĂ©ologique, de nombreux PĂšres de l'Église vont Ă©crire des traitĂ©s Ă  ce propos dont Tertullien et Ambroise de Milan "Mon amour de la chastetĂ©- et toi aussi, sƓur vĂ©nĂ©rĂ©e, sans paroles, mais par l'exemple silencieux de ta vie - m'invite Ă  dire quelques mots sur la virginitĂ©, pour ne pas effleurer simplement en passant la vertu qui tient la premiĂšre place. Si la virginitĂ© est louable, ce n'est pas du fait qu'on la trouve chez les martyrs, mais parce que c'est elle qui fait les martyrs. Mais comment la pensĂ©e de l'homme pourrait-elle saisir toute la profondeur d'une vertu que la nature elle-mĂȘme n'a pas incluse dans ses lois ? Quelle parole humaine pourrait exprimer adĂ©quatement ce qui dĂ©passe l'homme ? C'est au ciel qu'elle est allĂ©e chercher le modĂšle Ă  reproduire sur c'est tout naturel qu'elle ait puisĂ© son genre de vie au ciel, ayant trouvĂ© son Époux au ciel. DĂ©passant les nuĂ©es, le firmament, les anges, les astres, elle parvint jusqu'au Verbe de Dieu dans le sein du PĂšre et y puisa de tout son cƓur. Une fois trouvĂ© pareil bien, qui pourrait le quitter ? Car ton nom est un parfum rĂ©pandu, c'est pourquoi les jeunes filles t'ont aimĂ© et attirĂ© Ă  elles » Ct 1,2. Finalement ce n'est pas moi qui l'ai dit celles qui n'Ă©pouseront ni ne seront Ă©pousĂ©es seront comme les anges du ciel » Mt 22,30. Ne soyons donc pas surpris si l'on compare aux anges les Ă©pouses du Seigneur des anges. Qui donc pourrait nier que cette forme de vie nous soit venue du ciel, quand elle s'est trouvĂ©e si rarement sur terre jusqu'Ă  ce que Dieu soit descendu dans les membres d'un corps mortel ? Ce fut alors qu'une vierge conçut dans son sein et que le Verbe se fit chair Jn 1,14 pour que la chair devĂźnt dira Mais Elie ? On ne voit pas qu'il se soit jamais livrĂ© Ă  une convoitise justement pour cela qu'il apparaĂźt glorifiĂ© avec le Seigneur Mt 17,3, pour cela qu'il viendra prĂ©cĂ©der l'avĂšnement du Seigneur Ml 4,5. Il y a aussi Marie qui, jouant du tambourin, conduisit les chƓurs dans une pudeur virginale Ex 15,20. Mais rĂ©flĂ©chissez de qui elle Ă©tait la figure. N'est-ce pas de l'Église, vierge, qui a groupĂ© dans la puretĂ© de l'Esprit la pieuse assemblĂ©e des peuples, afin qu'ils chantent les louanges divines ? Nous lisons aussi que des vierges Ă©taient affectĂ©es au Temple de JĂ©rusalem. Mais que dit l'ApĂŽtre ? Tout cela se passait en figure, comme signe des choses Ă  venir » 1Co 10,11. La figure en offre peu, la rĂ©alitĂ© un grand depuis que le Seigneur, se revĂȘtant de notre corps, opĂ©ra l'union de la divinitĂ© et de l'humanitĂ© sans aucun mĂ©lange impur de la matiĂšre, la pratique d'une vie cĂ©leste dans des corps humains s'est rĂ©pandue Ă  travers le monde entier. C'est ce qu'ont prĂ©figurĂ© les anges qui servaient le Seigneur sur terre Mt 4,11 qu'une race d'Ă©lite se vouerait au service du Seigneur dans un corps sans tache. C'est elle la milice cĂ©leste que faisait pressentir l'armĂ©e des anges chantant les louanges de Dieu Lc 2,13-14. Nous avons donc une origine attestĂ©e depuis des siĂšcles, la pleine rĂ©alisation datant du Christ." no 1010-1013.Et, en plus de ces traitĂ©s, des exemples de vierges ayant refusĂ© le mariage pour se consacrer au Christ et l'ayant payĂ© de leur vie sont connus et mis en valeur comme celui de Sainte CĂ©cile de Rome dĂ©cĂ©dĂ©e entre 200-230, de Sainte AgnĂšs 290-303 ou de Sainte Catherine d'Alexandrie dĂ©cĂšs probable en 303.Du ive au xve siĂšcleDĂšs le ive siĂšcle, la vie Ă©rĂ©mitique puis monastique et canoniale vont se dĂ©velopper, d'abord dans le dĂ©sert Ă©gyptien et au-delĂ  dans le monde oriental d'abord puis occidental Saint Antoine le Grand 251-356, Saint PacĂŽme le Grand 292-348, Macaire de ScĂ©tĂ© dĂ©cĂ©dĂ© vers 391, Saint Martin de Tours 317-397, Saint SymĂ©on le stylite 392-459, Saint Augustin d'Hippone 354-430 et Saint BenoĂźt de Nursie 480-547. Mais, trĂšs rapidement, des femmes dĂ©sirĂšrent partager cet idĂ©al d'absolu Ă©rĂ©mitique puis communautaire c'est le cas de la sƓur de Saint BenoĂźt de Nursie, Sainte Scholastique dĂ©cĂ©dĂ©e en 543.Peu Ă  peu, ce modĂšle de consĂ©cration monacale devient, pour les femmes, la seule voie de consĂ©cration possible. En effet, la sociĂ©tĂ© n'Ă©tait pas favorable Ă  l'idĂ©e de voir des femmes vivre seules et subvenir Ă  leurs besoins. De plus, leur cĂ©libat semblait ĂȘtre une menace sur les hĂ©ritages familiaux. BientĂŽt, vie consacrĂ©e Ă  Dieu fut indissociable de vie religieuse et surtout de vie cloĂźtrĂ©e. Et, lorsqu'au Moyen Âge, naissent les ordres mendiants que sont les franciscains, les dominicains, les carmes ou les ermites de Saint-Augustin, leurs branches fĂ©minines restĂšrent marquĂ©es par la clĂŽture comme les dominicaines, les clarisses, les carmĂ©lites... Quelques femmes vont pourtant refuser le dictat de la vie claustrale comme Sainte Catherine de Sienne 1347-1380 ou, dans les Flandres, les bĂ©guines et leurs bĂ©guinages qui dĂ©butĂšrent au xiie siĂšcle et prirent fin dans leur trĂšs grande majoritĂ© au xve xvie siĂšcle au Concile Vatican IIMais au cours du Moyen Âge, comme pour beaucoup de jeunes femmes la vie religieuse n'est plus un choix, mais la rĂ©ponse Ă  une politique familiale imposĂ©e aux enfants, la clĂŽture monacale va peu Ă  peu ĂȘtre malmenĂ©e, les moniales recevant dans leur cellule ou passant de longs temps dans leurs familles respectives. Ce sont ces excĂšs qui vont mener le Concile de Trente 1545-1563 Ă  faire revenir les religieuses dans leurs monastĂšres et couvents et Ă  rĂ©former puis imposer la clĂŽture aux instituts fĂ©minins de vie religieuse comme chez les Bernardines rĂ©formĂ©es de MĂšre Louise de Ballon 1591-1669, les Visitandines de Sainte Jeanne de Chantal 1572-1641, les Ursulines d'AgnĂšs de MĂ©rici 1474-1540. En fait, AgnĂšs Merici voulait qu'elle et ses compagnes se mettent au service des pauvres, des malades, des enfants Ă  instruire, particuliĂšrement les fillettes, etc. Ce n'est qu'Ă  son dĂ©cĂšs que la sociĂ©tĂ© et l'Église catholique imposĂšrent Ă  ses compagnes de se regrouper en congrĂ©gations soumises au respect de la clĂŽture type de vie ursuline est celle que vivra Sainte Marie Guyart de l'Incarnation 1599-1672 qui, entrĂ©e dans l'Ordre de Sainte Ursule Ă  Tours France, est partie en Nouvelle France afin d'aller Ă©vangĂ©liser les amĂ©rindiennes - et ce malgrĂ© la clĂŽture - et y implanta sa communautĂ© religieuse Ă  QuĂ©bec. En 1566, la Constitution Circa pastoralis de Pie V durcit encore la position de l'Église catholique quant Ă  la clĂŽture des monastĂšres et couvents fĂ©minins. C'est cette situation que Saint François de Sales 1567-1622 tenta de contourner - sans succĂšs - en crĂ©ant l'Ordre de la Visitation avec Sainte Jeanne de Chantal. Profitant de l'expĂ©rience malheureuse de son ami, Saint Vincent de Paul 1581-1660 et Sainte Louise de Marillac 1591-1660 arrivĂšrent Ă  crĂ©er les Filles de la CharitĂ© sans que ces derniĂšres ne soient soumises Ă  la clĂŽture, leur permettant de se rendre auprĂšs des plus pauvres afin de les instruire, catĂ©chiser, soigner, s'occuper des orphelins, vĂ©nĂ©rable Anne de Xaintonge 1567-1621 en fondant la SociĂ©tĂ© des SƓurs de Sainte-Ursule de la Vierge BĂ©nie parvint aussi Ă  contourner l'Ă©cueil de la clĂŽture afin d'ĂȘtre auprĂšs du peuple de Dieu et des plus pauvres. Au fil des annĂ©es et en contradiction avec le droit de l'Église catholique romaine, deux types d'ordres religieux fĂ©minins se distinguĂšrent a les ordres appliquant la rĂšgle de la culture stricte dits ordres contemplatifs comme les bĂ©nĂ©dictines, les cisterciennes, les clarisses, les trappistines, les carmĂ©lites rĂ©formĂ©es, les bernardines rĂ©formĂ©es, etc.; b les ordres ayant une approche plus souple de la clĂŽture monacale appelĂ©s ordres apostoliques comme les Ursulines d'Anne de Xaintonges, les Filles de la CharitĂ©, les SƓurs de Saint Maurice, les SƓurs de Saint-Joseph de Cluny, etc. Au xixe siĂšcle et au xxe siĂšcle, la majoritĂ© des ordres religieux fĂ©minins Ă©taient des ordres apostoliques tournĂ©s vers la priĂšre et l'action dans la sociĂ©tĂ© auprĂšs des malades, des handicapĂ©s, des orphelins, des prisonniĂšres, des handicapĂ©s, des mĂšres cĂ©libataires, des Ă©coliĂšres, de la virginitĂ© consacrĂ©e depuis le Concile Vatican IIProcession des PĂšres conciliaires Ă  la basilique Saint-Pierre de Rome, lors du concile Vatican II en octobre 1927, un rituel de consĂ©cration Ă  la virginitĂ© consacrĂ©e existait pour des religieuses cloĂźtrĂ©es et celles vivant dans le monde, mais cette forme de consĂ©cration est ensuite tombĂ©e en dĂ©suĂ©tude et a Ă©tĂ© remplacĂ©e par la vie religieuse, avant d'ĂȘtre explicitement supprimĂ©e en a Ă©tĂ© rĂ©tablie aprĂšs le Concile Vatican II. Le 31 mai 1970, la CongrĂ©gation pour le Culte divin, en application de la Constitution sur la Liturgie Sacrosanctum Concilium, affirmait Le rite de la consĂ©cration des vierges est comptĂ© parmi les plus prĂ©cieux trĂ©sors de la liturgie romaine. En effet, le Christ JĂ©sus a laissĂ© Ă  son Église l’hĂ©ritage de la virginitĂ© consacrĂ©e comme un don particuliĂšrement noble. C’est pourquoi, dĂšs l’ñge apostolique, des vierges ont consacrĂ© Ă  Dieu leur chastetĂ©, ce qui contribuait Ă  la beautĂ© du corps mystique du Christ et l’enrichissait d’une Ă©tonnante fĂ©conditĂ©. Aussi, dĂšs les origines, comme en tĂ©moignent les PĂšres, l’Église, dans sa sollicitude maternelle, a eu l’habitude de confirmer le vƓu de virginitĂ©, Ă  la fois saint et difficile, par une priĂšre solennelle de consĂ©cration. Celle-ci, au long des siĂšcles, s’est dĂ©veloppĂ©e par l’addition d’autres rites signifiant plus clairement que les vierges consacrĂ©es offrent une image de l’Église Ă©pouse du Christ. Et cette priĂšre est entrĂ©e dans le Pontifical romain. » Depuis le Concile Vatican II, cette vocation virginale Ă  la consĂ©cration connaĂźt un grand renouveau et pose des questions thĂ©ologiques qui permettent de comprendre la virginitĂ© consacrĂ©e comme un approfondissement de la grĂące du baptĂȘme et Ă  une vocation Ă  la priĂšre dans la sociĂ©tĂ© comme il est demandĂ© Ă  tout catholique depuis le Concile de Vatican II. »Ce que le CatĂ©chisme de l'Église catholique dit de la virginitĂ© consacrĂ©eDĂ©veloppant ou prĂ©cisant les enseignements du Concile Vatican II, le CatĂ©chise de l'Église catholique traite de la consĂ©cration en gĂ©nĂ©ral et de celle des vierges consacrĂ©es. Les paragraphes 922 Ă  924 traitent spĂ©cifiquement de la virginitĂ© consacrĂ©e La vie consacrĂ©e§ 915 "Les conseils Ă©vangĂ©liques sont, dans leur multiplicitĂ©, proposĂ©s Ă  tout disciple du Christ. La perfection de la charitĂ© Ă  laquelle tous les fidĂšles sont appelĂ©s comporte pour ceux qui assument librement l’appel Ă  la vie consacrĂ©e, l’obligation de pratiquer la chastetĂ© dans le cĂ©libat pour le Royaume, la pauvretĂ© et l’obĂ©issance. C’est la profession de ces conseils dans un Ă©tat de vie stable reconnu par l’Église, qui caractĂ©rise la " vie consacrĂ©e " Ă  Dieu cf. LG 42-43 ; PC 1".§ 916 "L’état de la vie consacrĂ©e apparaĂźt dĂšs lors comme l’une des maniĂšres de connaĂźtre une consĂ©cration "plus intime", qui s’enracine dans le BaptĂȘme et dĂ©die totalement Ă  Dieu cf. PC 5. Dans la vie consacrĂ©e, les fidĂšles du Christ se proposent, sous la motion de l’Esprit Saint, de suivre le Christ de plus prĂšs, de se donner Ă  Dieu aimĂ© par-dessus tout et, poursuivant la perfection de la charitĂ© au service du Royaume, de signifier et d’annoncer dans l’Église la gloire du monde Ă  venir cf. ⇒ CIC, can. 573".§ 917 "Comme un arbre qui se ramifie de façons admirables et multiples dans le champ du Seigneur, Ă  partir d’un germe semĂ© par Dieu, ainsi se dĂ©veloppĂšrent des formes variĂ©es de vie solitaire ou commune, des familles diverses dont le capital spirituel profite Ă  la fois aux membres de ces familles et au bien de tout le Corps du Christ LG 43".Les vierges consacrĂ©esElles n'appartiennent Ă  la vie consacrĂ©e que pour la branche de celles qui vivent comme moniales. Les raisons historiques de la sĂ©paration en deux branches de l'Ordo Virginum sont liĂ©es Ă  l'Ă©volution des temps apostoliques, qui ne connaissaient que la vie virginale laĂŻque en plein monde. Avec le regroupement en monastĂšre au ive siĂšcle, les Vierges cloĂźtrĂ©es Ă©clipsent au cours des siĂšcles leurs sƓurs vivant en plein monde. Le Concile Vatican II a rĂ©tabli la possibilitĂ© de vie virginale laĂŻque, l'Ordo Virginum en plein monde, diocĂ©sain, sans vƓux, sans les caractĂ©ristiques de la vie consacrĂ©e religieuse. Les Vierges consacrĂ©es en plein monde sont historiquement la premiĂšre forme de vie consacrĂ©e laĂŻque.§ 922 "DĂšs les temps apostoliques, des vierges cf. 1 Co 7, 34-36 et des veuves chrĂ©tiennes cf. Jean-Paul II, exh. ap. Vita Consecrata, 7, appelĂ©es par le Seigneur Ă  s’attacher Ă  Lui sans partage dans une plus grande libertĂ© de cƓur, de corps et d’esprit, ont pris la dĂ©cision, approuvĂ©e par l’Église, de vivre, respectivement, dans l’état de la virginitĂ© ou de la chastetĂ© perpĂ©tuelle "Ă  cause du Royaume des cieux" Mt 19, 12".§ 923 "Exprimant le propos sacrĂ© de suivre le Christ de plus prĂšs, [des vierges] sont consacrĂ©es Ă  Dieu par l’évĂȘque diocĂ©sain selon le rite liturgique approuvĂ©, sont Ă©pousĂ©es mystiquement par le Christ Fils de Dieu et sont vouĂ©es au service de l’Église " ⇒ CIC, can. 604, § 1. Par ce rite solennel Consecratio virginum, "la vierge est constituĂ©e personne consacrĂ©e", "signe transcendant de l’amour de l’Église envers le Christ, image eschatologique de cette Épouse du Ciel et de la vie future" OCV prĂŠnotanda 1".§ 924 ""Proche des autres formes de vie consacrĂ©e" ⇒ CIC, can. 604, § 1, l’ordre des vierges Ă©tablit la femme vivant dans le monde ou la moniale dans la priĂšre, la pĂ©nitence, le service de ses frĂšres et le travail apostolique, selon l’état et les charismes respectifs offerts Ă  chacune OCV prĂŠnotanda 2. Les vierges consacrĂ©es peuvent s’associer pour garder plus fidĂšlement leur propos cf. ⇒ CIC, can. 604, § 2"Un exemple de ce renouveau l'Exhortation apostolique Vita consecrata 25 mars 1996 de Jean-Paul II sur l’ordre des vierges, des ermites et des Mr Mounir Abou Fadel et le pape Jean Paul II.§ 7 "C’est un motif de joie et d’espĂ©rance que de voir Ă  notre Ă©poque le retour de l’antique ordre des vierges, dont nous avons trace dans les communautĂ©s chrĂ©tiennes depuis les temps apostoliques. Les vierges consacrĂ©es par l’évĂȘque diocĂ©sain entrent dans une relation Ă©troite avec l’Église et elles se mettent Ă  son service, tout en restant dans le monde. Seules ou associĂ©es, elles constituent une image eschatologique de l’épouse cĂ©leste et de la vie future, dans laquelle l’Église vivra finalement en plĂ©nitude l’amour pour le Christ son Époux. Les ermites, hommes et femmes, appartenant Ă  des ordres anciens ou Ă  des instituts nouveaux, ou encore en dĂ©pendance directe de l’évĂȘque, tĂ©moignent de la fugacitĂ© du temps prĂ©sent par leur sĂ©paration intĂ©rieure et extĂ©rieure du monde ; ils attestent par le jeĂ»ne et la priĂšre que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de la Parole de Dieu cf. Mt 4,4. Cette vie au dĂ©sert » est une invitation pour leurs semblables et pour la communautĂ© ecclĂ©siale elle-mĂȘme Ă  ne jamais perdre de vue la vocation suprĂȘme, qui est de demeurer toujours avec le Seigneur. On assiste aujourd’hui au retour de la consĂ©cration de veuves, connue depuis les temps apostoliques cf. 1 Tm 5, ; 1 Co 7,, ainsi que de celle des veufs. Par leur vƓu de chastetĂ© perpĂ©tuelle pour le Royaume de Dieu, ces personnes se consacrent dans leur condition pour se donner Ă  la priĂšre et au service de l’Église."Une femme tout entiĂšre consacrĂ©e Ă  DieuAvant toute chose, une vierge consacrĂ©e est une femme qui a dĂ©cidĂ© librement de donner toute sa vie Ă  Dieu. Sa dĂ©cision est le rĂ©sultat d'une rĂ©flexion et d'un appel de Dieu et il peut survenir Ă  tout Ăąge. En effet, s'il faut que la femme qui demande Ă  ĂȘtre consacrĂ©e Ă  Dieu soit majeure et capable de discernement, il n'y a pas de limite d'Ăąge pour ĂȘtre consacrĂ©e au qu'une vierge consacrĂ©e ?BĂ©guinage de Bruges en 2008.À la diffĂ©rence de certaines autres formes de vie consacrĂ©es, les vierges consacrĂ©es ne prononcent pas de vƓux, mais un "ferme propos" propositum de vivre dans la virginitĂ©, ce qui n'implique pas nĂ©cessairement d'avoir gardĂ© son intĂ©gritĂ© physique, mais simplement de ne pas avoir Ă©tĂ© mariĂ©, de ne pas avoir d'enfants, et de ne pas avoir vĂ©cu dans un Ă©tat notoire de concubinage. Elles sont consacrĂ©es Ă  Dieu par l'Ă©vĂȘque de leur diocĂšse de domicile. Dans la vie quotidienne, ces femmes "peuvent vivre seules, en famille, avec d’autres consacrĂ©es ou dans d’autres situations favorables Ă  l’expression de leur vocation et Ă  la mise en Ɠuvre de leur projet concret de vie". Elles doivent subvenir Ă  leurs besoins, soit en exerçant une activitĂ© rĂ©munĂ©rĂ©e comme celle de mĂ©decin, archiviste, institutrice, infirmiĂšre, contrĂŽleuse de train, assistante de paroisse, catĂ©chiste, podologue, etc, soit par d'autres moyens providentiels. Leur vie quotidienne doit ĂȘtre portĂ©e par la priĂšre, la priĂšre personnelle mais aussi la priĂšre de l'Église catholique qui est la liturgie des Heures aussi appelĂ©e BrĂ©viaire. Et, sans que cela doive ĂȘtre une obligation, elles sont invitĂ©es Ă  se mettre au service de l'Église catholique et /ou des pauvres en fonction de leurs capacitĂ©s propres. La vocation d'une vierge consacrĂ©e est donc d'ĂȘtre toute Ă  Dieu, Ă  chaque instant, dans l'amour du prochain et de l'Église du code de droit canonique de 1983 parle des vierges consacrĂ©es en affirmant § 1 "À ces formes de vie consacrĂ©e s'ajoute l'ordre des vierges qui, exprimant le propos sacrĂ© de suivre le Christ de plus prĂšs, sont consacrĂ©es Ă  Dieu par l'ÉvĂȘque diocĂ©sain selon le rite liturgique approuvĂ©, sont Ă©pousĂ©es mystiquement par le Christ Fils de Dieu et sont vouĂ©es au service de l'Église."§ 2 "Afin de garder plus fidĂšlement leur propos et d'accomplir par une aide mutuelle un service d'Église conforme Ă  leur propre Ă©tat, les vierges peuvent s'associer entre elles." no 604.Pour la thĂ©ologie catholique, par sa consĂ©cration, une vierge consacrĂ©e est alors configurĂ©e Ă  l'Église en tant que vierge, Ă©pouse et mĂšre Parce que l’Église est vierge, les vierges consacrĂ©es sont appelĂ©es Ă  ĂȘtre vierges, selon qu'il est Ă©crit dans la Bible "Je vous ai fiancĂ©s Ă  un Époux unique comme une vierge pure Ă  prĂ©senter au Christ". Celle qui reçoit la consĂ©cration s’engage donc par une dĂ©cision irrĂ©vocable Ă  vivre dans la virginitĂ© perpĂ©tuelle. Un tel choix demande un engagement radical et sans rĂ©serve afin d'ĂȘtre disciple du Christ JĂ©sus sous une forme particuliĂšre et que le Christ aime l’Église et que l'Église est son Ă©pouse, les vierges consacrĂ©es sont appelĂ©es Ă  devenir Ă©pouses de JĂ©sus. C'est pourquoi, pour souligner leur engagement, les vierges consacrĂ©es reçoivent une alliance lors de leur consĂ©cration. Vierges consacrĂ©es, elles deviennent "Christi Sponsa", Ă©pouse du Christ, selon qu'il est Ă©crit dans la Bible "Ton Seigneur t’épousera". La vocation de la vierge consacrĂ©e est donc de se laisser Ă©pouser par le Christ et de devenir un signe transcendant de l’amour de l’Église pour le Christ son Époux ainsi que l'image du Royaume de Dieu Ă  venir. Cette maniĂšre de parler veut exprimer le total don de soi de la vierge consacrĂ©e au Christ, et de son attention de tous les jours Ă  tourner sa vie vers Dieu et vers Dieu seul en attendant d'aller le contempler en que l’Église est mĂšre, les vierges consacrĂ©es sont appelĂ©es Ă  ĂȘtre maternelles, selon qu'il est Ă©crit dans la Bible "Pousse des cris de joie, toi qui n’as pas enfantĂ© selon la chair plus nombreuse sera ta postĂ©ritĂ©". À la suite de la Vierge Marie, les vierges consacrĂ©es sont appelĂ©es Ă  chercher sans cesse Ă  accomplir la volontĂ© du PĂšre et s’ouvrir ainsi Ă  une fĂ©conditĂ© spirituelle. Cet aspect maternel s'exprime aussi par le don de soi Ă  son prochain dans le besoin et Ă  toute personne rencontrĂ©e dans une existence. Il s'agit d'aimer parce que Dieu aime tous les ĂȘtres humains et comme Dieu les spiritualitĂ© virginale, sponsale "spiritualitĂ© de l'Ă©pouse" et maternelle de la vierge consacrĂ©e s'enracine dans la grĂące de son baptĂȘme. La vierge consacrĂ©e a grande conscience que la Vierge-Épouse-MĂšre est l'Église qu'elle est appelĂ©e Ă  reprĂ©senter. Elle sait que le lien nuptial avec le Fils de Dieu ne se rĂ©alise vĂ©ritablement et en plĂ©nitude que chez les saints - but vers lequel elle chemine avec le Peuple de Dieu. Cependant, sa vocation propre a cette spĂ©cificitĂ© de reprĂ©senter sacramentellement ce triple mystĂšre, ou plutĂŽt cet unique mystĂšre de la "Femme de l'Agneau" Ap 21, 10, l'Église. Selon le titre du document normatif de l'Église qui prĂ©sente sa vocation, elle est "l'EcclesiĂŠ SponsĂŠ Imago", "l'image de l'Église-Épouse" par son cĂ©libat consacrĂ©, elle en est le signe visible, dans sa toutes les formes de vie consacrĂ©e, sa vocation est donc le fruit d'un Ă©panouissement spĂ©cifique de sa grĂące baptismale. Le Concile Vatican II rappelle que l'Ă©pouse du Christ est l'Église, c'est-Ă -dire chaque baptisĂ© ; la vierge consacrĂ©e en est le signe, le sacramental. Cette contemplation de l'Église-Épouse est reprise dans le CatĂ©chisme de l'Église catholique "L’unitĂ© du Christ et de l’Église, TĂȘte et membres du Corps, implique aussi la distinction des deux dans une relation personnelle. Cet aspect est souvent exprimĂ© par l’image de l’époux et de l’épouse. Le thĂšme du Christ Époux de l’Église a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© par les prophĂštes et annoncĂ© par Jean-Baptiste cf. Jn 3, 29. Le Seigneur s’est lui-mĂȘme dĂ©signĂ© comme " l’Époux " Mc 2, 19 ; cf. Mt 22, 1-14 ; 25, 1-13.L’apĂŽtre prĂ©sente l’Église et chaque fidĂšle, membre de son Corps, comme une Épouse " fiancĂ©e " au Christ Seigneur, pour n’ĂȘtre avec Lui qu’un seul Esprit cf. 1 Co 6, 15-16 ; 2 Co 11, 2. Elle est l’Épouse immaculĂ©e de l’Agneau immaculĂ© cf. Ap 22, 17 ; Ep 1, 4 ; 5, 27 que le Christ a aimĂ©e, pour laquelle Il s’est livrĂ© " afin de la sanctifier " Ep 5, 26, qu’Il s’est associĂ©e par une alliance Ă©ternelle, et dont Il ne cesse de prendre soin comme de son propre Corps cf. Ep 5, 29 VoilĂ  le Christ total, TĂȘte et Corps, un seul formĂ© de beaucoup. ... Que ce soit la TĂȘte qui parle, que ce soit les membres, c’est le Christ qui parle. Il parle en tenant le rĂŽle de la TĂȘte ex persona capitis ou bien en tenant le rĂŽle du Corps ex persona corporis. Selon ce qui est Ă©crit " Ils seront deux en une seule chair. C’est lĂ  un grand mystĂšre, je veux dire en rapport avec le Christ et l’Église " Ep 5,31-32. Et le Seigneur lui-mĂȘme dans l’Évangile " Non plus deux, mais une seule chair " Mt 19, 6. Comme vous l’avez vu, il y a bien en fait deux personnes diffĂ©rentes, et cependant, elles ne font qu’un dans l’étreinte conjugale. ... En tant que TĂȘte il se dit " Époux ", en tant que Corps il se dit" Épouse " S. Augustin, Psal. 74, 4.".Comment devenir vierge consacrĂ©e ?La dĂ©marche est avant tout personnelle. Il est possible aussi Ă  celle qui dĂ©sire ĂȘtre consacrĂ©e au Christ de contacter un prĂȘtre qu'elle connaĂźt ou les vierges consacrĂ©es de son diocĂšse afin d'obtenir plus de renseignements concernant cette vocation particuliĂšre. Selon les diocĂšses, il est demandĂ© Ă  la candidate de contacter son Ă©vĂȘque ou un vicaire Ă©piscopal. Elle pourra ensuite ĂȘtre accompagnĂ©e par un prĂȘtre durant un temps diffĂ©rent d'une candidate Ă  l'autre. Ensuite, d'un commun accord avec l'Ă©vĂȘque, le choix d'une date sera arrĂȘtĂ© pour la cĂ©lĂ©bration de la cĂ©lĂ©brationSi la consĂ©cration dans l'ordre des vierges n'est pas un sacrement mais un sacramental, son rituel, bien que particulier Ă  cette vocation, est tout de mĂȘme Ă  cheval entre le rituel des ordinations diaconales, sacerdotales et Ă©piscopales, tout en Ă©tant voisin du rituel de mariage. Tout d'abord, comme pour les ordinations, le cĂ©lĂ©brant est l'Ă©vĂȘque du diocĂšse de domicile de celle qui demande sa consĂ©cration et, comme dans les sacrements de l'ordination, du mariage, du baptĂȘme, le consentement libre de la candidate est nĂ©cessaire, c'est pourquoi, une partie du rituel prĂ©voit l'appel de la candidate et un court dialogue avec l' le rituel prĂ©voit une litanie des saints que la candidate peut agrĂ©menter en fonction de sa spiritualitĂ© particuliĂšre qui peut s'accompagner d'une prostration. Cette litanie est suivie de la priĂšre de consĂ©cration et de la remise des insignes de la consĂ©cration que sont la lumiĂšre du Christ, l'anneau et le livre des heures. À noter que, dans certains cas - si la vierge consacrĂ©e fait partie d'un institut de vie religieuse ou si elle le demande bien que vivant seule - un voile peut ĂȘtre remis Ă  ce moment Ă  la nouvelle vierge consacrĂ©e. Si elle vit seule, la vierge consacrĂ©e peut alors choisir de porter ou non ce signe particulier dans sa vie faut encore prĂ©ciser que cette consĂ©cration est publique si l'on choisit un engagement plus secret, la consacrĂ©e pourra se tourner vers des vƓux privĂ©s. Dans le cas des consĂ©crations publiques, de nombreuses vierges consacrĂ©es choisissent de vivre cet engagement dans leur communautĂ© paroissiale ou encore dans la cathĂ©drale de leur rituel de la ConsĂ©cration des viergesLe rituel de la ConsĂ©cration des vierges s'intĂšgre donc dans la structure globale d'une messe, Ă  l'exception de la priĂšre universelle que la litanie des saints remplace. Donc, comme dans toute messe, aprĂšs le Kyrie et le Gloria, se dĂ©roule la liturgie de la Parole et l'homĂ©lie. Ensuite, s'intĂšgre le rite de consĂ©cration en lui-mĂȘme, puis la litanie des saints pendant lequel la candidate peut choisir d'ĂȘtre prostrĂ©e soit couchĂ©e sol contre terre et les bras en croix et, Ă  la fin de la litanie, l'Ă©vĂȘque prononce une priĂšre particuliĂšre. Suivent la dĂ©cision de la virginitĂ©, la priĂšre solennelle de la consĂ©cration des vierges et la remise des insignes de la consĂ©cration. La cĂ©lĂ©bration se poursuit comme toute messe par la liturgie eucharistique et se clĂŽt par l' envoi Ă  la liturgie spĂ©cifique du rituelRite de consĂ©cration Appel et dialogueConsĂ©cration dans le diocĂšse de Sion en la fin de son homĂ©lie, l'Ă©vĂȘque s'adresse Ă  la candidate en lui demandant "NN., le Seigneur vous appelle Ă  le suivre. Avancez Ă  sa rencontre". La candidate se lĂšve et s'avance elle peut ĂȘtre accompagnĂ©e d'une ou deux personnes de son choix et elle rĂ©pond selon ce qui lui correspond le plus elle peut aussi choisir une formule personnelle qui explicite son engagement volontaire "Me voici, Seigneur, puisque tu m'as appelĂ©e / Me voici pour m'attacher au Seigneur sans partage".L'Ă©vĂȘque interroge alors la candidate en lui demandant "Voulez-vous persĂ©vĂ©rer toute votre vie dans votre rĂ©solution de virginitĂ© consacrĂ©e au service du Seigneur et de son Église ?". La candidate rĂ©pond "Oui, je le veux".L’évĂȘque continue en questionnant la candidate par le texte suivant "Voulez-vous suivre le Christ selon l’Évangile de telle sorte que votre vie apparaisse comme un tĂ©moignage d'amour et le signe du Royaume Ă  venir ?". La candidate rĂ©pond "Oui, je le veux".L’évĂȘque poursuit avec la question suivante "Voulez-vous ĂȘtre consacrĂ©e au Seigneur JĂ©sus Christ, le fils du Dieu TrĂšs-Haut, et le reconnaĂźtre comme votre Époux ?". La candidate rĂ©pond "Oui, je le veux".L'Ă©vĂȘque et l'assemblĂ©e rĂ©pondent alors "Nous rendons grĂące Ă  Dieu".La litanie des Saints priĂšre de l'Ă©vĂȘqueAvant d'entonner la litanie des Saints, l'Ă©vĂȘque prie ainsi "Prions Dieu notre PĂšre, par son Fils notre Seigneur, afin que l'Esprit rĂ©pande sa grĂące en abondance sur celles qu'il a choisi de consacrer Ă  son service. Que la Vierge Marie et tous les Saints intercĂšdent pour nous auprĂšs de Dieu".PriĂšre de l'Ă©vĂȘque Ă  la fin de la litanie des Saints "Écoute, Seigneur, ton Église en priĂšre Dans ton amour, prend pitiĂ© de celles ou NN. que tu as appelĂ©es; conduis-les dans la voie du salut, pour qu'elles dĂ©sirent ce qui te plaĂźt et soient toujours vigilantes pour l'accomplir. Par JĂ©sus, le Christ, notre Seigneur". L'assemblĂ©e rĂ©pond "Amen".La dĂ©cision de la virginitĂ© soit la consĂ©cration solennelle Ă  la virginitĂ© par le choix libreLa candidate s'avance, et se met Ă  genoux devant l'Ă©vĂȘque et, plaçant ses mains dans celles de l'Ă©vĂȘque, elle dit48 "PĂšre, avec la grĂące de Dieu, je professe, devant vous et devant l'Église, ma dĂ©cision irrĂ©vocable de vivre dans la chastetĂ© et de suivre le Christ. Recevez mon engagement et donnez-moi, je vous prie, la consĂ©cration".Le rituel de la consĂ©cration des vierges prĂ©cise que "la formule et les gestes qui accompagnent ce vƓu peuvent ĂȘtre modifiĂ©s selon les circonstances".PriĂšre solennelle de la consĂ©cration des viergesUne fois qu'il a reçu l'engagement libre de la candidate, l'Ă©vĂȘque Ă©tend les mains et dit la longue et belle priĂšre de consĂ©cration "Seigneur notre Dieu, toi qui veux demeurer en l'homme, tu habites ceux qui te sont consacrĂ©s, tu aimes les cƓurs libres et purs. Par JĂ©sus Christ, ton Fils, lui par qui tout a Ă©tĂ© fait, tu renouvelles en tes enfants ton image dĂ©formĂ©e par le pĂ©chĂ©. Tu veux non seulement les rendre Ă  leur innocence premiĂšre, mais encore les conduire jusqu'Ă  l'expĂ©rience des biens du monde Ă  venir ; et dĂšs maintenant, tu les appelles Ă  se tenir en ta prĂ©sence comme les anges devant ta face. Regarde, Seigneur, notre sƓur NN. en rĂ©ponse Ă  ton appel, elle se donne tout entiĂšre Ă  toi ; elle a remis entre tes mains sa dĂ©cision de garder la chastetĂ© et de se consacrer Ă  toi pour un ĂȘtre de chair pourrait-il, en effet, maĂźtriser les appels de la nature, renoncer librement au mariage et s'affranchir des contraintes de toutes sortes, si tu n'allumes ce dĂ©sir, Seigneur, si tu n'alimentes cette flamme et si ta puissance ne l'entretient ? Sur tous les peuples, tu rĂ©pands ta grĂące ; et de toutes les nations du monde tu te donnes des fils et des filles, plus nombreux que les Ă©toiles dans le ciel, hĂ©ritiers de la nouvelle Alliance, enfants nĂ©s de l'Esprit, et non pas de la chair et du sang. Et parmi tous les dons ainsi rĂ©pandus, il y a la grĂące de la virginitĂ© tu la rĂ©serves Ă  qui tu veux. C'est en effet, ton Esprit Saint qui suscite au milieu de ton peuple des hommes et des femmes conscients de la grandeur et de la saintetĂ© du mariage et capables pourtant de renoncer Ă  cet Ă©tat afin de s'attacher dĂšs maintenant Ă  la rĂ©alitĂ© qu'il prĂ©figure l'union du Christ et de l'Église. Heureux ceux qui consacrent leur vie au Christ et le reconnaissent comme source et raison d'ĂȘtre de la virginitĂ©. Ils ont choisi d'aimer celui qui est l'Ă©poux de l'Église et le Fils de la Vierge MĂšre !"L’ÉvĂȘque, Ă©tendant les mains sur la future consacrĂ©e, poursuit "Accorde, Seigneur, ton soutien et ta protection Ă  celle qui se tient devant toi, et qui attend de sa consĂ©cration un surcroĂźt d'espĂ©rance et de force Que jamais l'esprit du mal, acharnĂ© Ă  faire Ă©chec aux desseins les plus beaux, ne parvienne Ă  ternir l’éclat de sa chastetĂ©, ni Ă  la priver de cette rĂ©serve qui doit ĂȘtre aussi la richesse de toute femme. Par la grĂące de ton Esprit Saint, qu'il y ait toujours en elle prudence et simplicitĂ©, douceur et sagesse, gravitĂ© et dĂ©licatesse, rĂ©serve et brĂ»le de charitĂ© et n'aime rien en dehors de toi ; qu'elle mĂ©rite toute louange sans jamais s'y complaire ; qu'elle cherche Ă  te rendre gloire, d'un cƓur purifiĂ© dans un corps sanctifiĂ© ; qu'elle te craigne avec amour, et, par amour, qu'elle te serve. Et toi, Dieu toujours fidĂšle, sois sa fiertĂ©, sa joie et son amour ; sois pour elle consolation dans la peine, lumiĂšre dans le doute, recours dans l'injustice ; dans l'Ă©preuve, sois sa patience; dans la pauvretĂ©, sa richesse; dans la privation, sa nourriture; dans la maladie, sa guĂ©rison. En toi, qu'elle possĂšde tout, puisque c'est toi qu'elle prĂ©fĂšre Ă  tout. Par JĂ©sus Christ, ton Fils notre Seigneur et notre Dieu, qui rĂšgne avec toi et le Saint-Esprit, maintenant et pour les siĂšcles des siĂšcles".Tous rĂ©pondent alors "Amen".Remise des insignes de la consĂ©crationLors de la consĂ©cration des vierges, trois Ă©lĂ©ments sont obligatoirement remis, Ă  savoir l'anneau, le livre de priĂšre et la lumiĂšre. Toutefois, il est possible Ă  la postulante de recevoir aussi un voile qu'elle portera ou non dans la vie quotidienne et ce, en fonction de ses besoins propres. De plus, d'autres formules et d'autres symboles peuvent ĂȘtre remis Ă  la nouvelle vierge nouvelle vierge consacrĂ©e s'avance alors vers l'Ă©vĂȘque qui lui remet le voile si elle le dĂ©sire en disant "NN., recevez ce voile, signe de votre consĂ©cration ; n'oubliez jamais que vous vous ĂȘtes vouĂ©e au service du Christ et de son corps, qui est l'Église". La consacrĂ©e rĂ©pond "Amen".l'anneau "Recevez cet anneau, signe de votre union avec le Christ. Gardez une fidĂ©litĂ© sans partage au Seigneur JĂ©sus ; il vous introduira un jour dans la joie de l'alliance Ă©ternelle". La consacrĂ©e rĂ©pond "Amen".le livre de priĂšre de l’Église "Recevez le livre de la priĂšre de l'Église. Ne cessez jamais de louer votre Dieu ni d'intercĂ©der pour le salut du monde". La consacrĂ©e rĂ©pond "Amen".la LumiĂšre "Veillez, car vous ne savez ni le jour ni l'heure. Conservez avec soin la lumiĂšre de l'Évangile, et soyez toujours prĂȘte Ă  aller Ă  la rencontre de l'Époux qui vient". La consacrĂ©e rĂ©pond "Amen".Cette partie de la cĂ©lĂ©bration peut se conclure sur l'Ă©change d'un geste d'amitiĂ© et de paix, puis tout le monde retourne Ă  sa place pour cĂ©lĂ©brer la liturgie la priĂšre de communion, la nouvelle consacrĂ©e s'avance vers l'autel et l'Ă©vĂȘque prononce sur elle cette priĂšre trinitaire "Que Dieu notre PĂšre vous garde toujours dans l'amour de la virginitĂ© qu'il a mis dans votre cƓur". La consacrĂ©e rĂ©pond "Amen".Puis l'Ă©vĂȘque ajoute "Que JĂ©sus notre Seigneur, fidĂšle Ă©poux de celles qui lui sont consacrĂ©es, vous donne, par sa Parole, une vie heureuse et fĂ©conde". La consacrĂ©e rĂ©pond "Amen".L'Ă©vĂȘque prononce encore les paroles suivantes "Que l'Esprit Saint, qui fut donnĂ© Ă  la Vierge Marie et qui a consacrĂ© aujourd'hui votre cƓur, vous anime de sa force pour le service de Dieu et de l'Église". La consacrĂ©e rĂ©pond "Amen".Enfin, l'Ă©vĂȘque bĂ©nit toute l'assemblĂ©e au moyen de la formule suivante ou d'une autre laissĂ©e au choix du cĂ©lĂ©brant "Et vous qui avez participĂ© Ă  cette cĂ©lĂ©bration, que Dieu tout puissant vous bĂ©nisse, le PĂšre, le Fils et le Saint-Esprit". Tous rĂ©pondent alors "Amen"Source Seigneur fais de moi un instrument de ta paix Chantons en Église: 33 chants de louange et d'adoration Premium 0,98 € voir les 22 interprĂ©tations de "Seigneur, fais de moi un instrument ï»żAbonnements d'Ă©coute de musique en streaming Web et mobile, packs de tĂ©lĂ©chargement MP3 - paiement Paypal ou carte bancaire © 2004-2022 ApachNetwork, tous droits rĂ©servĂ©s Labels, artistes, droits d'auteurs contactez-nous 29 aoĂ»t 2022 - 1459
Seigneur fais de moi un instrument de ta paix. LĂ  oĂč est la haine, que je mette l’amour. LĂ  oĂč est l’offense, que je mette le pardon. Dans le monde sans en ĂȘtre. Contactez
Graines de saints Durée 0321 Compositeur Anne-Sophie Rahm
Seigneurfais de moi un instrument. Seigneur, je le crois. Seigeur, je m'approche en silence. Seigneur JĂ©sus tu es vivant. Seigneur nous croyons. Seigneur, tu fais de nous tes amis. Seigneur fais de nous des ouvriers de Paix. Seigneur je m’approche en silence. Seigneur tu as vaincu la mort. Seigneur nous arrivons des quatre coins de l’horizon
DĂ©c 1 2021 ∞ Pour dĂ©couvrir toutes mes crĂ©ations Par Soriah ‱ PriĂšres ‱ 0
Seigneur fais de moi un instrument de ta paix. Saint François d'Assise Saint François d'Assise « Vous serez mes tĂ©moins Ă  JĂ©rusalem, dans toute la JudĂ©e et la Samarie, et jusqu’aux extrĂ©mitĂ©s de la terre » (Ac 1, 8).
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