Commetous les films de super-hĂ©ros ou presque, “The Suicide Squad“ contient un bonus sous la forme d‘une scĂšne post-gĂ©nĂ©rique. Et celle-ci tease l‘un des futurs projets de DC.>> Lire l‘article | sur AlloCinĂ© - mercredi 28 juillet 2021
Vous avez aimĂ© le personnage de Peacemaker jouĂ© par John Cena dans The Suicide Squad ? Bonne nouvelle, vous le retrouverez prochainement dans sa sĂ©rie spin-off que DC et HBO sont en train de dĂ©velopper. Dans The Suicide Squad, semi-reboot du premier volet, James Gunn a dĂ©gainĂ© du catalogue DC une myrielle de personnages loufoques. Parmi eux, un certain Peacemaker. Ce super-hĂ©ros ou plutĂŽt anti-hĂ©ros amĂ©ricain a une vision bien prĂ©cise du bien et du mal si ces actions permettent de mener Ă  la paix - quitte Ă  tuer des innocents - il le fera sans mĂȘme sourciller. Un personnage impeccablement interprĂ©tĂ© Ă  l’écran par John Cena. L’ex-catcheur enfilera Ă  nouveau son costume rouge et bleu ainsi que son casque ridicule dans une sĂ©rie spin-off qui a Ă©tĂ© commandĂ©e par la plateforme HBO en septembre 2020, plusieurs mois avant la sortie de Suicide Squad au cinĂ©ma autrement dit, le personnage a du potentiel et la plateforme amĂ©ricaine compte bien surfer sur la popularitĂ© de John Cena que l’on voit partout. C’est pour quand ? Et bonne nouvelle, on sait dĂ©jĂ  quand HBO Max diffusera la premiĂšre saison de Peacemaker elle sera dĂ©voilĂ©e dĂšs janvier 2022 aux Etats-Unis, en espĂ©rant qu’une chaĂźne ou plateforme française en rĂ©cupĂ©rera les droits de diffusion d’ici-lĂ . Le tournage se dĂ©roule actuellement de l’autre cĂŽtĂ© de l’Atlantique sous la direction de James Gunn lui-mĂȘme. Ce dernier rĂ©alisera 5 des 8 Ă©pisodes qu’il a Ă©crit. C’est avec qui ? Il avait fait la motion capture de King Shark dans The Suicide Squad, mais c’est bien rĂŽle de John Economos que Steve Agee reprendra dans Peacemaker sous un nouveau rĂŽle collaborateur d’Amanda Waller, il est surtout en charge de la prison de haute sĂ©curitĂ© Belle Reve. Les fans d’Orange Is the New Black retrouveront aussi Ă  l’écran l’hilarante Danielle Brooks Taystee, dans le rĂŽle de Leota Adebayo. Un personnage créé par James Gunn qu'il prĂ©sente comme le bras droit de Peacemaker. Mais ces deux derniers ne partagent pas la mĂȘme vision de la justice. Dans le reste du casting, il y a aussi Robert Patrick qui a Ă©tĂ© choisi pour jouer le pĂšre du patriote amĂ©ricain. Freddie Stroma se glissera quant Ă  lui dans le costume d’Adrian Chase / Vigilante, super-hĂ©ros la nuit et procureur le jour. Un super-hĂ©ros qui va donner du fil Ă  retordre Ă  Peacemaker. 2021 Warner Bros. Entertainment Inc. All Rights Reserved. / Glen Wilson Peacemaker sera de retour sur nos Ă©crans en 2022 ! De quoi ça parlera ? Attention le paragraphe suivant contient des spoilers sur la fin de The Suicide Squad. "C’est un tas de m**rde, ce n’est pas un mec bien" avait fait savoir James Gunn Ă  au magazine Empire le mois dernier. Peacemaker a des idĂ©aux que je trouve intĂ©ressants. Sa vision des choses est "Je veux la paix Ă  tout prix, peu importe le nombre d’hommes, de femmes et d’enfants qu’il me faudra tuer pour l’obtenir”A priori cela ne veut rien dire, mais en mĂȘme temps c’est parfaitement censĂ©. Et la performance de John Cena montre Ă  quel point il n’est pas Ă  l’aise avec cela, ce qui a formĂ© Ă  mes yeux la base d’une sĂ©rie de huit Ă©pisodes." Il faut dire qu’à la fin de The Suicide Squad, Peacemaker dĂ©cidait d’éliminer le Colonel Flagg Joel Kinnaman alors que ce dernier voulait rĂ©vĂ©ler au monde entier la participation des Etats-Unis au projet Starfish. Lorsqu'il fait face Ă  Ratcatcher 2 Daniela Melchior qu'il est obligĂ© de tuer, l’homme semble hĂ©siter
 Il se fera finalement arrĂȘter par Bloodsport Idris Elba. La scĂšne post-gĂ©nĂ©rique, que l’on vous dĂ©crypte ici, nous fait comprendre que Peacemaker n’est pas mort. De quoi penser que la sĂ©rie se dĂ©roulera juste aprĂšs les Ă©vĂ©nements de Suicide Squad. Mais quand il s’agit de rĂ©pondre Ă  cette question, Gunn prĂ©fĂšre botter en touche. On sait juste qu’elle sera liĂ©e au film, sans savoir de quoi elle parlera exactement

Ms Marvel est enfin sur les Ă©crans, et cette grande fangirl qu'est Kamala Khan se prĂ©pare Ă  prendre le monde d'assaut. AprĂšs qu'elle ait fait ses devoirs bien sĂ»r. Kamala est une ado ordinaire avec des problĂšmes d'ado - elle est aimĂ©e mais incomprise par sa famille, elle a la tĂȘte dans les nuages, et on lui en demande beaucoup trop Science-fiction Action Crime DC Comics Suicide Squad est diffusĂ© ce soir Ă  21h15 sur TMC. Avant The Suicide Squad, il y a eu Suicide Squad, rĂ©alisĂ© par David Ayer. Un succĂšs en salles, mais une douleur encore vive. Personne n'a oubliĂ© les bandes-annonces cool et colorĂ©es au rythme de Bohemian Rhapsody de Queen, qui laissaient augurer d'un spectacle rĂ©solument drĂŽle, Ă©nervĂ© et vif. Et personne n'a oubliĂ© la terrible dĂ©ception collective face Suicide Squad en 2016. MalgrĂ© son succĂšs certain en salles plus de 746 millions tout de mĂȘme, le film rĂ©alisĂ© par David Ayer est devenu synonyme de vaste plaisanterie depuis, de sa production infernale Ă  sa suite sous forme de quasi-reboot qui s'appelle simplement The Suicide Squad. Alors que le rĂ©alisateur rĂȘve d'embrayer sur le Snyder Cut de son collĂšgue pour offrir son Ayer Cut, la rĂ©daction a eu la folie de se pencher une nouvelle fois sur la Suicide Squad menĂ©e par Will Smith, Margot Robbie, Joel Kinnaman, Jay Hernandez, Karen Fukuhara ou encore Jared Leto. Spoiler mieux vaut aller revoir le film de James Gunn, parce que c'est toujours aussi mauvais, et on rĂ©sume ça en 10 raisons. LA NARRATION DĂšs le dĂ©marrage, Suicide Squad se tire une balle dans le pied avec son introduction. En voulant prĂ©senter ses personnages un Ă  un Ă  travers une sĂ©rie de clips dĂ©sincarnĂ©s qui aimeraient titiller le style de Guy Ritchie sans une once d’idĂ©es pour au moins le singer, le long-mĂ©trage commence d’une maniĂšre ultra-poussive. Et si cela ne durait que quelques minutes, le mal pourrait s’estomper rapidement mais le problĂšme, c’est que cette introduction s’étire sur plus d’une demi-heure. Un quart du film voire plus sert donc Ă  prĂ©senter Harley Quinn, puis Deadshot, puis Waller puis l’escouade
 sans vĂ©ritable liant. Une prĂ©sentation d’autant plus dĂ©concertante que le film se dĂ©cide Ă  jongler entre temps prĂ©sent et flashbacks sans aucune logique narrative. Pire, le film dĂ©cide aussi de prĂ©senter les antagonistes voire l’entourage des personnages Ă  travers quelques vignettes aussi fades qu’inutiles. De fait, le rĂ©cit ne fait qu’effleurer chaque membre de l’équipe, sans jamais rĂ©ussir Ă  leur donner du relief et aprĂšs cette grosse demi-heure, Suicide Squad commence sans qu’on ait l’impression de connaĂźtre qui que ce soit, ni mĂȘme les vĂ©ritables enjeux du film on parle du scĂ©nario en dessous. Une Ă©quipe de bras cassĂ©s Le film subira son introduction tout au long du film puisqu’évidemment, les personnages ayant eu le droit Ă  une prĂ©sentation "riche" seront ceux au centre quand les plus Ă©clipsĂ©s seront les plus vulnĂ©rables Slipknot sĂ©rieux. C’est d’autant plus dommage que certains personnages au fort potentiel sont complĂštement abandonnĂ©s en cours de route Katana mĂ©ritait sĂ»rement mieux quand d’autres parasitent le rĂ©cit et n’ont aucune valeur ajoutĂ©e vous aussi vous avez pensĂ© au Joker en lisant parasite ?. Le suspense est donc au point mort et le montage foutraque de l’ensemble ne permet jamais au rĂ©cit de prendre de l’ampleur. Le montage complĂštement tarĂ© avec cette bande-son incessante rĂ©ussit mĂȘme l’exploit de ne jamais dynamiter une intrigue qui fait du surplace. À force d’aller-retours entre flashbacks et prĂ©sents, antagoniste et anti-hĂ©ros
 l’histoire stagne pour se conclure sur un climax d’une mĂ©diocritĂ© ahurissante c’est quoi ce sacrifice de Diablo ? C’est quoi cette rĂ©solution simplette ?. Et ce n’est Ă©videmment pas l’envie de lier Suicide Squad au DCEU et donc Ă  Batman qui vient allĂ©ger un rĂ©cit trop bordĂ©lique pour son propre bien. La scĂšne post-gĂ©nĂ©rique oĂč Bruce Wayne confronte Amanda Waller et tease un possible affrontement entre la Suicide Squad et la Justice League est superflue et Ă©tait surtout prĂ©maturĂ©e. À l’époque, la JL n’était toujours pas formĂ©e et le film toujours en tournage. Des annĂ©es plus tard, impossible de ne pas y voir un gros plantage et une prĂ©cipitation rapidement sanctionnĂ©e. HĂ©sitation Ă  activer la puce explosive dans la tĂȘte de Ecran Large TOUTE L'HISTOIRE RĂ©sumer Suicide Squad est la vraie mission suicide. Suite au bordel post-Man of Steel et Batman v Superman, la trĂšs vener Amanda Waller lance la Task Force X, avec un principe pas du tout infaillible prendre des criminels aux pouvoirs extraordinaires, leur implanter une puce pour les forcer Ă  obĂ©ir, et les envoyer dans les pires missions afin de sauver l'humanitĂ© si besoin. Amanda a tellement la confiance qu'elle a aussi pris le contrĂŽle de l'Enchanteresse, un ĂȘtre surpuissant dont elle garde le coeur dans une jolie valise. Si l'Enchanteresse est mĂ©chante, elle joue Ă  la poupĂ©e vaudou avec pour la calmer. À la surprise de personne, l'Enchanteresse s'Ă©chappe, rĂ©cupĂšre son frĂšre enfermĂ© dans un bocal, et créé une armĂ©e de zombies dans la ville. L'Ă©quipe de choc est donc envoyĂ©e sur place, pour sauver le monde. Sauf que non c'Ă©tait juste pour sauver Waller, piĂ©gĂ©e dans un immeuble, et tellement vener qu'elle abat des membres du FBI pour le montrer. C'Ă©tait sans compter sur le Joker, sorti de ses flashbacks pour venir rĂ©cupĂ©rer Harley Quinn. Waller la rĂ©cupĂšre Ă  son tour, avant d'ĂȘtre elle-mĂȘme rĂ©cupĂ©rĂ©e par l'Enchanteresse. Le Squad va la sauver, parce qu'ils sont entre temps devenues meilleurs amies pour la vie, et ça, ça n'a pas de prix sauf la vie de quelques collĂšgues, comme cet abruti de dieu aztĂšque qui maĂźtrise le feu, mais meurt dans un feu. Viola Davis, Amanda Waller mĂȘme joie de vivre Le scĂ©nario de Suicide Squad est donc lĂ©gĂšrement bordĂ©lique, Ă  la fois simple dans le fond et inutilement compliquĂ© dans les articulations, la faute Ă  ces multiples plusieurs couches superposĂ©es. Et une grande question autour de ce pseudo-twist sur le sauvetage d'Amanda, qui constitue un point bizarroĂŻde dans l'intrigue, et modifie la hauteur des enjeux. Un peu comme si le rĂ©alisateur et scĂ©nariste David Ayer n'avait pas voulu ou pas pu assumer le cheminement simple, pur et efficace de sa bande d'un point A Ă  un point B, et avait rajoutĂ© ces Ă©tapes lourdingues pour cocher des cases - une surprise par ci, une rĂ©vĂ©lation par lĂ , une fausse mort entre les deux. Ce qui paradoxalement ramĂšne constamment le film vers les sentiers battus des mauvais clichĂ©s hollywoodiens. Au final, tout ça reste profondĂ©ment basique, mais avec tellement d'artifices pour le masquer que Suicide Squad devient particuliĂšrement ridicule et longuet. Miss poubelle 2016 WILL SMITH SHOW À quel moment c'est parti en vrille ? DĂšs le casting de Will Smith en Deadshot ? Ou lorsque Warner a imposĂ© des reshoots, et dĂ©tricotĂ© et remontĂ© le film ? Une chose est sĂ»re le personnage de l'assassin a phagocytĂ© Suicide Squad, en prenant tellement d'espace que le film semble d'abord ĂȘtre le sien c'est d'ailleurs le premier Ă  apparaĂźtre, avant d'ĂȘtre celui de l'Ă©quipe. Soit un gros problĂšme vu le titre et l'histoire. Il n'est pas le seul Harley Quinn a elle aussi une place au premier plan, et Deadshot et elle ont tous les deux droit Ă  une prĂ©-intro lourdingue pour en attester. Sauf que le personnage incarnĂ© par Margot Robbie existe pleinement dans l'univers DC avec le Joker, lĂ  oĂč la prĂ©sence exagĂ©rĂ©e de Floyd Lawton est justifiĂ©e via ses problĂšmes de papa contrariĂ©, qui existent jusqu'au climax. Ce que personne n'a envie de voir dans Suicide Squad. Alors que l'aventure est celle d'une bande d'anti-hĂ©ros, dont l'alliance de fortune est A COMPLETER, Deadshot tire constamment la couverture Ă  lui, comme si deux films coexistaient et se bouffaient sans cesse. Ali c'est fini Ego-trip de Will Smith qui avait refusĂ© Independence Day Resurgence pour ça ? BĂȘte manƓuvre du studio pour miser sur le visage le plus connu de l'Ă©quipe ? Ou un peu des deux ? Peu importe. Le rĂ©sultat est sans appel, et Deadshot est l'un des gros points faibles d'un film profondĂ©ment bancal. Preuve que tout le monde est d'accord le projet de film solo sur Deadshot a depuis Ă©tĂ© discrĂštement mis sous le tapis, Will Smith a trouvĂ© une raison officielle d'agenda pour ne pas revenir dans la suite ou garder la face s'il n'a pas Ă©tĂ© rĂ©invitĂ©, et plus aucun mot sur une rĂ©apparition du personnage. Fini les Bad Boys, maintenant c'est Bad Girls LE JOKER DE JARED LETO Osons une prise de position que toute la rĂ©daction ne validera pas le Joker-gangsta, ce n'Ă©tait pas une si mauvaise idĂ©e. Les premiĂšres images du personnage dĂ©voilĂ©es sur internet ont provoquĂ© toutes sortes de rĂ©actions. Pourtant, son look ignorait intelligemment le spectre d'Heath Ledger tout en s'accordant aux obsessions du cinĂ©aste. Ayer a toujours mis en scĂšne des caĂŻds autoproclamĂ©s, dans End of Watch ou mĂȘme dans Fury. Et quoi de plus logique que la redoutable intelligence du clown lui confĂšre une place dans ce monde de crapule... et le style qui va avec ? Mais qu'on partage ou pas cette analyse, quoi qu'on pense de cette interprĂ©tation ou de Jared Leto, choisi sur le tard selon lui, il faut reconnaĂźtre qu'il est peut-ĂȘtre l'Ă©lĂ©ment le plus mutilĂ© du long-mĂ©trage, ce qui n'est pas peu dire. Bien sĂ»r, personne ne peut vraiment connaĂźtre la teneur exacte des rushs amputĂ©s, parfois entrevus dans les anachroniques premiĂšres bandes-annonces. Il est Ă©vident que la terreur de Gotham devait avoir de l'importance lors de ce climax bĂąclĂ©, prenant place aprĂšs son absurde disparition. Lors d'un entretien Ă  la BBC Radio 5, le comĂ©dien a expliquĂ© qu'il avait tournĂ© assez de scĂšnes pour remplir un film entier. Quand tu regardes le montage final Probablement sacrifiĂ© sur l'autel du classement PG-13, son Joker n'apparaĂźt que trĂšs peu. Bien qu'Ayer lui-mĂȘme ait reconnu qu'il est difficile de juger sa performance, le personnage s'intĂšgre si maladroitement Ă  l'intrigue, et mĂȘme au montage, qu'il en devient comique. Il faut voir la fascination qu'il a pour Harley, assez proche du schĂ©ma classique du hĂ©ros hollywoodien, ou mĂȘme toutes les sĂ©quences oĂč il est censĂ© laisser apparaĂźtre sa folie, beaucoup trop sommaires et montĂ©es au bazooka. La fameuse sĂ©quence des Ă©lectrochocs, a priori rĂ©vĂ©latrice des instincts destructeurs qui l'habitent, sur-dĂ©coupent ses mimiques, vont jusqu'Ă  les camoufler d'un filtre nĂ©on scandaleux. Et la mĂ©chancetĂ© qu'il devrait vĂ©hiculer s'Ă©vapore, alors qu'on le voit gesticuler, comme pour illustrer le "deranged" qui trĂŽne sur son front. Sa disparition dans le dernier acte, traduisant le mĂ©pris portĂ© Ă  son Ă©gard, achĂšve cette impression de rendez-vous manquĂ©. Que cette version originale du bad guy soit intĂ©ressante ou foirĂ©e, on aurait franchement aimĂ© la dĂ©couvrir. Les reshoots, allĂ©gorie LA SUICIDE SQUAD Le dĂ©fi d'un film Suicide Squad, c'est non seulement l'identification Ă  une vĂ©ritable bande de mĂ©chants, mais aussi la caractĂ©risation d'une pluralitĂ© de personnages. Le format papier autorise bien des digressions que 2h de mĂ©trage ne peuvent se permettre. Le film choral absolu est un fantasme inatteignable pour peu qu'on doive cĂ©der aux conventions hollywoodiennes, certes, mais rarement on se sera autant plantĂ© Ă  essayer de l'atteindre. Tout entier articulĂ© autour de la rĂ©demption ronflante de Will Smith... enfin Deadshot, Suicide Squad rĂ©duit la majoritĂ© de ses protagonistes Ă  un tas de gimmicks Ă©culĂ©s. Passons sur les personnages-fonction risibles, invitĂ©s Ă  l'arrache pour faire vaguement avancer l'intrigue RIP Slipknot, tes trois mots et ton envolĂ©e vers la libertĂ© ou sur ceux si grossiĂšrement destituĂ©s de leur arc narratif qu'ils se contentent de se balader en arriĂšre-plan Katana, la figurante maudite. Hormis Deadshot et la lourdeur de son Ă©criture, les plus Ă©minents membres de l'escouade sont en fait parfaitement inutiles. Marcher au ralenti n'y changera rien Boomerang est un vieux redneck alcoolique faisant office de contrepoint comique, Killer Croc prononce moins de mots qu'il n'a de neurones et ne montre jamais sa vraie puissance, Diablo hĂ©rite d'une backstory digne d'une telenovelas et meurt... brĂ»lĂ©. Quant Ă  Harley Quinn, elle se contente de se languir d'un prince charmant du crime. En attendant sa venue... dĂ©cevante, elle pĂšte des vitrines, dit des gros mots et se rĂ©pand en sous-entendus sexuels. L'apogĂ©e du blasphĂšme pour ses fans est atteint lors du climax, lorsqu'elle se rĂȘve... une vie de famille avec le Joker. La folie, c'est plus ce que c'Ă©tait. Difficile de s'identifier Ă  cette bande de zombies dĂ©possĂ©dĂ©s de leur personnalitĂ©, ou mĂȘme de leurs habiletĂ©s les plus intĂ©ressantes. Les membres de la Suicide Squad sont de faux mĂ©chants, des anarchistes en carton et de vrais garants de la morale amĂ©ricaine, vouĂ©s Ă  se racheter une conduite aux yeux d'un public... qui voulait les voir bafouer les rĂšgles. Comme James Gunn l'a prouvĂ©, il est possible de traquer l'humanitĂ© de salauds sans pour autant les absoudre de leurs pĂ©chĂ©s. Ayer et/ou Warner n'Ă©taient pas au courant. Pas notre tasse de thĂ©, cette interprĂ©tation L'HUMOUR Avec Zack Snyder Ă  la tĂȘte des deux premiers films du DCEU Man of Steel et BvS, Warner mettait en place un univers super-hĂ©roĂŻque trĂšs sombre et grave. Une tonalitĂ© qui a largement Ă©tĂ© pointĂ©e du doigt par une bonne partie du public attendant sĂ»rement une ambiance plus proche du MCU et de sa cool-attitude. Ni une ni deux, le public c’est la thune et donc le moyen de prolonger l’univers. Alors que Suicide Squad Ă©tait parti pour ĂȘtre trĂšs sombre, le film est donc parti en reshoots ce qui n’a rien d’inhabituel Ă  Hollywood et n’est pas forcĂ©ment mauvais signe afin d’agrĂ©menter le film de rĂ©pliques plus mordantes et ironiques entre les personnages, car en rĂ©alitĂ© le film comporte peu de blagues » affirmait une source proche de la production en avril 2016. Concours de kĂ©kettes Un choix scĂ©naristique discutable, mais qui aurait pu coller Ă  la personnalitĂ© du groupe de vilains. Sauf que c’est bien l’un des autres problĂšmes du film rien ne colle et finalement l’humour est quasi-absent. À moins que les frasques du Joker et son rire dĂ©bilitant Jared Leto donne tout soient la charniĂšre du piquant annoncĂ©, on se demande ce qu’ont bien pu entrainer les reshoots si ce n’est un dĂ©sordre plus important que prĂ©vu. Peut-ĂȘtre que les grognements de Killer Croc sont censĂ©s ĂȘtre drĂŽles ? À moins que ce soit la nonchalance digne d’un collĂ©gien en pleine crise d’adolescence de Deadshot ? Ou peut-ĂȘtre le bagout de Captain Boomerang ? Difficile Ă  dire. Une chose est sĂ»re, les saillis supposĂ©ment comiques ne fonctionnent jamais avec le reste du film et au contraire, viennent un peu plus embarrasser l’ensemble. Certes, il reste Harley Quinn dont l’attitude acidulĂ©e vient donner un peu de mordant Ă  l’atmosphĂšre pluvieuse, mais Ă  quel prix ? Le personnage de Margot Robbie est Ă  la fois complĂštement tarĂ©, portĂ© sur la chose et se rĂȘve en mĂšre de famille, rĂ©vĂ©lant une caractĂ©risation sans queue ni tĂȘte, Ă  l’image du film schizophrĂšne, jouant toutes les cartes entre ses mains. Dommage qu’elles ne contiennent aucun atout. Killer Croc, le grogneur comique LA MENACE Probablement l’une des pires donnĂ©es de l’équation Suicide Squad. D’abord parce que bien malin qui pourra affirmer qui est le vĂ©ritable antagoniste du film en milieu de mĂ©trage Amanda Waller ? Le Joker ? L’Enchanteresse et son bro ? Les personnalitĂ©s de la Suicide Squad elles-mĂȘmes ? Warner ? En vĂ©ritĂ©, mĂȘme Ă  la fin de Suicide Squad, on ne sait pas vraiment qui l’était et on comprend que c’est un peu tout le monde et du coup, un peu personne aussi. Mais ce qui nous intĂ©resse ici c’est la menace que doivent annihiler l’escouade suicidaire Ă  savoir l’Enchanteresse et Incubus, soit le duo de mĂ©chants le moins intĂ©ressant de l’univers DC. C’est bien simple, le second n’a absolument aucun intĂ©rĂȘt. PropulsĂ© en quelques plans de statuette Ă  gros tas de CGI bien dĂ©gueus, il n’est jamais dĂ©veloppĂ© et son hyper-puissance sera annihilĂ©e par une petite explosion. Aussi fou que ça puisse paraĂźtre, il n’y a aucune matiĂšre pour parler de lui tant le film ne l’utilise jamais, Ă  part pour pĂ©ter quelques murs avec ses bras-tentacules et consoler sa sƓur quand elle se sent triste dans leur langue mythologique Ă©clatĂ©e au sol. Des effets spĂ©ciaux plus effrayants que le personnage Sa sƓur justement, la fameuse Enchanteresse a la chance d’ĂȘtre incarnĂ©e par Cara Delevingne. Chance car l’absence de charisme de l’actrice a permis Ă  l’Enchanteresse d’éviter les foudres de la critique, bien trop occupĂ©e Ă  dĂ©zinguer la jeune mannequin. Pourtant, la sorciĂšre mĂ©rite aussi d’ĂȘtre accablĂ©e tant elle ne fait rien Ă  part
 attendre l’escouade dans son QG. Ici ou lĂ , elle balance des incantations en levant les bras comme une illuminĂ©e sortant d’une rĂ©union de raĂ«lien, mais c’est Ă  peu prĂšs tout jusqu’au grand final oĂč elle perd en cinq minutes. Ah si, elle transforme aussi quelques soldats en sbires monstrueux pendant le film, histoire de donner un peu de fil Ă  retordre Ă  la Suicide Squad qui n’en fait qu’une bouchĂ©e, vu la dĂ©bilitĂ© des bĂȘtes en question. Bref, si le monde avait besoin d’une Ă©quipe de choc pour une telle menace, autant dire qu’il vaut mieux capituler pour l’avenir vu le niveau. Regard mĂ©chant activĂ© LE DĂ©COR MAL UTILISĂ© Sur le papier, c'Ă©tait amusant suivre la bande de bras cassĂ©s pendant une nuit de chaos dans une ville infestĂ©e de crĂ©atures contrĂŽlĂ©es par des vilains. En thĂ©orie, il y avait lĂ  une formule diffĂ©rente des autres films du genre, et une unitĂ© de temps et d'espace qui change des voyages et ellipses Ă  tout-va. Avec beaucoup vraiment beaucoup d'espoir, il y avait peut-ĂȘtre mĂȘme la possibilitĂ© d'y trouver un hommage Ă  New-York 1997 de John Carpenter, avec un groupe de bad boys et girls foulant le goudron d'un centre-ville transformĂ© en zone de guerre. Que nenni. AprĂšs environ 50 minutes de prĂ©sentation et mise en place, l'Ă©quipe arrive Ă  Midway City, et David Ayer n'en fait Ă  peu prĂšs rien. Suicide Squad se rĂ©sume vite Ă  quelques parkings et rues sombres, des vitrines bien Ă©clairĂ©es et quelques carcasses de voiture en feu. Difficile de sentir une vraie dĂ©ambulation ou Ă©volution dans l'espace urbain, qui est pourtant un espace de jeu entier, sans figurant ni rien pour gĂȘner. En extĂ©rieur, la mise en scĂšne se repose sur le repĂšre de la tour magique entourĂ©e d'Ă©clairs et autres babioles fantaisistes pour construire l'espace. Et surtout, David Ayer enferme vite ses anti-hĂ©ros dans des intĂ©rieurs passablement inintĂ©ressants Ă  l'image - un immeuble de bureaux, un bar, ou une station de mĂ©tro oĂč l'Enchanteresse a Ă©lu domicile pour lancer son club. Bilan Suicide Squad ressemble Ă  un Ă©niĂšme film urbain. "C'est vraiment un gros tas de merde" L'ACTION CHEAP C'Ă©tait prĂ©cisĂ©ment la raison de l'embauche de David Ayer. CinĂ©aste urbain remarquĂ© grĂące Ă  Bad Times puis End of Watch, il avait semblĂ© sur le point de transformer l'essai avec Fury. Autant de films bourrĂ©s d'action, Ă  la pyrotechnie complexe, qui laissaient espĂ©rer que le cinĂ©aste soit idĂ©alement placĂ© pour emballer ce simili-film de commando, oĂč nos anti-hĂ©ros devaient affronter des hordes d'adversaires dans un Midway City transformĂ© en zone de guerre. Malheureusement, la gestion des scĂšnes d'action est probablement le point le plus embarrassant de Suicide Squad. Qu'il s'agisse d'une mĂ©connaissance gĂ©nĂ©rale du matĂ©riau de base, d'une production oscillant entre exigences du PG-13 l'Ă©quivalent de notre interdiction aux moins de 12 ans, de remontages intempestifs ou d'une absence globale de vision, tout porte Ă  croire que les raisons du dĂ©sastre sont multiples, et minent absolument toutes les scĂšnes de baston. Si absolument toutes sont ratĂ©es, aucune ne symbolise mieux cette catastrophe que la premiĂšre Ă©chauffourĂ©e opposant les personnages aux vilains figurants recouverts de goudron. "Allez viens, on se casse !" On est premiĂšrement frappĂ© par la non-gestion du dĂ©cor. Totalement gĂ©nĂ©rique, impossible Ă  apprĂ©hender dans sa gĂ©ographie, il n'a rien de particuliĂšrement cinĂ©gĂ©nique ou marquant. La camĂ©ra en fait si peu de cas, qu'il est impossible de situer prĂ©cisĂ©ment en son sein les protagonistes... mais aussi leurs adversaires. Combien sont-ils ? Quel est leur degrĂ© de dangerositĂ© ? Autant d'enjeux primordiaux pour donner du poids aux affrontements, totalement dĂ©ficients ici. Et quand tout ce petit monde commence enfin Ă  se friter, le constat devient plus navrant encore. Non seulement les chorĂ©graphies sont d'une pauvretĂ© embarrassante, mais le montage se contente d'aligner les micro-saynĂštes oĂč gigote chaque membre de la Squad, sans qu'ils interagissent durablement les uns avec les autres. Captain Boomerang, qui use de ses armes distinctives Ă  la maniĂšre de couteaux, tĂ©moigne de combien personne ne s'est inquiĂ©tĂ© de ce qui Ă©tait filmĂ© ou de l'intĂ©gritĂ© des personnages. Cette sĂ©quence, qui devrait ĂȘtre un des moments de gloire de Deadshot est si pauvrement mise en scĂšne qu'on peine Ă  distinguer ce qui le rend franchement supĂ©rieur aux militaires qui l'accompagnent, alors qu'absolument tout le monde dĂ©gomme du figurant goudronnĂ©. Illisible, plate, pauvrement Ă©clairĂ©e, privĂ©e aussi bien de l'investissement de ses anti-hĂ©ros que de celui du spectateur, l'action de Suicide Squad est condamnĂ©e Ă  tourner au cataclysme. Lendemain de soirĂ©e difficile LA BANDE PAS TRÈS ORIGINALE Quelques mois plus tĂŽt, Les Gardiens de la Galaxie a montrĂ© combien l'identitĂ© d'un film choral pouvait bĂ©nĂ©ficier d'une bande-son aux petits oignons, celle du film de James Gunn participant carrĂ©ment Ă  la note d'intention de l'ensemble, voire Ă  sa direction artistique. Et si la volontĂ© de dupliquer l'aura de coolitude du blockbuster Marvel est devenue manifeste au fur et Ă  mesure de la promotion de Suicide Squad, passant progressivement de promesse Ă©nervĂ©e Ă  dĂ©lire pop "acidulĂ©", c'est peut-ĂȘtre l'usage de la musique qui en tĂ©moigne le mieux. Pour accompagner nos vilains prĂ©fĂ©rĂ©s, du monde se bouscule aux portillons, avec entre autres Skrillex, Imagine Dragons, Panic! at the disco, Twenty one pilots, Lil Wayne, Wiz Khalifa ou encore Eminem. De quoi enjailler toute soirĂ©e qui se respecte, et emmener les plus vaillants sur le dance floor... mais entre se dĂ©hancher dans un Ă©tat approximatif Ă  la faveur de litrons d'alcool et l'illustration pertinente d'une scĂšne de cinĂ©ma, il y a parfois un monde. Michael Jackson, Thriller, 1983 Dans le cas du film qui nous intĂ©resse, c'est carrĂ©ment une galaxie. Non seulement les morceaux choisis ne forment jamais un tout cohĂ©rent, ne pouvant dĂšs lors colorer le long-mĂ©trage ou permettre d'unifier ce cauchemardesque foutoir. Plus embarrassant encore ces accompagnements sonores sont systĂ©matiquement jetĂ©s au visage du spectateur Ă  la maniĂšre d'un juke-box alĂ©atoire, et brisent rĂ©guliĂšrement l'immersion, comme lors de la premiĂšre demi-heure, oĂč la musique surgit de maniĂšre chaotique, Ă  la faveur d'un mixage sommaire. Tubes mutilĂ©s, refrains tronçonnĂ©s, illustrations dĂ©sincarnĂ©es... au lieu de dĂ©multiplier notre amour pour le film, la musique enfonce le dernier clou de son cercueil. Tout savoir sur Suicide Squad Suicide Squad Will Smith espĂšre toujours la sortie du Ayer Cut Suicide Squad Jared Leto rĂ©clame encore le Ayer Cut pour montrer que son Joker Ă©tait cool Suicide Squad David Ayer partage une nouvelle image du Joker de Jared Leto et c'est affreux Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi
JohnCena as Peacemaker in ‘The Suicide Squad’. CREDIT: Marvel/Disney. Warner Bros. has officially released the post-credits scene for

Il a aussi dĂ©voilĂ© la durĂ©e du film Comme Ă  son habitude, James Gunn a rĂ©pondu Ă  plusieurs questions d'internautes sur Twitter, notamment au sujet de The Suicide Squad qui arrive trĂšs prochainement. Devenues un symbole des films super-hĂ©roĂŻques, les scĂšnes post-gĂ©nĂ©rique sont souvent attendues par les fans et oui, le prochain film du rĂ©alisateur en aura. I hope this isn’t the most important question, as I think the movie itself is what matters most, but yes. TheSuicideSquad — James Gunn JamesGunn June 16, 2021 S'agira-t-il de teasing pour un prochain projet ou un simple gag ? Aucune prĂ©cision mais avec une sĂ©rie Peacemaker prĂ©vue par le cinĂ©aste sur HBO Max, on peut trĂšs bien imaginer une scĂšne qui introduirait le futur show aux spectateurs. Dans un autre tweet, James Gunn a dĂ©clarĂ© que The Suicide Squad durera 2 heures et 12 minutes en prĂ©cisant par la suite qu'il "a Ă©crit, tournĂ©, montĂ© le meilleur film possible et que personne n'avait prĂ©vu qu'il soit si long". Pour dĂ©couvrir le rĂ©sultat en salles, il ne faudra plus attendre bien longtemps. La sortie du film est prĂ©vue pour le 28 juillet 2021.

TheSuicide Squad, ou L'Escadron Suicide : ScĂšnes post-gĂ©nĂ©rique. Sur la cĂŽte sud de l'Ăźle, Weasel se rĂ©vĂšle ĂȘtre en vie et, profitant que tout le monde l'ait oubliĂ©, s'enfuit dans la jungle. À l'hĂŽpital, John Economos et Emilia Harcourt dĂ©couvrent un type retrouvĂ© encore en vie dans les dĂ©bris malgrĂ© son Ă©tat critique. Il aurait agi hĂ©roĂŻquement : il s'agit de Peacemaker
The following story, obviously, contains spoilers for The Suicide Squad. Do not read any further if you do not want to be spoiled. The Suicide Squad, directed by James Gunn, is an R-rated blast of a movie, and, of course, has a post-credits scene to tease the future of the movie's post-credits scene makes a big reveal Peacemaker is alive, and two members of Amanda Waller's team need what that could mean for the future of the DC Extended a lot of fun to be had in The Suicide Squad, the new sequel/reboot of the Suicide Squad franchiseñ€”this time directed by Guardians of the Galaxy maestro James Gunn. While the movie features a number of stars giving excellent performances, including Margot Robbie once again as Harley Quinn, Idris Elba as Bloodsport, and Viola Davis as Amanda Waller, it's John Cena as the brutally violent, chrome-dome-helmeted, Peacemaker who probably gives the movie's most memorable. And after quite the twisty storyline in the movie, he figures prominently into the film's post-credits scene, teeing up something for the scene begins simply enough. Two of Waller's aides, John Economos Steve Agee and Emilia Harcourt Jennifer Holland are walking with a doctor down a hospital corridor. The doctor tells them that someone has survived, found in the rubble, and they really cannot believe he survived. Who could it be? The camera pans through the window and we get our answer Peacemaker, who had not much earlier been shot in the neck by Bloodsport, is still credit Warner and Harcourt continue their discussion. The doctor has apparently been fed some sort of misinformation claiming Peacemaker as a hero he, definitively, is notñ€”he murdered Rick Flag Joel Kinnaman in an attempt to cover up the involvement in Project Starfish. The two aides pick up on what's happened, though. Their boss is getting back at them. "Waller knows we double-crossed her, and she's getting back at us by saddling us with this douchebag," Economos the scene's not over yet. When the doctor asks what they want him for, Harcourt drops the hammer. "Just to save the fucking world, that's all," she says. From there, we cut to uh, what's that all about?This credits scene is great for two main reasons. First and foremost, it's setting up HBO Max's Peacemaker series, which will debut in January 2022. We have no idea yet how, exactly, the clearly very dangerous and clearly out of his mind Peacemaker will help Economos and Harcourt save the world. But it's happening! And he's going to recover and get back up to full credit Warner also exciting because we knew that the Peacemaker series was in production and happening. There was, of course, the possibility that the character would die in The Suicide Squad, and the series would take place entirely before the events of the movie as a prequel. That would be fine, but let's be realñ€”it's always more fun to see a plot progress forward rather than looking back with an outcome that we know from the when that 8-part Peacemaker series written entirely by The Suicide Squad director James Gunn rolls around in January 2022, we'll likely still get all of the origin story character-building that we want and need, but we get to see the future as well. How will this man react after being nearly killed by Bloodsport? Peacemaker was loyal to Amanda Waller, to the point of killing Rick Flag. But will he still be? That remains to be we can't wait to see how it all plays out in the series next credit Hearst OwnedYou Might Also LikeThis Workout Torches Fat in Under 10 MinutesHow to Cool Down After Your Hardest WorkoutsWhatñ€ℱs the Deal With Intermittent Fasting for Weight Loss?
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TheSuicide Squad offre non pas une, mais deux scÚnes post-générique. On vous dit ce qu'elles annoncent. Décrit comme un blockbuster aussi surprenant que

C'est une nouvelle tradition chez DC Comics comme Marvel, les films possĂšdent des scĂšnes bonus. Aquaman de James Wan, en salles depuis le 19 dĂ©cembre 2018, en possĂšde une seule. Attention, la suite contient des spoilers. Quelques jours aprĂšs la sortie d'Aquaman, il est temps de se pencher sur la scĂšne post-gĂ©nĂ©rique. Elle apparaĂźt rapidement aprĂšs le final de l'histoire, oĂč Arthur Curry Jason Momoa jaillit de l'ocĂ©an dans son armure d'Aquaman, armĂ© du Trident d'Atlan. Cette scĂšne post-gĂ©nĂ©rique est centrĂ©e sur Black Manta Yahya Abdul-Mateen II, qui dĂ©rive au beau milieu de la mer, sur une planche de bois. L'ennemi d'Aquaman a donc bel et bien survĂ©cu Ă  son combat contre le hĂ©ros en Sicile, oĂč son armure est Ă©crabouillĂ©e contre les rochers. Black Manta est alors secouru par un bateau. Un possible nouveau mĂ©chant pour "Aquaman 2" ?Alors que Black Manta est en train de reprendre ses esprits, l’Ɠil bandĂ©, un homme est en train d’examiner son armure que lui a offerte Orm Patrick Wilson. Sur les murs de la piĂšce, on remarque de nombreuses coupures de presse racontant l'attaque survenue en Sicile, mais aussi un portrait-robot d'Aquaman et des documents sur la citĂ© sous-marine. Cet homme est le docteur Stephen Shin Randall Park, qu'on a vu briĂšvement dans le film. Il est alors persuadĂ© de l'existence d'Atlantide et convaincu que les Atlantes ont renvoyĂ© Ă  la Surface tous les dĂ©chets dĂ©versĂ©s dans les ocĂ©ans. Black Manta lui promet de tout lui raconter sur Atlandide et la technologie, s'il aide Ă  capturer Aquaman, qu'il tient toujours pour responsable de la mort de son pĂšre. Si Aquaman 2 a lieu, les deux hommes feront alliance pour tuer Aquaman et envahir Atlandide. Qui est Stephen Shin dans les comics ? Le docteur Shin est obsĂ©dĂ© par Atlandide CrĂ©dit DC Comics Ami de longue date de Tom Curry, le docteur Shin aide le jeune Aquaman Ă  maĂźtriser ses pouvoirs. Plus tard, il essaye de tuer Aquaman qui refuse de lui donner la localisation d'Atlandide et devient ainsi son ennemi. Notre hĂ©ros lui demande quand mĂȘme de l'aide pour Ă©tudier l'une des crĂ©atures horrifiques du Royaume de Trench. Aquaman empĂȘche le Docteur de garder le corps de la crĂ©ature sous-marine, malgrĂ© ses nĂ©gociations. L’actualitĂ© par la rĂ©daction de RTL dans votre boĂźte mail. GrĂące Ă  votre compte RTL abonnez-vous Ă  la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualitĂ© au quotidien S’abonner Ă  la Newsletter RTL Info

Doncje l'ai regardĂ© en 3 fois, mais c'Ă©tait nullissimeSeul la scĂšne post gĂ©nĂ©rique m'a fait sourire.DC est vraiment loin derriĂšre Marvel !!! plus d’un an. 15 1 J'aime RĂ©pondre. Signaler . Afficher les rĂ©ponses Manito Je suis déçu, je m'attendais Ă  des news du jeu Suicide Squad 😁. plus d’un an. 2 1 J'aime RĂ©pondre. Signaler. Afficher les rĂ©ponses les autres Par Le 28 juillet 2021 Ă  14h53 Vous en avez l'habitude maintenant, on ne se lĂšve pas de son siĂšge Ă  la fin du film, chaque blockbuster tirĂ© de comic books ayant sa scĂšne post-gĂ©nĂ©rique. C'est bien le cas du film DC de James Gunn, qui propose encore mieux The Suicide Squad a deux scĂšnes post-gĂ©nĂ©rique ! Attention si vous n'avez pas encore vu The Suicide Squad, cet article contient de gros spoilers concernant le dĂ©roulement du film, les scĂšnes en question Ă©tant la suite de certaines sĂ©quences du blockbuster. La premiĂšre scĂšne mi-gĂ©nĂ©rique La premiĂšre scĂšne Ă  apparaĂźtre durant le gĂ©nĂ©rique est la plus anecdotique, contrairement Ă  la suivante. On y retrouve Weasel la belette mutante incarnĂ©e par Sean Gunn, le frĂšre de James, que l'on avait laissĂ© pour mort sur la rive lors du dĂ©but de la premiĂšre mission. Il a semble-t-il survĂ©cu, se lĂšve et part en ville. Il n'est donc pas la premiĂšre victime du scĂ©nario du film, mais bien un survivant. La seconde scĂšne post-gĂ©nĂ©rique Celle-ci par contre, nous dĂ©voile ce qui pourrait ĂȘtre le futur de la franchise. Car lĂ  encore, un personnage que l'on pensait mort Peacemaker. Le personnage incarnĂ© par John Cena a bel et bien survĂ©cu aux blessures infligĂ©es par Bloodsport Idris Elba, nous le retrouvons Ă  son rĂ©veil dans un hĂŽpital. Pour rappel, une sĂ©rie Peacemaker dĂ©barque sur HBO Max en janvier 2022. Si l'on pense en voyant le film que le show sera un prequel, vous devinez en voyant cette scĂšne post-gĂ©nĂ©rique qu'il pourrait Ă©galement s'agir d'une suite. DĂ©sormais, tout est possible, mĂȘme The Suicide Squad 2, finalement, bien que rien n'ait Ă©tĂ© annoncĂ© – et puis, encore faudrait-il suffisamment de survivants. The Suicide Squad, actuellement au cinĂ©ma. À lire aussi
Kryptoet les Super-Animaux ou Krypto Super-Chien au Québec, (DC League of Super-Pets) est un film d'animation américain réalisé par Jared Stern et Sam Levine, sorti en 2022.Le film réunit plusieurs vedettes pour la distribution vocale telles que Dwayne Johnson, Kevin Hart, Kate McKinnon, John Krasinski et Keanu Reeves.. Le film est un succÚs, reçoit des critiques

AlloCinĂ© Peacemaker sur HBO Max une premiĂšre image de la sĂ©rie DC Comics avec John Cena14 sept. 2021 Ă  1641 AprĂšs des Ă©tudes en Ă©cole de cinĂ©ma, il intĂšgre la rĂ©daction d’AlloCinĂ© en 2011. Il est actuellement spĂ©cialisĂ© dans les contenus streaming et l’actualitĂ© des plateformes SVOD. Le rĂ©alisateur James Gunn a partagĂ© sur les rĂ©seaux sociaux la toute premiĂšre image officielle de la sĂ©rie "Peacemaker", spin-off de son film "The Suicide Squad". Warner Bros. / DC Comics L’échec au box-office de son film The Suicide Squad n’a pas entamĂ© l’enthousiasme de James Gunn. Le rĂ©alisateur amĂ©ricain a en effet partagĂ© une premiĂšre image officielle de la sĂ©rie Peacemaker, spin-off de son long mĂ©trage DC Comics. First look at the less-than-happy Team Peacemaker in the new issue of EW. DCpeacemaker hbomax — James Gunn JamesGunn September 13, 2021 CentrĂ©e sur l’anti-hĂ©ros incarnĂ© par John Cena, la sĂ©rie sera Ă  la fois un prolongement du film mais Ă©galement l’occasion d’explorer en profondeur le personnage et son univers ; Ă©quipĂ© d’un casque Ă  l’allure de cuvette de toilettes, Peacemaker est un dĂ©cĂ©rĂ©brĂ© dĂ©terminĂ© Ă  apporter la paix, quitte Ă  devoir tuer tout le monde ! Sans trop en dire sur le sort rĂ©servĂ© au personnage dans The Suicide Squad, rappelons que Peacemaker apparaĂźt dans la scĂšne post-gĂ©nĂ©rique du long mĂ©trage ; il est donc possible que la sĂ©rie soit Ă  la fois un prequel du film, mais Ă©galement une suite. On ignore toutefois si l’échec commercial du film aura un impact ou non sur le renouvellement du show DC Comics, attendu pour le dĂ©but d’annĂ©e prochaine sur HBO Max aux Etats-Unis. La sĂ©rie Peacemaker ne dispose pour l’heure d’aucun diffuseur français. Partager cet article The Suicide Squad qu'annonce la scĂšne post-gĂ©nĂ©rique ? Peacemaker le super-hĂ©ros DC Comics "n’est pas un mec bien" selon James Gunn Back to Top

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