InsĂ©rezsimplement la carte Anti-RFID dans votre portefeuille, porte-cartes, sac Ă main ou I-Clip. Lorsquâun scanner essaie de lire vos donnĂ©es, la puce Ă©lectronique que contient la carte HIKERS crĂ©e un champ magnĂ©tique qui brouille la communication, protĂ©geant ainsi vos
Introduction Dans le Brevet n° 7 777 631 Puce de corps Selon wikipĂ©dia Les technologies de radio-identification pourraient sâavĂ©rer dangereuses pour lâindividu et la sociĂ©tĂ© ex santĂ© et protection de la vie privĂ©e avec Marquage dâobjets Marquage dâĂȘtres vivants Types dâapplications RFID non exhaustif Chiffrement des donnĂ©es AccĂšs physique au matĂ©riel Utilisation malveillante dâoutils créés pour assurer la sĂ©curitĂ© Dans le BREVET US 7645326 B2 / de James Neil Rodgers, en 2007 distribution RFID activĂ© par lâintroduction de particules hautement rĂ©flĂ©chissante dâoxyde dâaluminium Pour comprendre comment marche une machine ou un produit il faut toujours un mode dâemploi », cela vous permet de savoir son fonctionnement, mais aussi de savoir comment utilisĂ© ses diverses spĂ©cificitĂ©s. Mais qui demande lâexigence de cette demande ? Faute de ne pas savoir les causes, il faut expliquez les effets. La puce existe sous diffĂ©rentes formes. Sachez que les domaines dâapplications des RFID concernent tous les domaines de votre vie. Nul besoin de lâavoir dans le corps, tout est dĂ©jĂ rĂ©pertoriĂ© et Ă©tiqueter. Serait-il temps de passer Ă lâĂšre de lâĂ©tiquetage humain par RFID atmosphĂ©rique plutĂŽt que logĂ© dans le bras ? Vous ĂȘtes peut-ĂȘtre comme alice, perdue dans la matrice ? La RFID Ă©tant une technologie sans fil, ce type dâattaque est particuliĂšrement redoutable. Rien nâempĂȘche un espion dâintercepter le trafic entre lâĂ©tiquette RFID et le lecteur pour en extraire de lâinformation. source Verichip inc Il existe aussi la SMART DUST en rĂ©fĂ©rence â PoussiĂšre intelligente Le BREVET US 7645326 B2 / de James Neil Rodgers, en 2007 Le Brevet n° 7 777 631 Puce de corps Lisez le peu de rĂ©fĂ©rence sur wikipĂ©dia, et rĂ©fĂ©rĂ© vous aux publications que je dĂ©die sur mon site, dont les brevets que je cite pour comprendre lâemploi. Selon wikipĂ©dia La radio-identification, le plus souvent dĂ©signĂ©e par le sigle RFID de lâanglais radio frequency identification, Est une mĂ©thode pour mĂ©moriser et rĂ©cupĂ©rer des donnĂ©es Ă distance en utilisant des marqueurs appelĂ©s radio-Ă©tiquettes » RFID tag » ou RFID transponder » en anglais.Les radio-Ă©tiquettes sont de petits objets, tels que des Ă©tiquettes autoadhĂ©sives, qui peuvent ĂȘtre collĂ©s ou incorporĂ©s dans des objets ou produits et mĂȘme implantĂ©s dans des organismes vivants animaux, corps humain. Les radio-Ă©tiquettes comprennent une antenne associĂ©e Ă une puce Ă©lectronique qui leur permet de recevoir et de rĂ©pondre aux requĂȘtes radio Ă©mises depuis lâĂ©metteur-rĂ©cepteur. Ces puces Ă©lectroniques contiennent un identifiant et Ă©ventuellement des donnĂ©es complĂ©mentaires. Explication du processus Cette technologie dâidentification peut ĂȘtre utilisĂ©e pour identifier les objets, comme avec un code-barres on parle alors dâĂ©tiquette Ă©lectronique ; les personnes, en Ă©tant intĂ©grĂ©e dans les passeports, carte de transport, carte de paiement on parle alors de carte sans contact ; les carnivores domestiques chats, chiens et furets dont lâidentification RFID est obligatoire dans de nombreux pays, en Ă©tant implantĂ©e sous la peau. Câest Ă©galement le cas de maniĂšre non obligatoire pour dâautres animaux de compagnie ou dâĂ©levage on parle alors de puce sous-cutanĂ©e. Principe Un systĂšme de radio-identification se compose de marqueurs, nommĂ©s radio-Ă©tiquettes ou transpondeurs de lâanglais transponder en, contraction des mots transmitter et responder et dâun ou plusieurs lecteurs. Un marqueur est composĂ© dâune puce et dâune antenne. Lecteurs Ce sont des dispositifs actifs, Ă©metteurs de radiofrĂ©quences qui vont activer les marqueurs qui passent devant eux en leur fournissant Ă courte distance lâĂ©nergie dont ceux-ci ont besoin. La frĂ©quence utilisĂ©e est variable, selon le type dâapplication visĂ© et les performances recherchĂ©es 125 kHz ; 134,2 kHz pour la charge du transpondeur ; 134,2 kHz pour un bit 0 et 123,2 kHz pour un bit 1 pour la rĂ©ponse du transpondeur dans le cas dâune transmission FSK Texas Instruments Series 2000 ; 13,56 MHz ISO 14443A 1-4, ISO 14443B 1-4, ISO 15693-3 et ISO 18000-3 ; 915 MHz aux Ătats-Unis, de 865 MHz Ă 868 MHz dans lâUnion europĂ©enne pour lâUHF EPCglobal et ISO 18000-6c ; les frĂ©quences et les puissances dâĂ©mission dĂ©pendent des lĂ©gislations en vigueur ; 2,45 GHz ou 5,8 GHz micro-ondes. Une frĂ©quence plus Ă©levĂ©e prĂ©sente lâavantage de permettre un Ă©change dâinformations entre lecteur et marqueur Ă des dĂ©bits plus importants quâen basse frĂ©quence. Les dĂ©bits importants permettent lâimplĂ©mentation de nouvelles fonctionnalitĂ©s au sein des marqueurs cryptographie, mĂ©moire plus importante, anti-collision. Par contre une frĂ©quence plus basse bĂ©nĂ©ficiera dâune meilleure pĂ©nĂ©tration dans la matiĂšre. Lâanti-collision est la possibilitĂ© pour un lecteur de dialoguer avec un marqueur lorsque plus dâun marqueur se trouvent dans son champ de dĂ©tection. Plusieurs algorithmes dâanti-collision sont dĂ©crits par les normes ISO 14443, ISO 15693 et ISO 18000. Radio-Ă©tiquettes Ce sont des dispositifs passifs, ne nĂ©cessitant aucune source dâĂ©nergie en dehors de celle fournie par les lecteurs au moment de leur interrogation. Auparavant, la lecture des puces passives Ă©tait limitĂ©e Ă une distance dâenviron 10 mĂštres, mais maintenant, grĂące Ă la technologie utilisĂ©e dans les systĂšmes de communications avec lâespace lointain, cette distance peut sâĂ©tendre jusquâĂ 200 mĂštres. Outre de lâĂ©nergie pour lâĂ©tiquette, le lecteur envoie un signal dâinterrogation particulier auquel rĂ©pond lâĂ©tiquette. Lâune des rĂ©ponses les plus simples possibles est le renvoi dâune identification numĂ©rique, par exemple celle du standard EPC-96 qui utilise 96 bits. Une table ou une base de donnĂ©es peut alors ĂȘtre consultĂ©e pour assurer un contrĂŽle dâaccĂšs, un comptage ou un suivi donnĂ© sur une ligne de montage, ainsi que toute statistique souhaitable. Le marqueur est extrĂȘmement discret par sa finesse parfois celle dâune feuille de rhodoĂŻd, sa taille rĂ©duite quelques millimĂštres, et sa masse nĂ©gligeable. Son coĂ»t Ă©tant devenu minime, on peut envisager de le rendre jetable, bien que la rĂ©utilisation soit plus Ă©cologiquement correcte ». Le marqueur se compose dâune antenne ; dâune puce de silicium ; dâun substrat et/ou dâune encapsulation. Notons aussi lâexistence des marqueurs actifs » et semi-actifs » aussi appelĂ©s BAP, enBattery-Assisted Passive tags, frmarqueurs passifs assistĂ©s par batterie qui incluent une batterie. Les Ă©tiquettes actives sont Ă©quipĂ©es dâune batterie leur permettant dâĂ©mettre un signal. De ce fait, ils peuvent ĂȘtre lus depuis de longues distances, contrairement aux marqueurs passifs. Cependant, une Ă©mission active dâinformations signale Ă tous la prĂ©sence des marqueurs et pose des questions quant Ă la sĂ©curitĂ© des marchandises. Les Ă©tiquettes semi-actives nâutilisent pas leur batterie pour Ă©mettre des signaux. Elles agissent comme des Ă©tiquettes passives au niveau communication. Mais leur batterie leur permet, par exemple, dâenregistrer des donnĂ©es lors du transport. Ces Ă©tiquettes sont utilisĂ©es dans les envois de produits sous tempĂ©rature dirigĂ©e et enregistrent la tempĂ©rature de la marchandise Ă intervalle rĂ©gulier. Contraintes Ăthique, vie privĂ©e Dans le monde, dans les annĂ©es 2000, dans tous les pays industrialisĂ©s, les puces RFID se banalisent trĂšs vite, et en 2010, lâimplantation de micropuces chez lâhomme se pratique dĂ©jĂ ex puce VeriChipâą ou code barre humain », avec le risque corrĂ©latif de formes de contrĂŽle de lâindividu et de la sociĂ©tĂ© », avant mĂȘme que la lĂ©gislation nâait eu le temps de sâappuyer sur une rĂ©flexion Ă©thique approfondie, notamment concernant les dispositif actifs ou passifs et de plus en plus miniaturisĂ©s en 2006, Hitachi proposait dĂ©jĂ une puce carrĂ©e de x mm ; Plus petite que le diamĂštre dâun cheveu.Implantables ou implantĂ©s dans le corps humain , dans ou sur les vĂȘtements wearable computing ou cyber-vĂȘtement, les objets communicants une sociĂ©tĂ© allemande, Ident Technology , a mis au point des dispositifs faisant de la peau humaine ou animale vivante ou dâautres parties du corps un transmetteur de donnĂ©es numĂ©riques, ces puces sont autant dâinnovations qui sont aussi sources de questions Ă©thiques et de risques de dĂ©rives nouveaux. En Europe, aprĂšs un rapport de 2005 sur les nouveaux implants dans le corps humain, , et aprĂšs une table ronde organisĂ©e par le GEE fin 2004 Ă Amsterdam, la Commission europĂ©enne a demandĂ© un avis au Groupe interservice sur lâĂ©thique », dont le secrĂ©tariat est assurĂ© par le BEPA Bureau des Conseillers de Politique europĂ©enne. Il travaille en lien avec le Groupe europĂ©en dâĂ©thique des sciences et des nouvelles technologies » lequel â Ă la demande du GEE â a produit, le 16 mars 2005, un avis intitulĂ© Aspects Ă©thiques des implants TIC dans le corps humain ». Les droits fondamentaux concernĂ©s sont la DignitĂ© humaine, le Droit Ă lâintĂ©gritĂ© de la personne, la Protection des donnĂ©es Ă caractĂšre personnel voir la Charte des droits fondamentaux de lâUnion europĂ©enne. La question touche aussi la santĂ© publique, la protection de la vie privĂ©e dans le secteur des communications Ă©lectroniques, la lĂ©gislation sur les dispositifs mĂ©dicaux implantables actifs, le consentement et le droit Ă lâinformation, la protection du gĂ©nome humain, la protection des personnes Ă lâĂ©gard du traitement automatisĂ© des donnĂ©es Ă caractĂšre personnel, les possibles utilisations abusives . En France, oĂč existe conformĂ©ment Ă la lĂ©gislation europĂ©enne un droit Ă lâintĂ©gritĂ© physique, la CNIL sâest inquiĂ©tĂ©e â dans son rapport annuel du 16 mai 2008 â des risques de traçabilitĂ© des individus qui nâont pas accĂšs Ă leurs donnĂ©es. Obstacles Environnement mĂ©tallique La lecture de radio-Ă©tiquettes posĂ©es sur des objets situĂ©s dans un conteneur mĂ©tallique est plus difficile. La distance de communication possible est diminuĂ©e, par effet de cage de Faraday, qui rĂ©alise un blindage Ă©lectromagnĂ©tique. Collisions Lorsque plusieurs marqueurs se trouvent dans le champ dâun mĂȘme lecteur, les communications sont brouillĂ©es par lâactivitĂ© simultanĂ©e des marqueurs. La dĂ©tection de la collision est en fait une dĂ©tection dâerreur de transmission, Ă lâaide dâun bit de paritĂ©, dâune somme de contrĂŽle ou dâune fonction de hachage. DĂšs quâune erreur est dĂ©tectĂ©e, lâalgorithme dâanticollision est appliquĂ©. Plusieurs mĂ©thodes dâanticollision ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es. Voici les quatre principales La mĂ©thode frĂ©quentielle Chaque marqueur communique sur une plage de frĂ©quences diffĂ©rente avec le lecteur. En pratique, câest inutilisable Ă grande Ă©chelle. La mĂ©thode spatiale Avec une antenne directionnelle et Ă puissance variable, le lecteur va couvrir petit Ă petit chaque partie de lâespace pour communiquer avec chaque marqueur et lâinhiber, en attendant de le rĂ©activer pour ensuite communiquer avec. En pratique, la prĂ©sence de deux marqueurs Ă faible distance lâun de lâautre rend cette mĂ©thode inefficace. La mĂ©thode temporelle Le lecteur propose aux marqueurs une sĂ©rie de canaux de temps dans lesquels ils peuvent rĂ©pondre. Les marqueurs choisissent de façon alĂ©atoire le canal de temps dans lequel ils vont rĂ©pondre. Si un marqueur est le seul Ă rĂ©pondre dans ce canal de temps, il est dĂ©tectĂ© et inhibĂ© par le lecteur. Sâil y a plusieurs marqueurs qui rĂ©pondent en mĂȘme temps, il sera nĂ©cessaire dâeffectuer Ă nouveau cette mĂ©thode. Petit Ă petit, tous les marqueurs sont connus et inhibĂ©s ; il suffit alors au lecteur de rĂ©activer le marqueur avec lequel il souhaite communiquer. En pratique, le cĂŽtĂ© alĂ©atoire fait que la durĂ©e de cette mĂ©thode est inconnue. La mĂ©thode systĂ©matique Il existe de nombreux brevets dĂ©crivant des mĂ©thodes systĂ©matiques. Cette mĂ©thode consiste Ă dĂ©tecter puis inhiber tour Ă tour tous les marqueurs en parcourant lâarbre de toutes les possibilitĂ©s dâidentifiants par exemple, le lecteur envoie une requĂȘte du type Tous les marqueurs dont le premier bit dâidentification est 1 doivent se manifester. » Si un seul marqueur se manifeste, le lecteur lâinhibe, et sâintĂ©resse ensuite aux marqueurs avec pour premier bit 0, et ainsi de suite. En pratique, cette mĂ©thode peut parfois sâavĂ©rer longue. Marquage dâobjets SystĂšme implantĂ© dâidentification et mĂ©morisation de maniĂšre courante, des puces basse frĂ©quence 125 Ă 135 kHz sont utilisĂ©es pour la traçabilitĂ© dâobjets ex fĂ»ts de biĂšre. La traçabilitĂ© dâobjets tels que des livres dans les librairies et les bibliothĂšques ou la localisation des bagages dans les aĂ©roports utilise plutĂŽt la classe haute frĂ©quence 13,56 MHz. ContrĂŽle dâaccĂšs il se fait par badge de proximitĂ© » ou mains-libres ». Certaines clĂ©s Ă©lectroniques » dâaccĂšs sont des marqueurs permettant la protection sans serrures » de bĂątiments ou portiĂšres automobiles. Les badges mains-libres, permettent une utilisation jusquâĂ 150 cm selon le type dâantenne utilisĂ©e. Ils peuvent contenir une IdentitĂ© numĂ©rique ou un certificat Ă©lectronique ou y rĂ©agir et permettent lâaccĂšs Ă un objet communicant ou son activation. UtilisĂ© par exemple pour le contrĂŽle dâaccĂšs Ă des systĂšmes de transports en commun exemple Passe Navigo Le contrĂŽle dâaccĂšs Ă des bĂątiments sensibles est un domaine oĂč le systĂšme de radio-identification remplace les badges magnĂ©tiques, permettant lâauthentification des personnes sans contact. La radio-frĂ©quence de la plupart des badges dâaccĂšs ne permet quâune utilisation Ă quelques centimĂštres, mais ils ont lâavantage de permettre une lecture-Ă©criture dans la puce, pour mĂ©moriser des informations biomĂ©triques, par exemple. TraçabilitĂ© distante dâobjets fixes ou mobiles Par exemple, des palettes et conteneurs peuvent ĂȘtre suivis dans des entrepĂŽts ou sur les docks via des marqueurs UHF ultra haute frĂ©quence. Ă cette frĂ©quence, la lecture nâest thĂ©oriquement pas possible Ă travers lâeau et donc le corps humain. Cependant lors des RFID Journal Awards 2008, lâentreprise Omni-ID a prĂ©sentĂ© une Ă©tiquette RFID lisible Ă travers lâeau et Ă proximitĂ© de mĂ©tal, avec un taux de fiabilitĂ© de 99,9 %. Des marqueurs micro-ondes 2,45 GHz permettent le contrĂŽle dâaccĂšs Ă longue distance de vĂ©hicules, comme par exemple sur de grandes zones industrielles. Ces marqueurs sont gĂ©nĂ©ralement actifs. TraçabilitĂ© dâaliments Dans la chaĂźne du froid, des aliments peuvent thĂ©oriquement ĂȘtre suivis par une puce enregistrant les variations de tempĂ©rature. Transactions financiĂšres Moyen de paiement Ă Hong Kong et aux Pays-Bas des marqueurs en forme de carte de crĂ©dit sont rĂ©pandus comme moyen de paiement Ă©lectronique Ă©quivalent de Moneo en France. Elles sont Ă©galement utilisĂ©es Ă Bruxelles Belgique comme titre de transport sur le rĂ©seau de STIB voir MoBIB et dĂ©sormais en France, Ă travers les services de paiement sans contact de Cityzi, expĂ©rimentĂ©s Ă Nice depuis 201022. Marquage dâĂȘtres vivants Identification de plantes arbres de la ville de Paris, dâanimaux dâĂ©levage vaches, cochons ou dâanimaux de compagnie comme les chats et les chiens grace Ă une puce installĂ©e sous la peau dans le cou, dâanimaux sauvages cigognes, manchots ce sont gĂ©nĂ©ralement des puces basse frĂ©quence 125 Ă 135 kHz. RelevĂ©s scientifiques des marqueurs sont aussi des moyens de communication pour la collecte des donnĂ©es issues des relevĂ©s scientifiques monitoring produits dans un organisme ou par des stations de mesure isolĂ©es et autonomes stations mĂ©tĂ©orologiques, volcaniques ou polaires. Chez lâHomme des radio-marqueurs sous-cutanĂ©es, originellement conçus pour la traçabilitĂ© des animaux, peuvent sans aucune contrainte technique ĂȘtre utilisĂ©s sur des humains. La sociĂ©tĂ© Applied Digital Solutions propose ainsi ses radio-marqueurs sous-cutanĂ©s nom commercial VeriChip destinĂ©s Ă des humains, comme une solution pour identifier les fraudes, assurer lâaccĂšs protĂ©gĂ© Ă des sites confidentiels, le stockage des donnĂ©es mĂ©dicales et aussi comme un moyen de rĂ©soudre rapidement des enlĂšvements de personnalitĂ©s importantes. CombinĂ©s Ă des capteurs sensibles aux fonctions principales du corps humain, ces systĂšmes sont aussi proposĂ©s comme solution intĂ©grĂ©e de supervision de lâĂ©tat de santĂ© dâun patient. Une boĂźte de nuit de Barcelone Baja Beach Club utilise des puces sous-cutanĂ©es Ă radiofrĂ©quence pour offrir Ă ses clients VIP une fonction de porte-monnaie Ă©lectronique implantĂ© dans leur corps mĂȘme. La ville de Mexico a implantĂ© cent soixante-dix radio-marqueurs sous la peau de ses officiers de police pour contrĂŽler lâaccĂšs aux bases de donnĂ©es et aussi pour mieux les localiser en cas dâenlĂšvement MarchĂ© des RFID En 2005, IBM dĂ©nombrait 4 millions de transactions RFID chaque jour. En 2010, ce constructeur Ă©value Ă environ 30 milliards le nombre dâĂ©tiquettes RFID produites dans le monde et 1 milliard de transistors par ĂȘtre humain. Applications existantes AccĂšs aux transports publics Marseille carte transpass, Grenoble, Paris Passe Navigo, Rennes carte KorriGo, Reims Carte Grand R et tickets unitaires, Nancy, TER Lorraine, Troyes BussĂ©o, Bruxelles MoBIB, MontrĂ©al, Luxembourg, Strasbourg Carte BadgĂ©o, Le Mans Carte MoovĂ©a, Lyon Carte TĂ©cĂ©lyâŠ, Venise carte TĂ©lĂ©pĂ©ages dâautoroutes. ContrĂŽle des forfaits de remontĂ©e mĂ©canique dans les stations de sport dâhiver. Suivis industriels en chaĂźne de montage. Inventaires Une analyse acadĂ©mique effectuĂ©e chez Wal-Mart a dĂ©montrĂ© que la radio-identification peut rĂ©duire les ruptures dâinventaire de 30 % pour les produits ayant un taux de rotation entre 0,1 et 15 unitĂ©s/jour. Saisie automatique dâune liste de produits achetĂ©s ou sortis du stock. Lâoffice de tourisme des Hautes Terres de Provence Alpes-de-Haute-Provence a créé des promenades oĂč les familles vont de lieux en lieux, en glanant des indices que leur dĂ©voilent de faux rochers, dans lesquels sont dissimulĂ©s des haut-parleurs, qui se mettent en marche lorsquâune puce collĂ©e sur un livret magique » en est approchĂ©e. Dans des universitĂ©s comme Cornell, des cartes Ă radio-identification permettent aux Ă©tudiants de lâuniversitĂ© dâaccĂ©der sans formalitĂ© Ă la bibliothĂšque vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept. Les livres sont munis eux aussi de radio-Ă©tiquettes, ce qui Ă©limine toute perte de temps administrative lors des emprunts. Plusieurs bibliothĂšques sont Ă©galement Ă©quipĂ©es aux Pays-Bas, oĂč, depuis le 1er janvier 2004, chaque ouvrage achetĂ© comporte une radio-Ă©tiquette Ă base dâune puce SLI de Philips. En France, plusieurs bibliothĂšques ont elles aussi franchi le pas et sâĂ©quipent de matĂ©riels de radio-identification par exemple la BibliothĂšque de Rennes MĂ©tropole au Champs Libres. Le mouvement est en rĂ©elle accĂ©lĂ©ration, en raison du grand intĂ©rĂȘt fonctionnel que prĂ©sente cette technologie pour les bibliothĂšques et du prix des Ă©tiquettes, en baisse perpĂ©tuelle. Antivols utilisĂ©s dans les magasins. La gestion des parcs de VĂ©libâ Ă Paris et de Veloâv Ă Lyon, ainsi que de nombreuses autres solutions de VĂ©lopartage et dâautopartage utilisent des puces de radio-identification. De nombreuses Ă©preuves populaires de course Ă pied comme le marathon de Paris ou le semi-marathon Marseille-Cassis ou de cyclisme Tour de France ou de roller utilisent des puces de radio-identification fixĂ©es sur une chaussure, le cadre, ou le dossard de chaque participant, permettant ainsi le chronomĂ©trage individuel lors du passage des lignes de dĂ©part et dâarrivĂ©e. Identification de livres pour enfants par le Nabaztagtag pour tĂ©lĂ©chargement des livres audio correspondants. Identification de containers de substances chimiques, de mĂ©dicaments. Identification de mobilier urbain, jeux publics, dâarbres dâornement pour maintenance et suivi. Ăchange de cartes de visites lors dâĂ©vĂšnements Implants corporels. Suivi dâun cheptel nourriture, lactation, poids. Applications potentielles Les Ă©tiquettes intelligentes » sont souvent envisagĂ©es comme un moyen de remplacer et dâamĂ©liorer les codes-barres de la norme UPC/EAN. Les radio-identifiants sont en effet assez longs et dĂ©nombrables pour envisager de donner Ă chaque objet un numĂ©ro unique, alors que les codes UPC utilisĂ©s actuellement ne permettent que de donner un numĂ©ro pour une classe de produits. Cette propriĂ©tĂ© de la radio-identification permet de tracer le dĂ©placement des objets dâun endroit Ă un autre, depuis la chaĂźne de production jusquâau consommateur final. Câest cette propriĂ©tĂ© qui fait que la technologie est considĂ©rĂ©e par de nombreux industriels de la chaĂźne logistique comme la solution technologique ultime Ă tous les problĂšmes de traçabilitĂ©, notion essentielle depuis les crises sanitaires liĂ©es aux filiĂšres alimentaires. Cependant les solutions de radio-identification, bien quâopĂ©rationnelles, souffrent dâun manque de normalisation. La jungle des solutions proposĂ©es par les diffĂ©rents fabricants rend la traçabilitĂ© universelle difficile Ă rĂ©aliser. EPCglobal est une organisation qui travaille dans ce sens sur une proposition de standard international afin de normaliser les usages techniques de radio-identification. Le but est de pouvoir disposer dâun systĂšme de distribution homogĂšne des identifiants afin de disposer dâun EPC electronic product code ou code produit Ă©lectronique pour chaque objet prĂ©sent dans la chaĂźne logistique de chaque entreprise du monde. Les propriĂ©tĂ©s des radio-Ă©tiquettes permettraient Ă©galement dâenvisager des applications Ă destination du consommateur final, comme un rĂ©frigĂ©rateur capable de reconnaĂźtre automatiquement les produits quâil contient, mais aussi capable de contrĂŽler les dates limites dâutilisation optimale DLUO des produits alimentaires pĂ©rissables ; lâidentification des animaux grĂące Ă lâimplantation dâune puce dĂ©jĂ obligatoire en Belgique et en Suisse pour les chiens et les chats ; obligatoire en France pour tous les Ă©quidĂ©s depuis le 1er janvier 2008. le marquage des vĂȘtements ; lâidentification des adresses postales UAID, des cartes dâidentitĂ© INES. lâenlĂšvement des nouveau-nĂ©s. En France, la clinique de Montfermeil utilise des bracelets Ă©quipĂ©s de puce RFID. la lutte contre la contrefaçon avec des puces plus difficiles Ă imiter que les code-barres classiques; le stade dâavancement dâun produit dans sa chaĂźne de fabrication automobile lâidentification des produits pour un passage plus rapide en caisse lâidentification dâutilisateurs de diffĂ©rents biens ou services, comme par exemple le rechargement de vĂ©hicules Ă©lectriques. Les technologies de radio-identification pourraient sâavĂ©rer dangereuses pour lâindividu et la sociĂ©tĂ© ex santĂ© et protection de la vie privĂ©e avec PossibilitĂ© dâatteinte Ă la vie privĂ©e dans le cas de marqueurs furtifs » ou accessibles Ă des systĂšmes susceptibles de diffuser des informations sur la vie privĂ©e. Utilisation dâinformations contenues par les marqueurs de passeports pour agresser sĂ©lectivement et par simple proximitĂ© physique les ressortissants de certaines nationalitĂ©s Marquage » abusif et facilitĂ© de personnes ayant achetĂ© ou empruntĂ© certains types de films, livres politique, religion, etc. comme indĂ©sirables » dans les fichiers dâemployeurs potentiels ou dâun Ătat rĂ©pressif possible Ă lâheure actuelle sans cette technologie. ProblĂšmes potentiels de souverainetĂ© numĂ©rique/Ă©conomique » liĂ©s Ă lâinfrastructure du rĂ©seau EPCGlobal, notamment sâagissant de lâadministration, par contrat, de sa racine par un acteur privĂ© amĂ©ricain La puce sous-cutanĂ©es pose des questions Ă©thiques et de droit Ă lâintĂ©gritĂ© physique. La limitation au volontariat et consentement Ă©clairĂ© nâassure pas de garantie de respect de la vie privĂ©e Cf. charte des droits de lâhomme, et en Europe, la Charte des droits fondamentaux de lâUnion europĂ©enne ; dans certains contexte des personnes refusant ces Ă©tiquettes sous-cutanĂ©es risquent dâĂȘtre victime de discriminations. Identification de personnes par une signature de lâensemble des Ă©tiquettes dâidentification par radiofrĂ©quences cartes bancaires, tĂ©lĂ©phone mobile, pass de transports en commun⊠habituellement portĂ©es cf. brevet IBM Identification and Tracking of Persons Using RFID Tagged Objects par ex. Au-delĂ dâun certain seuil de concentration, lâĂ©mission de signaux radio-frĂ©quences pourrait sâavĂ©rer dangereuse pour la santĂ© effets suspectĂ©s dâun smog Ă©lectromagnĂ©tique croissantâŠ, aprĂšs la constatation de cancers dans le cas dâexpĂ©riences sur la souris ou dâinterfĂ©rences pouvant perturber le fonctionnement des appareils bio-mĂ©dicaux. Dans un rapport publiĂ© le 26 janvier 2009, lâAFSSET recommande de poursuivre la veille scientifique sur la recherche dâeffets biologiques des rayonnements liĂ©s au RFID. La lĂ©gislation française prĂ©voit une certaine protection de la vie privĂ©e en interdisant Le contrĂŽle clandestin toute identification doit faire lâobjet dâune indication visible ;lâusage des mĂȘmes appareils pour le contrĂŽle dâaccĂšs et le contrĂŽle de prĂ©sence. Selon lâassociation allemande FoeBuD, la lĂ©gislation nâest pas assez restrictive pour la technologie de radio-identification et la protection des informations personnelles. Certaines associations proposent des outils pour se protĂ©ger dâune utilisation non autorisĂ©e de la radio-identification, tel que RFID Guardian. Dâautres associations proposent le boycott de cette technologie quâelles estiment liberticide. Selon elles, le fichage dâinformations non contrĂŽlables dans une carte dâidentitĂ© Ă©lectronique serait prĂ©judiciable Ă la libertĂ© des individus SolĂ©noĂŻde Et la puce RFID Un solĂ©noĂŻde gr. solen tuyau, conduit » + gr. eidos en forme de » est un dispositif constituĂ© dâun fil Ă©lectrique enroulĂ© rĂ©guliĂšrement en hĂ©lice de façon Ă former une bobine longue. Parcouru par un courant, il produit un champ magnĂ©tique dans son voisinage, et plus particuliĂšrement Ă lâintĂ©rieur de lâhĂ©lice oĂč ce champ est quasiment uniforme. Lâavantage du solĂ©noĂŻde rĂ©side dans cette uniformitĂ© qui est parfois requise dans certaines expĂ©riences de physique. Mais il prĂ©sente aussi des inconvĂ©nients il est plus encombrant que les bobines dâHelmholtz et ne peut pas produire un champ magnĂ©tique Ă©levĂ© sans matĂ©riel coĂ»teux et systĂšme de refroidissement. Câest au cours de lâannĂ©e 1820 quâAndrĂ©-Marie AmpĂšre imagina le nom de solĂ©noĂŻde, lors dâune expĂ©rience sur les courants circulaires. SolĂ©noĂŻde traversĂ© par un courant. Les courbes bleues reprĂ©sentent les lignes du champ on considĂšre un triple-solĂ©noĂŻde infiniment long de rayon trĂšs petit, le champ magnĂ©tique dans tout lâespace, sauf lâintĂ©rieur du solĂ©noĂŻde qui constitue une singularitĂ© appelĂ©e corde de Dirac, est celui dâun monopĂŽle objet Ă©trange est irrĂ©alisable en thĂ©orie, mais il a un certain intĂ©rĂȘt en Ă©lectrodynamique quantique. RFID â SĂ©curitĂ© de lâinformation au sein des RFID ! SĂ©curitĂ© de lâinformation au sein des RFIDs La sĂ©curitĂ© de lâinformation au sein des RFIDs est dĂ©finie par lâensemble des moyens techniques, organisationnels, juridiques et humains nĂ©cessaires Ă la sĂ©curitĂ© des systĂšmes dâinformation qui exploitent des technologies de radio-identification tels que les Ă©tiquettes Ă©lectroniques parfois appelĂ©es TAG, les passeports Ă©lectroniques et plus gĂ©nĂ©ralement les cartes Ă puce sans contact. La technologie RFID Radio-Frequency IDentification sâest fortement dĂ©veloppĂ©e depuis sa crĂ©ation dans les annĂ©es 50. Elle est trĂšs utilisĂ©e dans lâindustrie, la grande distribution et trouve son utilitĂ© dans des domaines allant du marquage dâanimaux au paiement automatique en passant par la lutte contre la contrefaçon. Lâutilisation massive des RFIDs est nĂ©anmoins lâobjet de nombreuses critiques relatives tant au respect de la vie privĂ©e quâĂ la sĂ©curitĂ© des donnĂ©es qui y sont stockĂ©es. La nature mĂȘme de cette technologie, basĂ©e sur la communication sans fils, est source de nombreuses failles de sĂ©curitĂ© que ce soit au niveau matĂ©riel, logiciel ou rĂ©seau. Les acteurs industriels et le milieu acadĂ©mique sâattachent Ă proposer des solutions qui pourraient pallier ces faiblesses, mais chaque contre mesure publiĂ©e sâaccompagne de nouvelles attaques la mettant en dĂ©faut. Article principal Radio-identification Les premiĂšres technologies utilisant les ondes radios ont Ă©tĂ© inventĂ©es dans les annĂ©es 1900. Elles ont Ă©tĂ© utilisĂ©es uniquement pour le transport de messages jusquâen 1935. Lâinvention du radar a ouvert la voie Ă un nouveau champ dâapplication la localisation des objets physiques. Lâune de ses premiĂšres utilisation fut lors de la Seconde Guerre mondiale pour dĂ©tecter la prĂ©sence des avions approchants. Cependant le radar ne permettait pas dâidentifier de quel cĂŽtĂ© ami ou ennemi Ă©tait lâappareil dĂ©tectĂ©. Les Allemands ont par la suite dĂ©couvert quâun avion effectuant un tonneau rĂ©flĂ©chit diffĂ©remment le signal radar; cette manĆuvre, si elle est effectuĂ©e simultanĂ©ment par tous les avions amis, permet Ă lâopĂ©rateur de dĂ©tecter la prĂ©sence dâavions ennemis. Il sâagit de la premiĂšre utilisation passive de la radio identification. Les Allemands et les Britanniques ont par la suite Ă©quipĂ©s leurs avions dâun dispositif de type IFF. Ce systĂšme permet de discerner si les avions approchant sont amis ou potentiellement suspects grĂące lâutilisation de signaux radar codĂ©s. Ces derniers dĂ©clenchent les transpondeurs embarquĂ©s dans les avions amis. Ce dispositif, dĂ©jouĂ© par les Britanniques, devint historiquement le premier systĂšme de radio-identification Ă ĂȘtre attaquĂ©. Technologie actuelle Un systĂšme RFID est composĂ© dâune ou plusieurs Ă©tiquettes ou tags, de lecteurs et dâun systĂšme informatique permettant lâexploitation des donnĂ©es. Il existe diffĂ©rent types dâĂ©tiquettes passives, semi-passives ou actives. Une Ă©tiquette passive ne nĂ©cessite aucune source dâĂ©nergie en dehors de celle fournie par le lecteur au moment de son interrogation. Ce type dâĂ©tiquettes est le moins cher Ă produire mais nâest pas auto-alimentĂ©e avec une batterie interne et nâest interrogeable quâĂ courte distance. Les Ă©tiquettes semi-passives sont dotĂ©es dâune batterie Ă faible capacitĂ© alimentant uniquement la partie Ă©lectronique de la puce mais ne sert pas Ă lâĂ©mission du signal. LâĂ©tiquette reste dans un Ă©tat de veille tant quâelle ne reçoit pas un signal spĂ©cifique et peut ĂȘtre lue depuis une distance bien plus Ă©levĂ©e quâune Ă©tiquette passive broadcast Ă une frĂ©quence supĂ©rieure comprise entre 850-950 MHz. Une Ă©tiquette active Ă©met constamment des ondes radio signalant sa prĂ©sence. Domaines dâapplications et enjeux Les Ă©tiquettes disposent de propriĂ©tĂ©s avantageuses leur coĂ»t environ 13 centimes de dollar pour les Ă©tiquettes EPC , leur taille comparable Ă celle dâun grain de sable pour les plus petits modĂšles et leur faible consommation dâĂ©nergie. Pour ces raisons, la technologie dâidentification par frĂ©quence radio est utilisĂ©e dans de nombreux domaines dont voici une liste non exhaustive La traçabilitĂ© gestion des chaĂźnes dâapprovisionnement, marquage dâanimaux; Lâauthentification et lâautomatisation de processus paiement, verrouillage et dĂ©verrouillage de portes; La lutte contre la contrefaçon vĂȘtements, mĂ©dicaments. Une potentielle future utilisation est lâinclusion de puces RFID dans tous les billets euro excĂ©dant la valeur de 20âŹ. Cette initiative de la Banque centrale europĂ©enne viserait Ă prĂ©venir la contrefaçon et le blanchiment dâargent. Types dâapplications RFID non exhaustif Objectif dâidentification Type dâapplications Cas dâutilisation DĂ©terminer la prĂ©sence dâun objet La gestion de biens Marquer des produits dans un magasin, pour dĂ©courager les vols La localisation dâun objet La traçabilitĂ© DĂ©terminer la position dâun cycliste pendant une course de vĂ©lo DĂ©terminer la source dâun objet La vĂ©rification de lâauthentification RĂ©duire la contrefaçon de mĂ©dicaments dans lâindustrie pharmaceutique Assurer que des objets associĂ©s ne soient pas sĂ©parĂ©s La correspondance dâun couple de donnĂ©es Utiliser dans les maternitĂ© pour identifier nouveau nĂ© et sa mĂšre CorrĂ©lation dâinformation avec un objet pour la prise de dĂ©cision Le contrĂŽle de processus ContrĂŽler la tempĂ©rature dâune chambre froide Authentifier une personne Le contrĂŽle dâaccĂšs Ouvrir une voiture ou lâaccĂšs Ă un lieu protĂ©gĂ© Conduire une transaction financiĂšre Le paiement automatique Payer un repas dans un restaurant ProblĂ©matiques de sĂ©curitĂ© La RFID est sujette aux menaces Ă lâencontre des trois grands domaines de la sĂ©curitĂ© la confidentialitĂ©, lâintĂ©gritĂ©, et la disponibilitĂ©. Ces menaces peuvent ĂȘtre le fruit dâattaques plus ou moins sophistiquĂ©es, et utilisĂ©es Ă la fois contre plusieurs couches du systĂšme. VĂ©rifier lâintĂ©gritĂ© des donnĂ©es consiste Ă dĂ©terminer si les donnĂ©es contenues dans lâĂ©tiquette nâont pas Ă©tĂ© altĂ©rĂ©es durant la communication, de maniĂšre fortuite ou intentionnelle, mais aussi Ă sâassurer que lâobjet ou lâindividu identifiĂ© est bien celui quâil prĂ©tend ĂȘtre. La confidentialitĂ© consiste Ă rendre lâinformation inintelligible Ă dâautres personnes que les seuls acteurs de la transaction. La disponibilitĂ© garantit lâaccĂšs Ă un service ou Ă des ressources. Ci-aprĂšs sont expliquĂ©es quelques menaces contre les dispositifs RFID. Attaques contre les dispositifs utilisant la technologie RFID Attaques IntĂ©gritĂ© ConfidentialitĂ© DisponibilitĂ© AccĂšs physique au matĂ©riel oui oui oui Attaque par relai oui oui non Utilisation malveillante de la commande KILL non non oui Clonage & Spoofing oui oui non Attaque de lâhomme du milieu oui oui non Imitation du lecteur RFID non oui non AltĂ©ration des donnĂ©es oui non non Utilisation de protocoles de sĂ©curitĂ© non non oui Menaces sur les middlewares RFID non non oui Pistage tracking non oui non Attaques cryptographiques non oui non AccĂšs physique au matĂ©riel Les systĂšmes RFID fonctionnent seulement quand les Ă©tiquettes RFID et les bases de donnĂ©es internes sont disponibles. Une opĂ©ration sur une Ă©tiquette peut ĂȘtre interrompue en bloquant intentionnellement son accĂšs et ainsi priver le lecteur des donnĂ©es prĂ©sentes sur lâĂ©tiquette. Il existe plusieurs techniques plus ou moins Ă©laborĂ©es qui permettent de provoquer ce cas de figure. Retirer ou cacher une Ă©tiquette RFID dâun objet empĂȘche toute dĂ©tection de ce dernier. Cette attaque peut ĂȘtre utilisĂ©e pour dĂ©rober des articles dans un supermarchĂ©. Elle est assez facile Ă mettre en pratique car il suffit dâenrober un objet et donc lâĂ©tiquette RFID qui lui est apposĂ©e dâune feuille dâaluminium pour bloquer les Ă©missions radios des lecteurs. Une autre façon dâutiliser ce principe est de retirer les Ă©tiquettes de deux objets aux caractĂ©ristiques bien diffĂ©rentes et de les intervertir. MĂȘme si le lecteur associĂ© aux Ă©tiquettes pourra les lire, les informations rĂ©sultant de la lecture seront alors complĂštement faussĂ©es. DĂ©truire les Ă©tiquettes est un moyen plus radical mais tout aussi efficace. Plusieurs mĂ©thodes sont possibles selon les caractĂ©ristiques des Ă©tiquettes. Dans le cas oĂč elles ont une faible protection physique, une forte pression, des expositions chimiques ou encore le dĂ©coupage de lâantenne suffit Ă les dĂ©truire. Dans dâautres cas elles restent sensibles aux phĂ©nomĂšnes Ă©lectrostatiques. Cette faiblesse est exploitĂ©e par le RFID zapper pour la protection de la confidentialitĂ©. Ce dispositif gĂ©nĂšre un choc Ă©lectromagnĂ©tique Ă lâaide dâune bobine, causant la destruction des Ă©tiquettes se trouvant dans son rayon dâaction. La destruction est Ă©galement possible si lâĂ©tiquette implĂ©mente la commande KILL comme câest le cas pour les Ă©tiquettes EPC. Lorsque lâauthentification avec le lecteur est Ă©tablie et que lâĂ©tiquette reçoit cette commande un bit dĂ©diĂ© est activĂ© et lâĂ©tiquette ne rĂ©pond plus aux requĂȘtes. Cette commande a Ă©tĂ© implĂ©mentĂ©e afin de limiter le nombre dâinterrogations de lâĂ©tiquette, par exemple aprĂšs le passage dâun article en caisse dans un magasin, dans lâoptique dâĂ©viter les menaces de traçabilitĂ©. Lâutilisation abusive de cette commande en fait une menace contre la disponibilitĂ© du systĂšme RFID. Les attaques contre les lecteurs RFID sont Ă©galement Ă prendre en compte. AjoutĂ© Ă la destruction des lecteurs, qui rend indisponible le processus dâidentification de toutes les Ă©tiquettes, le vol des lecteurs RFID est aussi un sujet sensible. Un lecteur est rĂ©glĂ© sur la frĂ©quence dâĂ©mission des Ă©tiquettes afin de pouvoir interagir avec ces derniĂšres. Un individu mal intentionnĂ© ayant accĂšs Ă un lecteur peut obtenir frauduleusement des informations critiques qui seraient stockĂ©es sur ces Ă©tiquettes. Clonage & spoofing Lâusurpation spoofing est une variante de clonage. Contrairement au clonage, lâusurpation ne reproduit pas physiquement une Ă©tiquette RFID. Pour rĂ©aliser ce type dâattaque lâusurpateur emploie des dispositifs capables dâĂ©muler des Ă©tiquettes RFID en envoyant au lecteur des donnĂ©es imitant celles contenues dans les Ă©tiquettes originales. Il peut alors faire passer son Ă©tiquette RFID comme valable auprĂšs du lecteur et obtenir les privilĂšges associĂ©s Ă lâĂ©tiquette usurpĂ©e. Cette imitation nĂ©cessite un accĂšs complet au mĂȘme canal de communication que lâĂ©tiquette dâorigine. Pour cela, il est nĂ©cessaire dâavoir des connaissances sur les protocoles et secrets utilisĂ©s dans lâauthentification entre le lecteur et lâĂ©tiquette visĂ©s. Imitation du lecteur RFID En considĂ©rant que dans de nombreux cas les communications RFID nâont pas besoin dâauthentification, les adversaires peuvent facilement contrefaire lâidentitĂ© dâun lecteur lĂ©gitime afin dâobtenir ou modifier des donnĂ©es prĂ©sentes sur les Ă©tiquettes RFID. La faisabilitĂ© de ces attaques repose sur les mesures de sĂ©curitĂ© employĂ©es pour lâauthentification du lecteur RFID. Il est alors plus ou moins facile, voire impossible, dâeffectuer ces attaques. Par exemple, dĂ©rober un lecteur RFID qui stocke des informations dâidentification, peut permettre dâobtenir ces informations nĂ©cessaires pour avoir lâaccĂšs aux Ă©tiquettes RFID et aux donnĂ©es quâelles contiennent. Dans des mĂ©canismes plus Ă©voluĂ©s le lecteur RFID a besoin dâaccĂ©der au backend pour rĂ©cupĂ©rer les informations dâidentification nĂ©cessaires auprĂšs de lâĂ©tiquette que lâon souhaite consulter; il est alors plus difficile de rĂ©cupĂ©rer les donnĂ©es contenues dans lâĂ©tiquette. Couche transport Les attaques applicables Ă cette couche exploitent la maniĂšre dont les donnĂ©es sont transfĂ©rĂ©es entre les lecteurs et les Ă©tiquettes. Attaque par relais Illustration basique dâune attaque Ghost and leech Les attaques par relais sont inĂ©luctables, peu importe le niveau de protection offert par le protocole de cryptographie employĂ©. Ces attaques peuvent contourner tous les protocoles cryptographiques, mĂȘme ceux Ă clĂ© publique. Beaucoup de mĂ©thodes de sĂ©curitĂ© dans des applications RFID se basent sur la proximitĂ© entre le lecteur et lâĂ©tiquette RFID pendant la phase dâidentification. Une attaque par relais invalide les hypothĂšses de proximitĂ© dans les systĂšmes RFID. Ces attaques impliquent lâutilisation de deux matĂ©riels, communĂ©ment appelĂ©s la sangsue leech et le fantĂŽme ghost. Durant lâattaque il est nĂ©cessaire de placer la sangsue Ă cĂŽtĂ© de lâĂ©tiquette visĂ©e et le fantĂŽme proche du lecteur. Les communications Ă©tablies entre ces deux matĂ©riels simulent la proximitĂ© entre le lecteur et lâĂ©tiquette alors quâen rĂ©alitĂ© une distance plus importante les sĂ©pare. Des expĂ©riences ont Ă©tĂ© menĂ©es Ă lâaide de la technologie NFC pour Ă©tablir un modĂšle simple de communication entre le fantĂŽme et la sangsue. En utilisant cette technologie, lâĂ©tude montre que la sangsue peut ĂȘtre placĂ©e jusquâĂ 50 centimĂštres dâune Ă©tiquette RFID, tandis que le fantĂŽme peut ĂȘtre installĂ© Ă plus de 50 mĂštres du lecteur. La distance entre la sangsue et le fantĂŽme peut ĂȘtre, en principe, pratiquement illimitĂ©e de lâordre de plusieurs kilomĂštres. Analyse de trafic La RFID Ă©tant une technologie sans fil, ce type dâattaque est particuliĂšrement redoutable. Rien nâempĂȘche un espion dâintercepter le trafic entre lâĂ©tiquette RFID et le lecteur pour en extraire de lâinformation. MĂȘme dans le cas oĂč la communication est chiffrĂ©e, lâĂ©coute du trafic reste utile. En effet bien que lâon soit incapable de restituer le message dans son intĂ©gralitĂ© il est possible de dĂ©duire au moins une partie de lâinformation en se rĂ©fĂ©rant Ă des patterns de communication. En outre mĂȘme la dĂ©tection de la prĂ©sence ou de lâabsence de communication peut ĂȘtre rĂ©vĂ©lateur. Ainsi, en temps de guerre, un silence radio peut trĂšs bien signifier une attaque imminente. Le mĂȘme type dâinduction peut ĂȘtre appliquĂ© aux communications RFID. Attaque de lâhomme du milieu Dans une attaque de lâhomme du milieu, un dispositif malveillant capable de modifier un signal radio est furtivement placĂ© entre une Ă©tiquette RFID et un lecteur associĂ©. Lors dâune connexion, les informations envoyĂ©es par lâĂ©tiquette sont relayĂ©es par le dispositif malveillant vers le lecteur. LâĂ©tiquette et le lecteur ont lâimpression de communiquer directement et ne sâaperçoivent pas de lâattaque. Une des grandes inquiĂ©tudes engendrĂ©e par ce type dâattaque est quâelles puissent rĂ©ussir Ă grande distance. Par exemple, une attaque peut ĂȘtre utilisĂ©e pour facturer le paiement Ă la victime qui possĂšde la carte RFID. DĂšs lors que la carte est active et peut communiquer Ă distance, le scĂ©nario suivant est susceptible de se produire Le lecteur lĂ©gitime envoie un message captĂ© par le matĂ©riel de lâattaquant. Lâattaquant retransmet le signal Ă la carte Ă puce de la victime. La puce de la victime rĂ©pond normalement Ă un message valable. Il nâa aucun moyen de savoir que celui-ci a Ă©tĂ© relayĂ©. Lâattaquant retransmet le message au lecteur lĂ©gitime, qui lui non plus ne peut savoir que le message a Ă©tĂ© relayĂ©. Le mĂȘme scĂ©nario est reproduit jusquâĂ ce que la transaction soit validĂ©e. Se dĂ©fendre contre cette attaque est difficile. En effet un protocole de dĂ©fi-rĂ©ponse ou dâĂ©change de clĂ©s cryptĂ©es ne rĂ©soudrait en rien le problĂšme puisque le matĂ©riel de lâattaquant ne rempli que le rĂŽle dâun amplificateur de signal. AltĂ©ration des donnĂ©es Bloquer lâĂ©mission radio dâune puce RFID est un moyen efficace de dĂ©rober un article sans dĂ©clencher le systĂšme dâalarme qui protĂšge les objets Ă©tiquetĂ©s. Cependant, pour quelquâun qui cherche Ă dĂ©rober une quantitĂ© importante dâobjets, un moyen plus efficace est de changer les donnĂ©es figurant sur les Ă©tiquettes attachĂ©es aux objets. Selon lâutilisation de lâĂ©tiquette des informations comme le prix, les numĂ©ros ou dâautres donnĂ©es peuvent ĂȘtre changĂ©es. Par exemple, en changeant le prix dâun article et en le passant par une caisse libre service, une personne malintentionnĂ©e peut obtenir un rabais spectaculaire sans Ă©veiller le moindre soupçon. Seul un inventaire physique pourra alors rĂ©vĂ©ler une anomalie par rapport Ă la transaction enregistrĂ©e par le systĂšme. Utilisation malveillante dâoutils créés pour assurer la sĂ©curitĂ© Le fait de bloquer dĂ©libĂ©rĂ©ment un accĂšs Ă lâĂ©tiquette et de provoquer un dĂ©ni de service peut ĂȘtre causĂ© par une utilisation malveillante du blocker tag en ou du RFID Guardian. Ces deux mĂ©canismes Ă©taient proposĂ©s afin de protĂ©ger les communications RFID contre les attaques liĂ©es Ă la confidentialitĂ©. NĂ©anmoins, ils peuvent aussi ĂȘtre employĂ©s par des adversaires pour exĂ©cuter dĂ©libĂ©rĂ©ment une attaque par dĂ©ni de service. Une seconde technique dâattaque par dĂ©ni de service est lâutilisation non permissive de la commande LOCK. Cette derniĂšre fut incluse dans plusieurs standards RFID dans le but dâempĂȘcher les Ă©critures en mĂ©moire des Ă©tiquettes RFID en bloquant la lecture et/ou lâĂ©criture de sa mĂ©moire. Selon lâutilisation standardisĂ©e, la commande LOCK entre en application avec un mot de passe prĂ©dĂ©fini et peut avoir des effets temporaires voir permanents. Menaces sur les middlewares RFID Ătant donnĂ© que les middleware RFID incluent des matĂ©riels rĂ©seaux, un adversaire peut profiter de ressources limitĂ©es du systĂšme et causer un dĂ©ni de service au niveau du middleware RFID en envoyant un nombre importants de paquets au middleware pour que le rĂ©seau soit inondĂ©. La surcharge de requĂȘtes empĂȘche alors le traitement du trafic lĂ©gitime. Par ailleurs, les Ă©tiquettes RFID contenant des donnĂ©es Ă©crites dans un langage de script peuvent ĂȘtre vecteur dâattaques Ă base dâinjection de code. Il est ainsi possible dâexploiter la partie interne des bases de donnĂ©es du middleware en injectant du code SQL. La faible capacitĂ© du systĂšme de stockage des donnĂ©es des RFID nâest pas un problĂšme pour ce type dâattaque car il est possible de causer des dommages considĂ©rables avec quelques lignes SQL. Par exemple, lâinjection de la commande ;shutdown- va Ă©teindre lâinstance courante du serveur SQL en utilisant uniquement la saisie de 12 caractĂšres. Des vers peuvent Ă©galement exploiter la connexion rĂ©seau des middlewares via des vulnĂ©rabilitĂ©s de services comme lâONS en, le service de nommage global des Ă©tiquettes EPC. Une fois le middleware infectĂ© le ver peut ensuite se propager sur les Ă©tiquette RFID et Ă©ventuellement Ă©craser les donnĂ©es quâelles contiennent. Compte tenu de la nature de lâutilisation des Ă©tiquettes RFID, qui communiquent avec plusieurs lecteurs, un code malveillant est capable de se reproduire mĂȘme sans connexion rĂ©seau sous-jacente. Imaginons par exemple un systĂšme oĂč les puces RFID sont reconfigurables; en exploitant une faille permettant une injection SQL dans le middleware il est alors possible dâinfecter le backend avec une Ă©tiquette contenant un virus pouvant ressembler Ă ceci requete=uneRequeteQuelconque; UPDATE InformationSuivante SET InformationCourante=InformationCourante â;â CHR10 SELECT SQL_TEXT FROM v$sql WHERE INSTRSQL_TEXT,â`â>0; Autres menaces Pistage tracking La fuite dâinformation et la traçabilitĂ© dâune personne ou dâun objet portant un tag sont deux grandes menaces pour la confidentialitĂ© liĂ©es Ă la technologie RFID. En effet une Ă©tiquette peut contenir des donnĂ©es sensibles Ă propos de la personne qui la porte. Bien quâutilisĂ© dans beaucoup de domaines Ă des fins logistiques, comme la gestion des chaĂźnes dâapprovisionnement, le traçage reprĂ©sente une menace contre la confidentialitĂ© des donnĂ©es privĂ©es. Ă partir du moment oĂč un objet ou une personne possĂšde une Ă©tiquette RFID, il peut ĂȘtre suivi par nâimporte quel lecteur capable de lire son Ă©tiquette. Ainsi dans les domaines utilisant la RFID Ă des fins lĂ©gales, son usage peut ĂȘtre dĂ©tournĂ©e pour rĂ©aliser des traçages malveillants des Ă©tiquettes et de leurs porteurs. Par exemple Un entrepĂŽt peut utiliser la RFID pour savoir quels objets sont prĂ©sents dans lâinventaire courant, mais un individu peut utiliser le mĂȘme systĂšme pour suivre un objet de lâentrepĂŽt aprĂšs sa sortie. Cet individu peut ensuite suivre, Ă lâaide dâune application de traçage non autorisĂ©e, les objets de valeurs. Un voyageur allant Ă lâĂ©tranger pourrait ĂȘtre identifiĂ© par la prĂ©sence de son passeport et Ă©ventuellement ciblĂ©, par exemple pour un enlĂšvement. Les informations non chiffrĂ©es rĂ©vĂšlent Ă©galement plus dâinformations que ce que la plupart des voyageurs ne souhaitent en partager. Localiser les citoyens dâune certaine nationalitĂ© est une autre possibilitĂ©. Par exemple, une bombe pourrait ĂȘtre dĂ©clenchĂ©e par un lecteur RFID et programmĂ©e pour exploser seulement lorsquâun certain nombre de passeports dâindividus dâune mĂȘme nationalitĂ© sont Ă portĂ©e du lecteur. Canaux de communications Lâattaque dite du canal auxiliaire consiste Ă mesurer les courants et tensions entrants et sortants dâun circuit, en fonction des requĂȘtes qui lui sont envoyĂ©es. Par lâanalyse poussĂ©e de la consommation Ă©lectrique dâun lecteur dâĂ©tiquettes RFID, il est ainsi possible de dĂ©terminer la nature de la communication entre le lecteur et lâĂ©tiquette, voir mĂȘme dans le cas dâune communication chiffrĂ©e de dĂ©terminer la clĂ© de chiffrement . Une autre attaque sur les canaux de communication, dite du canal cachĂ© exploite les cas oĂč lâĂ©criture sur la mĂ©moire de lâĂ©tiquette RFID est possible. Un attaquant peut utiliser la mĂ©moire libre de lâĂ©tiquette RFID pour y stocker des donnĂ©es non dĂ©sirĂ©es. Attaques cryptographiques Lorsque des informations critiques sont stockĂ©es sur les Ă©tiquettes RFID, des techniques de chiffrement sont employĂ©es afin de prĂ©server lâintĂ©gritĂ© et la confidentialitĂ© des donnĂ©es protĂ©gĂ©es. Toutefois, les attaquants dĂ©terminĂ©s peuvent employer des attaques cryptographiques afin casser les algorithmes de chiffrements utilisĂ©s dans les communications entre les Ă©tiquettes RFID et les lecteurs ; aux Pays-Bas, une sociĂ©tĂ© a montrĂ© que la clĂ© utilisĂ©e dans un passeport nĂ©erlandais pouvait ĂȘtre facilement cassĂ©e Ă lâaide dâun PC standard au moyen dâune attaque par brute force et en un temps de deux heures ; des chercheurs de lâUniversitĂ© Raboud de NimĂšgue ont mis en Ćuvre une attaque contre lâalgorithme Crypto-1 en de la carte MIFARE basĂ© sur une exploitation de lâalgorithme exclusif. Le mĂȘme type de carte est utilisĂ©e dans le protocole de transport public nĂ©erlandais. Contre-mesures Couche matĂ©rielle Plusieurs solutions peut ĂȘtre dĂ©ployĂ©e pour pallier les dĂ©fauts intrinsĂšques Ă la technologie RFID. La commande KILL permet Ă lâĂ©tiquette de se dĂ©sactiver elle-mĂȘme de façon permanente et ce afin, par exemple, dâĂ©viter la traçabilitĂ© des clients dans les commerces. Les Ă©tiquettes visĂ©es sont de type EPC que lâon trouve principalement dans les hypermarchĂ©s. Un lecteur doit envoyer un code de 32 bits PIN, spĂ©cifique Ă lâĂ©tiquette, en vue de la dĂ©sactiver. DĂ©sactiver de façon permanente une Ă©tiquette nâest pas un acte anodin, dans la mesure oĂč elle peut ĂȘtre utilisĂ©e par plusieurs appareils au cours de sa vie. Par exemple, si une Ă©tiquette associĂ©e Ă une bouteille de lait est dĂ©sactivĂ©e lors de lâachat de cette derniĂšre, un rĂ©frigĂ©rateur intelligent ne pourra plus lire lâĂ©tiquette pour signaler Ă lâutilisateur que la bouteille de lait en question est vide. Par ailleurs, il est possible de protĂ©ger les dĂ©tenteurs dâĂ©tiquette RFID du pistage en changeant rĂ©guliĂšrement lâidentifiant de leur puce. Une implĂ©mentation basique serait de dĂ©finir un ensemble dâidentifiant pour lâĂ©tiquette et dâen changer Ă intervalle rĂ©gulier. Un lecteur pourrait en outre changer lâidentifiant de lâĂ©tiquette de façon alĂ©atoire Ă chaque interaction avec une Ă©tiquette . Une approche pour combattre le clonage est lâutilisation de fonctions physiques non-dupliquables PUF . Les PUF reprĂ©sentent la mise en oeuvre physique dâune fonction Ă sens unique et sont utilisĂ©es pour lâauthentification par dĂ©fi-rĂ©ponse. Ses propriĂ©tĂ©s principales sont faciles Ă gĂ©nĂ©rer, mais difficiles Ă caractĂ©riser. Lors de la fabrication du PUF, diffĂ©rent composants sont inclus de maniĂšre alĂ©atoire dans sa structure physique, ainsi la rĂ©ponse produite par le PUF sera imprĂ©dictible. Par ailleurs il est impossible de produire deux fois le mĂȘme PUF. Le contrĂŽle de lâaccĂšs physique aux Ă©tiquettes et lecteurs RFID permet de sâassurer quâils ne seront pas endommagĂ©s ou mis hors-service. Si lâĂ©tiquette est sous-surveillance il est plus difficile pour un attaquant dây accĂ©der physiquement, lâattaque sera donc probablement rĂ©alisĂ©e Ă distance. Il est alors possible afin de rĂ©duire les risques dâattaque de limiter la distance Ă laquelle lâĂ©tiquette peut rĂ©pondre aux requĂȘtes du lecteur. Couche transport Pour Ă©viter la collecte clandestine dâinformations, il est envisageable dâagir directement au niveau transport, en bloquant ou en rĂ©gulant finement les communications de la puce RFID. Par exemple selon le principe de la Cage de Faraday, il est possible dâentraver le fonctionnement dâun systĂšme RFID en enveloppant lâĂ©tiquette RFID dans un conteneur revĂȘtu de mĂ©tal. Lâutilisateur de puces RFID peut en utilisant cette technique se prĂ©munir des requĂȘtes indiscrĂšte sur celles ci. Cela fonctionne si bien que la ville de New York propose une enveloppe mĂ©tallique pour chaque Ă©tiquette RFID quâelle distribue. Une approche similaire consiste en lâutilisation dâune Ă©tiquette spĂ©cialement configurĂ©e pour brouiller les connexions radio un lecteur indĂ©sirable ne pourra pas communiquer avec lâĂ©tiquette tandis que les lecteurs lĂ©gitimes resteront aptes Ă effectuer lire lâĂ©tiquette Voici un exemple dâutilisation afin dâĂ©viter le traçage dâun individu aprĂšs un achat dans un hypermarchĂ©. Une Ă©tiquette est créée pour ĂȘtre associĂ©e avec un produit. Un bit de confidentialitĂ© est initialisĂ© Ă 0, ce qui signifie que lâĂ©tiquette nâest pas en zone de confidentialitĂ©. Un utilisateur achĂšte le produit en question, lâĂ©tiquette est lue en caisse et la valeur du bit de confidentialitĂ© est changĂ© Ă 1. Le tag est en zone de confidentialitĂ©. Une fois en zone de confidentialitĂ© lâĂ©tiquette profite de la protection dâun blocker tag. Par exemple un sac plastique permettant de transporter les achats cache un blocker tag. Cela permet dâĂ©viter les lectures intrusives quand le client quitte le supermarchĂ©. Quand le client arrive chez lui, il enlĂšve le produit du sac plastique et le place dans le rĂ©frigĂ©rateur. Ainsi un rĂ©frigĂ©rateur intelligent peut lire lâĂ©tiquette du produit pour contrĂŽler sa date de pĂ©remption, par exemple. Avec cette mĂ©thode, un consommateur choisit librement dâavoir une protection par le blocker tag. De plus, mĂȘme aprĂšs lâutilisation du blocker tag, lâĂ©tiquette reste toujours fonctionnelle. Couche applicative Analyse des transactions Le clonage peut ĂȘtre dĂ©tectĂ© par une simple corrĂ©lation sur les informations prĂ©sentes dans la base de donnĂ©es backend. Par exemple lors dâune tentative dâaccĂšs Ă un systĂšme ou bĂątiment protĂ©gĂ©, un employĂ© portant une carte de passage RFID ne peut pas avoir lâaccĂšs si, conformĂ©ment aux informations contenues dans la base de donnĂ©es, il est dĂ©jĂ Ă lâintĂ©rieur du bĂątiment. De mĂȘme que quelquâun ne peut pas passer le contrĂŽle des passeports au Japon et 10 min plus tard en GrĂšce. Une approche intĂ©ressante basĂ©e sur les donnĂ©es du journal dâaudit dans la base de donnĂ©es backend pour la dĂ©tection de clonage et le vol dâĂ©tiquettes RFID a Ă©tĂ© proposĂ©e. Ce systĂšme de dĂ©tection dâintrusion pour les systĂšmes RFID, appelĂ© Deckard, est basĂ© sur un classifieur statistique et se concentre sur la dĂ©tection des attaques de clonage. Bien que lâapproche proposĂ©e suggĂšre que la dĂ©tection dâintrusion puisse ĂȘtre dĂ©ployĂ©e dans les rĂ©seaux RFID, lâĂ©valuation du systĂšme proposĂ© indique que des recherches supplĂ©mentaires sont nĂ©cessaires afin de dĂ©ployer des systĂšmes de dĂ©tection dâintrusion robustes et efficaces. Le taux de dĂ©tection varie de 46,3 % Ă 76,26 %, tandis que le taux de faux positifs varie de 2,52 % Ă 8,4 %. Chiffrement des donnĂ©es La cryptographie pourrait sembler la solution idĂ©ale pour sĂ©curiser les communications entre le lecteur et les Ă©tiquettes. Mais se pose alors la question de la gestion des clĂ©s. Comment les clĂ©s nĂ©cessaires Ă la multitude de produits Ă©quipĂ©s dâĂ©tiquettes RFID pourraient ĂȘtre Ă©changĂ©es de maniĂšre sĂ©curisĂ©es entre les magasins et leurs clients? De plus la cryptographie ne rĂ©sout pas le problĂšme du tracking un identifiant mĂȘme si il est chiffrĂ© nâest rien dâautre quâun mĂ©ta-identifiantâ unique qui peut trĂšs bien ĂȘtre utilisĂ© pour pister le possesseur de lâĂ©tiquette. Il est toujours possible dâembarquer les opĂ©rations cryptographiques au sein mĂȘme de lâĂ©tiquette mais son coĂ»t augmente alors de maniĂšre inacceptable pour un usage industriel. Par consĂ©quent, le chiffrement ne peut ĂȘtre utilisĂ© sur les objets bon marchĂ© du quotidien et est donc rĂ©servĂ© Ă des systĂšmes sĂ©curisĂ©s tels que les cartes de paiement ou les systĂšmes dâidentification. Il existe cependant des solutions hybrides efficaces, comme par exemple le fait dâeffectuer les calculs sur le lecteur puis stocker le rĂ©sultat sur lâĂ©tiquette. Cryptographie anti-clonage Des attaques utilisant le clonages peuvent ĂȘtre parĂ©es par lâutilisation de protocoles dâauthentification de type dĂ©fi-rĂ©ponse. Ce type de protocole rend plus difficile les attaques de type brute force. Cependant, les Ă©tiquettes RFID disposant de peu de ressources matĂ©rielles, les protocoles dâauthentification faible sont le plus souvent utilisĂ©s; ils sont peu efficaces contre les attaquants dĂ©terminĂ©s. La norme ISO 9798 2009 prĂ©voit lâutilisation dâun protocole dâauthentification de type dĂ©fi-rĂ©ponse dans les systĂšmes RFID et les cartes Ă puce. Dans les secteurs oĂč la sĂ©curitĂ© est primordiale et oĂč le coĂ»t des Ă©tiquettes RFID disposant de ressources matĂ©rielles plus importantes, il est possible dâutiliser un systĂšme cryptographique Ă clĂ© publique. Juels a montrĂ© quelques techniques pour renforcer la rĂ©sistance des Ă©tiquettes EPC contre les attaques de clonage, en utilisant un code dâaccĂšs pour rĂ©aliser lâauthentification de rĂ©ponse dĂ©fi. MalgrĂ© lâimportance des menaces de sĂ©curitĂ© liĂ©es aux attaques de clonage, des lacunes persistent. Par exemple, aucun des pays Ă©metteurs de passeports Ă©lectroniques nâont de mĂ©canismes anti-clonagecomme suggĂ©rĂ© par la norme 9303 de lâOrganisation de lâaviation civile internationale RĂ©fĂ©rences IdentitĂ© numĂ©rique Intergiciel pour Ă©tiquettes Ă©lectroniques RFID Dans le BREVET US 7645326 B2 / de James Neil Rodgers, en 2007 distribution RFID activĂ© par lâintroduction de particules hautement rĂ©flĂ©chissante dâoxyde dâaluminium RĂSUMĂ Un systĂšme et un procĂ©dĂ© pour rĂ©duire le rapport signal sur bruit dans un entrepĂŽt ou centre de distribution RFID activĂ© par lâintroduction de particules hautement rĂ©flĂ©chissante dâoxyde dâaluminium dans lâenvironnement atmosphĂ©rique de lâentrepĂŽt ou centre de dâaluminium est constituĂ©e de particules de taille nanomĂ©trique fabriquĂ© dans un format dâaĂ©rosol. Cette particules sera introduite dans lâenvironnement sous les auspices du mĂ©canisme de chauffage, de ventilation et de climatisation associĂ©e Ă lâenvironnement. Les niveaux de particules seront surveillĂ©s par lâutilisation de capteurs placĂ©s stratĂ©giquement afin de maintenir la conformitĂ© rĂ©glementaire. En outre, le rapport signal sur bruit sera amĂ©liorĂ©e en rĂ©duisant le bruit ambiant Ă©manant de luminaires dans lâenvironnement par la mise en place stratĂ©gique de filtres dâinfĂ©rence. En outre, le rapport signal sur bruit provenant de sources artificielles sera rĂ©duite en utilisant lâantenne rĂ©trodiffusion de transmission configurĂ© horizontalement dans lâenvironnement. Brevet n° 7 777 631 Puce de corps Lâidentification par radiofrĂ©quence ci-aprĂšs RFID » a Ă©tĂ© une technologie appropriĂ©e et efficace dans le domaine de la gestion de la chaĂźne dâapprovisionnement. Lâhomme du mĂ©tier de la RFID est bien conscient de ce succĂšs. Cependant, la RFID ne sâest pas avĂ©rĂ©e viable dans le domaine mĂ©dical ou dans le domaine du suivi du corps humain ou animal. Le problĂšme est que les fluides et les tissus du corps des mammifĂšres dĂ©rĂšglent le systĂšme RFID. Cette invention envisage un procĂ©dĂ© et un systĂšme par lesquels les produits chimiques dans le corps alimentent un transpondeur RFID. Cette Ă©tape nouvelle et inventive transforme le transpondeur situĂ© dans un corps humain ou animal dâune puce passive en une puce active. Cette Ă©tape non Ă©vidente permet Ă tout systĂšme RFID de surmonter les effets de dĂ©saccord des fluides corporels. Lâinventeur appelle cette invention la puce corporelle ».Actuellement, le nom commercial Body Chip » fait lâobjet dâune demande de nom commercial aux Ătats-Unis par lâinventeur. Cette invention incorpore par rĂ©fĂ©rence la demande de Rodgers 11676304 intitulĂ©e Interrogation RFID de liquide/mĂ©tal » et la demande de Rodgers 11683056 intitulĂ©e Antenne de silicium RFID » et la demande de Rodgers 11686946 intitulĂ©e Antenne RFID Ă rĂ©glage prĂ©cis ». 6497729 24 dĂ©cembre 2002 Moussy et al. 20050063906 24 mars 2005 Kraizer et al. 20060289640 28 dĂ©cembre 2006 Mercure et al. 20070063852 22 mars 2007 Brungot et al. 20070123772 31 mai 2007 Euliano et al. 20090028910 29 janvier 2009 DeSimone et al. 20090220789 3 septembre 2009 DĂ©simone et al. Regardez bien les brevets et applications citĂ©es â innovations. Mr Atalli dĂ©voile le projet Informez le plus de personnes Ă ce sujet et faites des recherches sur la collaboration dâune onde Ă lâautre. Quand les hommes cesseront de se mentir, ils cesseront de mentir aux autres. Ce sera le commencement de la vĂ©ritable ce que nous dĂ©fendons. Partagez ce savoir Ă vos proches. Paix et sincĂ©ritĂ© Ă tous ! Eveil-delaconscience LaRadio Frequency IDentification est une puce Ă©lectronique qui permet dâenregistrer et de transfĂ©rer des donnĂ©es Ă distance en utilisant un Ă©quipement spĂ©cialisĂ©. Munis dâune antenne et dâun microprocesseur, on peut lire lesSilâimplantation dâune puce faisant office de carte dâidentitĂ© dĂšs la naissance relĂšve de la science-fiction, la RFID commence Ă ĂȘtre utilisĂ©e pour contrĂŽler les individus. Certaines maternitĂ©s utilisent des bracelets connectĂ©s pour Ă©viter les
La technologie RFID ou encore Radio Frequency Identification est un procĂ©dĂ© qui permet de conserver, de stocker et dâenregistrer des renseignements sur un support. Cette mĂ©thode permet Ă©galement de rĂ©cupĂ©rer ses informations de maniĂšre simple et mĂȘme Ă distance. Elle Ă©tait utilisĂ©e par lâarmĂ©e avant de sâĂ©tendre vers dâautres secteurs tels que lâagroalimentaire, la santĂ©, le transport, etc. Cependant, il faudra maĂźtriser les diverses versions de cette technologie avant dâidentifier celles Ă utiliser pour vos projets. Retrouvez ici tout le nĂ©cessaire pouvant vous aider dans votre RFID passiveSi vous dĂ©sirez faire de la gestion de stocks, suivre des colis Ă la poste ou encore effectuer de la traçabilitĂ© de dĂ©chets, sachez que la technologie RFID passive est la plus appropriĂ©e pour votre projet. Cette technologie est un moyen qui permet de faire usage de certains outils appelĂ©s Ă©tiquettes servant Ă tracer des produits. Elle est gĂ©nĂ©ralement utilisĂ©e pour le suivi des transports de marchandises en grande masse. Les Ă©tiquettes fonctionnent grĂące Ă des batteries et contiennent des informations sur les produits tracĂ©s. Ces informations se lisent avec lâaide dâun appareil Ă©lectromagnĂ©tique. Lâutilisation de cette technologie nâa rien de compliquĂ©. Toutefois, pour un usage optimal, vous pouvez solliciter les compĂ©tences professionnelles dâune entitĂ© experte dans ce secteur comme RFID activeLorsque vous souhaitez effectuer une traçabilitĂ© logistique de vĂ©hicules ou encore de personnes, la technologie RFID active est la mieux adaptĂ©e. La RFID active fonctionne avec une source dâĂ©nergie lui permettant de lire les cartes et dâobtenir les informations nĂ©cessaires Ă de trĂšs grandes distances. Elle est Ă©galement Ă©quipĂ©e dâune carte Ă puce et dâune antenne favorisant son fonctionnement. Câest le mode de fonctionnement RFID le plus utilisĂ© aujourdâhui. Que ce soit au niveau des contrĂŽles dâaccĂšs dans les parkings, pour le suivi des patients dans les hĂŽpitaux et mĂȘme pour suivre les flottes de vĂ©hicule, il est trĂšs RFID semi-activeLa radio identification semi-active repose Ă©galement sur lâutilisation des Ă©tiquettes semi-actives. Si vous dĂ©sirez faire du suivi alimentaire, sachez que la RFID semi-active est la plus appropriĂ©e pour votre projet. Elle permet dâenregistrer les changements de tempĂ©rature lors des transports de marchandises ou encore de surveiller les parcs de machines. Elle est plus avantageuse et plus performante que la RFID passive. Elle est Ă©galement plus abordable que les Ă©tiquettes existe en gros trois sortes de technologies RFID qui sont trĂšs utiles pour tous projets de traçabilitĂ©. Parmi elles, on peut citer la RFID active, la RFID passive et la RFID semi-active qui ont chacune des caractĂ©ristiques spĂ©cifiques. 360 Vues totales Ilsera dĂ©terminant dans le choix du type de puces et de la distance de lecture possible. Il existe : des puces RFID actives et passives, des puces Ă haute frĂ©quence ou ultra haute frĂ©quence, des puces RFID encodables ou non. Certaines puces RFID supportent un autoclave par exemple, ou des intempĂ©ries parce quâelles sont dĂ©ployĂ©es Ă l Tout comme le lecteur RFID, le tag est un Ă©lĂ©ment fondamental dans une solution RFID. AXEM Technology propose une grande diversitĂ© de tags BF, HF ou UHF pour rĂ©pondre Ă tous vos besoins dâidentification et de traçabilitĂ©. Ils ont tous des caractĂ©ristiques spĂ©cifiques, car chaque projet est unique, et le choix du tag aura des consĂ©quences directes sur la fiabilitĂ© du process. Nous vous indiquons les critĂšres majeurs Ă prendre en compte pour bien choisir son tag RFID. 1/ Quelles sont les contraintes environnementales ? Outre quâil sâagit de savoir si les produits seront en extĂ©rieur ou en intĂ©rieur, et donc sâils seront soumis aux intempĂ©ries, le milieu industriel impose parfois des conditions extrĂȘmes. Par exemple, nous proposons des tags trĂšs haute tempĂ©rature, pour les applications sur mĂ©tal ou autre. Pour le processus dâautoclave, il existe des tags spĂ©cifiques, qui rĂ©sistent Ă la pression, aux produits chimiques, Ă la vapeur, Ă de trĂšs hautes tempĂ©ratures. 2/ DurĂ©e de vie du produit Prenons lâexemple de palettes qui doivent ĂȘtre identifiĂ©es. Si elles sont destinĂ©es Ă ĂȘtre jetĂ©es aprĂšs une seule utilisation, une Ă©tiquette RFID collĂ©e suffira, mais si elles sont rĂ©utilisables, il faudra un tag durci, car les palettes sont malmenĂ©es, stockĂ©es en extĂ©rieur bien souvent; le tag doit donc ĂȘtre trĂšs rĂ©sistant. Pour les objets mĂ©talliques, comme des fĂ»ts ou des tuyaux, il y a Ă©galement les tags magnĂ©tiques et les colliers flexibles, qui sont repositionnables. 3/ Nature du produit Tout dâabord, quelle est la matiĂšre du produit Ă identifier? La matiĂšre du produit dĂ©terminera la forme, la flexibilitĂ©, la matiĂšre du tag. Les objets mĂ©talliques nĂ©cessitent une attention supplĂ©mentaire car le mĂ©tal perturbe le passage des ondes il faut donc des tags spĂ©cial mĂ©tal, qui comportent une couche dâisolant. Pour les vĂȘtements, par exemple, nous vous proposons des Ă©tiquettes textiles, qui se cousent et rĂ©sistent aux contraintes de lavages. Y a-tâil des contraintes de dimension? Vous pourrez trouver de nombreux tags de petite taille, disponibles avec divers types de fixation et packagings, par exemple pour la traçabilitĂ© de petits outils. Certains rĂ©sistent Ă©galement Ă des tempĂ©ratures Ă©levĂ©es. Quelle est sa forme? La forme du produit conditionne en partie la forme du tag. Par exemple, nous vous proposons un tag RFID pour tuyaux, des Ă©tiquettes flexibles pour les objets courbes, etc. 4/ Quelle sera la distance de lecture La distance de lecture voulue conditionnera le choix de la frĂ©quence Basse FrĂ©quence BF, Haute FrĂ©quence HF ou Ultra Haute FrĂ©quence UHF. Pour une petite distance de lecture quelques cm, on a le choix entre la BF, la HF ou lâUHF. Pour une distance moyenne jusquâĂ 50 cm, on peut sâorienter vers la HF ou lâUHF Mais pour une grande distance jusquâĂ 10m, lâUHF sâimpose Une fois la frĂ©quence dĂ©terminĂ©e, il faut savoir que plus on veut une distance de lecture Ă©levĂ©e, plus lâantenne contenue dans le tag doit ĂȘtre grande, et que la puissance du lecteur RFID impactera la distance de lecture. Sâil est question dâidentifier tous les produits dans un entrepĂŽt lors dâun inventaire, la distance de lecture doit ĂȘtre Ă©levĂ©e. Mais sâil faut identifier prĂ©cisĂ©ment un par un des produits sur une chaĂźne de production, les tags et un lecteur courte portĂ©e seront plus adaptĂ©s. A savoir Ă©galement, la prĂ©sence dâeau rĂ©duit considĂ©rablement le passage des ondes la distance de lecture sera donc trĂšs courte au contact de lâeau. 5/ Choisir la mĂ©thode de fixation Celle-ci dĂ©pendra du type de produit, de sa durĂ©e de vie et de lâenvironnement. Il existe des colliers RFID Ă fixation sĂ©curisĂ©e, des Ă©tiquettes qui se collent, des tags qui sont intĂ©grĂ©s au produit par moulage, etc. 6/ Quelle doit ĂȘtre la taille de la mĂ©moire du tag? Encore une fois, tout dĂ©pend de lâusage de la RFID. Parfois, il faut uniquement identifier un produit par son numĂ©ro unique que reconnaĂźtra la base de donnĂ©es. Mais parfois, la mĂ©moire de la puce doit ĂȘtre plus importante, et comporter dâautres infos. Câest nĂ©cessaire pour les zones isolĂ©es par exemple, car les opĂ©rateurs qui nâont pas accĂšs Ă une base de donnĂ©es peuvent ainsi consulter et mettre Ă jour toutes les informations clĂ©s sur le tag. Nous concevons, fabriquons et distribuons de trĂšs nombreux modĂšles performants. Mais le choix dâun tag nâĂ©tant pas aisĂ©, nâhĂ©sitez pas Ă nous contacter pour vous guider vers le tag RFID le plus adaptĂ© Ă votre application.| ΀էá аÎČ | Ôœ Ï Đ·Đ”Ő¶ Ö |
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A l'instar de n'importe quelle autre technologie de sĂ©curitĂ©, les puces RFID, censĂ©es amĂ©liorer la traçabilitĂ© des produits ou le contrĂŽle d'accĂšs des individus, lutter contre la fraude ou encore sĂ©curiser les passeports Ă©lectroniques, sont piratables. Le ministĂšre de l'intĂ©rieur amĂ©ricain vient ainsi de dĂ©conseiller l'utilisation des puces RFID en matiĂšre d'identification des ĂȘtres humains, et Verichip, leader du marchĂ© des implants sous-cutanĂ©s, reconnaĂźt lui-mĂȘme qu'il ne faut pas accorder trop de confiance Ă sa deux mains, portant chacune une puce RFID, sont celles de Amal Graafstra, auteur d'un livre intitulĂ© RFID Toys. Cela vous intĂ©ressera aussiCe qui n'empĂȘche nullement le marchĂ© de se dĂ©velopper et d'envisager de nouveaux dĂ©bouchĂ©s, du cĂŽtĂ© des jeunes branchĂ©s, des malades, des cadavres, et des piratage des puces RFID y compris sous-cutanĂ©esL'enquĂȘte de la journaliste Annalee Newitz, pour Wired, dĂ©taille comment, en quelques secondes seulement, et muni d'un simple PDA et d'une petite antenne, il est possible de modifier le prix des denrĂ©es vendues dans certains supermarchĂ©s ou encore de lire puis de cloner le passe permettant d'entrer dans un bĂątiment "sĂ©curisĂ©", une chambre d'hĂŽtel ou une voiture bardĂ©e d' inquiĂ©tant, Annalee Newitz raconte comment Jonathan Westhues, un dĂ©veloppeur de 23 ans, a Ă©galement rĂ©ussi Ă cloner la cĂ©lĂšbre puce Verichip qu'elle s'Ă©tait faite implanter dans le nombreuses Ă©tant les puces RFID accessibles en Ă©criture, il serait Ă©galement possible d'y placer subrepticement des "cookies", Ă la maniĂšre de ceux qu'envoient les sites web, afin de suivre Ă la trace le trajet des objets ainsi Ari Juels, des laboratoires RSA, spĂ©cialisĂ©s dans la sĂ©curitĂ© informatique, "le monde des RFID ressemble Ă l'internet Ă ses dĂ©buts" l'un comme l'autre n'ont pas Ă©tĂ© sĂ©curisĂ©s "par dĂ©faut", et ce n'est que des annĂ©es aprĂšs que l'on en mesure vraiment les consĂ©quences. On dĂ©nombre pourtant d'ores et dĂ©jĂ des dizaines de failles ou d'utilisations dĂ©tournĂ©es des le soulignait rĂ©cemment Marc OlaniĂ©, "les RFID ne sont qu'un moyen supplĂ©mentaire visant Ă accroitre la fiabilitĂ© d'une identification, ils ne peuvent en aucun cas remplacer les autres outils dĂ©jĂ en usage". Sauf qu'Ă l'usage, prĂ©cisĂ©ment, trop nombreux sont ceux qui croient aveuglĂ©ment aux seules vertus "high tech" des technologies de contrĂŽle et de problĂšme est d'autant plus sĂ©rieux que, Ă la diffĂ©rence du vol d'un objet physique, ce type d'interception, d'altĂ©ration, de surveillance ou d'usurpation d'identitĂ© numĂ©rique est impossible Ă ministĂšre de l'intĂ©rieur US dĂ©conseille l'identification humaine par RFIDLe rapport sur l'utilisation de la RFID pour l'identification humaine que vient de rendre public le comitĂ© en charge de la vie privĂ©e au Department of Homeland Security DHS amĂ©ricain devrait, Ă ce titre, faire y lit en effet que "la RFID offre peu de bĂ©nĂ©fices en comparaison de ses effets sur la vie privĂ©e et l'intĂ©gritĂ© des donnĂ©es. Elle aurait mĂȘme plutĂŽt tendance Ă accroĂźtre les risques en matiĂšre de sĂ©curitĂ© et de protection des donnĂ©es personnelles, sans avantage commensurable poure les performances ou la sĂ©curitĂ© nationale ... Pour ces raisons, nous dĂ©conseillons l'utilisation de la RFID pour l'identification et la traçabilitĂ© des ĂȘtres humains".Rappelant que "la RFID n'identifie pas les individus", mais qu'il s'agit d'un moyen commode de lire des donnĂ©es, le DHS tient Ă prĂ©ciser que cette facilitation ne signifie pas pour autant, contrairement Ă ce qui est communĂ©ment admis, que cela peut contribuer Ă accĂ©lĂ©rer la procĂ©dure d'identification. Celle-ci relĂšve en effet de la biomĂ©trie, dont la prise d'empreinte, et la lecture, ralentit en fait le processus. Afin de limiter les risques de sĂ©curitĂ©, le dĂ©partement d'Etat a ainsi conditionnĂ© la lecture des passeports Ă©lectroniques au fait d'entrer un code PIN, rendant quasi-superflu l'utilisation mĂȘme de la cryptographie s'avĂšre en effet nĂ©cessaire, Ă double titre. D'une part parce que la RFID rend impossible le fait de savoir qui a eu accĂšs Ă quelles donnĂ©es, quand et Ă quelles fins, et qu'il convient d'Ă©viter toute lecture ou interception furtives des donnĂ©es par un tiers non autorisĂ©. D'autre part parce qu'il convient aussi de limiter les risques d'altĂ©ration ou de contrefaçon des donnĂ©es, si d'aventure elles Ă©taient nĂ©anmoins interceptĂ©es, et clonĂ©es. Or, rappelle le DHS, il existe d'autres technologies remplissant, Ă moindre risque, ces deux conditions encres spĂ©ciales, hologrammes, micro-impression, codes barre, pixelisation, puces avec contact... sans pour autant exposer les dĂ©tenteurs de tels identifiants aux risques de sĂ©curitĂ© et d'atteintes Ă la vie privĂ©e inhĂ©rents Ă la final, l'utilisation de la RFID poserait plus de problĂšmes qu'elle n'en rĂ©soudrait, d'autant que les risques de surveillance illĂ©gale ou illĂ©gitime sont loin d'ĂȘtre encore clairement cernĂ©s alors que nous sommes de plus en plus entourĂ©s d'objets dotĂ©s de puces RFID rendant possible la traçabilitĂ©, Ă leur insu, des individus, de leurs mouvements et activitĂ©s, bien malin celui qui peut prĂ©dire les consĂ©quences que cela malgrĂ© tout, un systĂšme basĂ© sur la RFID devait ĂȘtre adoptĂ©, le DHS recommande, entre autres de rendre publiques, Ă la maniĂšre des logiciels open source, l'intĂ©gralitĂ© de ses spĂ©cifications afin de permettre Ă la sociĂ©tĂ© civile d'en vĂ©rifier la pertinence, et l'intĂ©gritĂ©,de doter de tels systĂšmes de mĂ©canismes de dĂ©sactivation dĂ©finitifs ou temporaires, voire de filtrage ou de blocage des flux de donnĂ©es, afin de laisser la possibilitĂ© aux individus de ne pas ĂȘtre surveillĂ©,d'indiquer au moyen d'icĂŽnes clairement identifiables et Ă la maniĂšre des systĂšmes de vidĂ©osurveillance, les endroits oĂč se trouvent les scanners RFID,de dĂ©connecter de l'internet les bases de donnĂ©es des identifiants RFID, et de n'en autoriser l'accĂšs qu'aux personnels, et scanners, du DHS,de mettre en place une campagne d'information afin d'expliquer Ă l'opinion ce qu'est ou non la RFID, et quels sont les droits et protections accordĂ©es aux puces pour identifier les malades, les cadavres, et les immigrĂ©sLe rapport du DHS, faut-il le prĂ©ciser, ne concerne aucunement les implants sous-cutanĂ©s, mais bien l'utilisation de la RFID en tant que telle aux fins d'identification des ĂȘtres humains contrĂŽles d'accĂšs, passeports et cartes d'identitĂ© Ă©lectroniques par le gouvernement et les services publics de police et de sĂ©curitĂ©. Et si les USA, dans la foulĂ©e des attentats du 11 septembre 2001, ont rĂ©ussi Ă entraĂźner une bonne partie des pays occidentaux Ă insĂ©rer des puces RFID dans leurs piĂšces d'identitĂ©, le secteur privĂ© n'est pas en reste, loin de Graafstra, auteur d'un livre intitulĂ© RFID Toys "jouets RFID" et qui s'est implantĂ©, en guise de clefs, une puce RFID dans chaque main, sait pertinemment qu'on peut lui voler ses identifiants. Mais il n'en fait pas un problĂšme majeur de sĂ©curitĂ©, pas plus que de vie privĂ©e, et ne craint pas non plus de se faire couper les du principe que la technologie est neutre, que ce sont ses usages qui peuvent s'avĂ©rer problĂ©matiques, il prĂ©fĂšre se focaliser sur les aspects pratiques, et plus particuliĂšrement ludiques, de tels implants Ă©lectroniques, qui auraient Ă©tĂ© adoptĂ©s, Ă ce jour, par quelques 2500 personnes dans le qui faisait encore peur il y a quelques annĂ©es, et en effraie encore beaucoup aujourd'hui, participe ainsi d'un phĂ©nomĂšne de mode dont le symptĂŽme fut l'ouverture, dans deux boĂźtes de nuit de Rotterdam et Barcelone, d'espaces VIP rĂ©servĂ©s Ă une clientĂšle ainsi "pucĂ©e".Surfant sur la vague sĂ©curitaire et le dĂ©veloppement de technologies de contrĂŽle et de surveillance, le distributeur mexicain de Verichip avait annoncĂ© le lancement de VeriKid, une puce spĂ©ciale enfant, couplĂ©e Ă des scanners installĂ©s dans certains points stratĂ©giques, et destinĂ©e Ă lutter contre les projet semble avoir avortĂ©, mais Verichip a dĂ©jĂ pucĂ© le ministre de la justice mexicain et plusieurs des membres de son Ă©quipe, ainsi que des employĂ©s de CityWatcher, une sociĂ©tĂ© de vidĂ©osurveillance par Annalee Newitz au sujet du piratage de sa puce sous-cutanĂ©e, John Proctor, directeur de la communication de Verichip, reconnaĂźt qu'elle ne devrait jamais ĂȘtre utilisĂ©e seule, mais couplĂ©e Ă une vĂ©rification des papiers d'identitĂ©. Ce qui n'empĂȘche nullement la sociĂ©tĂ© de continuer Ă en vanter les mĂ©rites pour ce qui est du contrĂŽle d'accĂšs, et plus gagnĂ© une partie de l'opinion publique Ă sa cause, la sociĂ©tĂ© cible aujourd'hui le secteur de la santĂ©, afin de stocker le dossier mĂ©dical dans le bras de certains malades plus de 200 mĂ©decins et 90 hĂŽpitaux participent Ă ce jour Ă son programme Verimed d'identification des patients.Verichip vient Ă©galement de proposer ses services en matiĂšre d'identification des cadavres lors des catastrophes naturelles, et des universitaires belges, poussant la logique un peu plus loin, viennent quant Ă eux de proposer d'implanter une puce RFID dans les dents, et de façon prĂ©ventive, la dentition constituant la principale technique d'identification des cadavres rĂ©ponse Ă George Bush, qui venait d'Ă©voquer le dĂ©veloppement de mesures high tech afin d'endiguer l'immigration clandestine, Scott Silverman, prĂ©sident du conseil d'administration de VeriChip, vient enfin de proposer d'implanter ses puces dans les bras des travailleurs par ce que vous venez de lire ?
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